En sa qualité de diplomate et surtout de journaliste, l’ambassadeur de France, SEM. André Janier, a la capacité d’apprécier la liberté de presse dans un pays. En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, il a affirmé lundi soir à la résidence de Mme Francy Degardin, premier secrétaire et chargée de communication de l’ambassade de France, que la presse est libre en Côte d’Ivoire. C’était à l’occasion de la cérémonie conviviale organisée pour commémorer la 16ème Journée mondiale de la liberté de la presse : « Quand je suis arrivé ici, ce qui m’a frappé, c’est la liberté d’expression…Nous devons reconnaître que la presse est libre en Côte d’Ivoire. Les journalistes sont libres d’écrire et de diffuser ce qu’ils veulent », a-t-il affirmé, avant de les inviter à préserver cette liberté. Il a cependant ajouté ceci : « Cette liberté passe par l’objectivité et le respect de l’éthique…Il faut la mériter », en guise de conseil aux représentants d’organisations de journalistes et des patrons de presse présents.
Le président international de l’Union de la presse francophone (UPF), Alfred Dan Moussa, en phase avec l’ambassadeur Janier, a exhorté les journalistes à aller au-delà du 03 mai, date officielle de la célébration de la Journée de la liberté de la presse, pour entretenir cette flamme de la liberté.
Quant au président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Criwa Zeli, il s’est inscrit dans la même logique en encourageant ses confrères à plus de professionnalisme.
Marcelline Gneproust
Le président international de l’Union de la presse francophone (UPF), Alfred Dan Moussa, en phase avec l’ambassadeur Janier, a exhorté les journalistes à aller au-delà du 03 mai, date officielle de la célébration de la Journée de la liberté de la presse, pour entretenir cette flamme de la liberté.
Quant au président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Criwa Zeli, il s’est inscrit dans la même logique en encourageant ses confrères à plus de professionnalisme.
Marcelline Gneproust
