Le président malgache Andry Rajoelina a annoncé qu'il négociait un accord avec les partis politiques du pays pour que les anciens chefs de l'Etat ne puissent pas se présenter à la prochaine élection présidentielle.
"Nous espérons signer un accord (...) Selon cet accord, ceux qui ont exercé un rôle à la tête de l'Etat auparavant ne pourront pas se présenter", a dit Rajoelina à la presse, précisant que "cet accord n'a pas été accepté par tous."
La France a réaffirmé mercredi qu'Andry Rajoelina, qui a pris le pouvoir en mars dans des conditions controversées, avait annoncé mardi qu'il ne serait pas candidat au futur scrutin présidentiel.
L'information, donnée de source diplomatique française, a été démentie dans la capitale de la Grande Ile de l'océan Indien où l'on affirme que le jeune dirigeant, qui s'est emparé du pouvoir avec l'aide de l'armée, n'avait fait aucun commentaire dans un sens comme dans l'autre.
"Il n'a rien dit de tel", a assuré un proche collaborateur de Rajoelina. "Le président n'a pas évoqué jusqu'ici la question de sa candidature".
A Paris, le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux, a enfoncé le clou mercredi.
"Le président de la Haute autorité de transition, Andry Rajoelina, a fait part hier devant le corps diplomatique résidant à Tananarive de sa décision de ne pas se porter candidat aux prochaines élections générales", a-t-il déclaré.
"Nous attendons qu'il confirme publiquement cet engagement qui nous paraît de nature à faciliter les négociations politiques en cours entre Malgaches en vue de la finalisation rapide d'un accord politique consensuel et le plus inclusif possible", a-t-il ajouté dans un point de presse électronique.
Reuters
"Nous espérons signer un accord (...) Selon cet accord, ceux qui ont exercé un rôle à la tête de l'Etat auparavant ne pourront pas se présenter", a dit Rajoelina à la presse, précisant que "cet accord n'a pas été accepté par tous."
La France a réaffirmé mercredi qu'Andry Rajoelina, qui a pris le pouvoir en mars dans des conditions controversées, avait annoncé mardi qu'il ne serait pas candidat au futur scrutin présidentiel.
L'information, donnée de source diplomatique française, a été démentie dans la capitale de la Grande Ile de l'océan Indien où l'on affirme que le jeune dirigeant, qui s'est emparé du pouvoir avec l'aide de l'armée, n'avait fait aucun commentaire dans un sens comme dans l'autre.
"Il n'a rien dit de tel", a assuré un proche collaborateur de Rajoelina. "Le président n'a pas évoqué jusqu'ici la question de sa candidature".
A Paris, le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux, a enfoncé le clou mercredi.
"Le président de la Haute autorité de transition, Andry Rajoelina, a fait part hier devant le corps diplomatique résidant à Tananarive de sa décision de ne pas se porter candidat aux prochaines élections générales", a-t-il déclaré.
"Nous attendons qu'il confirme publiquement cet engagement qui nous paraît de nature à faciliter les négociations politiques en cours entre Malgaches en vue de la finalisation rapide d'un accord politique consensuel et le plus inclusif possible", a-t-il ajouté dans un point de presse électronique.
Reuters