L’Institut national de formation sociale (Infs), en partenariat avec Elizabeth Glaser pediatric Aids foundation (Egpaf) a organisé récemment un atelier d’évaluation relatif à la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le Vih/sida (Pvvih). La cérémonie d’ouverture a eu lieu à l’Institut national de la santé publique (Insp) d’Adjamé.
Cet atelier, au dire de Mme Koné Sontia Solange, coordonnatrice du projet, visait à mettre en place un dispositif pour renforcer les capacités des travailleurs sociaux pour une prise en charge psychosociale de qualité des Pvvih. Il s’est agi dès lors, pour les travailleurs sociaux d’adresser au profit des Pvvih des questions essentielles liées à la promotion du dépistage en consultation de routine ; la préparation au traitement antirétroviral, l’amélioration de l’observance du traitement et à la promotion d’une approche de prise en charge centrée sur la famille. Rappelant que la Côte d’Ivoire, avec un taux de séroprévalence de 4,7%, est le pays le plus touché du monde, la coordonnatrice a révélé que cette situation crée des incidences psychologiques et sociales sur la population. Pour M. Aboua Koffi Joseph, directeur de l’Infs, il faut des hommes de qualité pour mener à bien ce projet. C’est pourquoi, il a souhaité que les travailleurs sociaux usent de grands moyens pour amener les infectés à bien suivre leur traitement. Car, dira-t-il «la prise en charge médicale ne saurait se faire sans la prise en compte du bien-être psychologique et sociale de la personne».
Grâce Ouattara
Cet atelier, au dire de Mme Koné Sontia Solange, coordonnatrice du projet, visait à mettre en place un dispositif pour renforcer les capacités des travailleurs sociaux pour une prise en charge psychosociale de qualité des Pvvih. Il s’est agi dès lors, pour les travailleurs sociaux d’adresser au profit des Pvvih des questions essentielles liées à la promotion du dépistage en consultation de routine ; la préparation au traitement antirétroviral, l’amélioration de l’observance du traitement et à la promotion d’une approche de prise en charge centrée sur la famille. Rappelant que la Côte d’Ivoire, avec un taux de séroprévalence de 4,7%, est le pays le plus touché du monde, la coordonnatrice a révélé que cette situation crée des incidences psychologiques et sociales sur la population. Pour M. Aboua Koffi Joseph, directeur de l’Infs, il faut des hommes de qualité pour mener à bien ce projet. C’est pourquoi, il a souhaité que les travailleurs sociaux usent de grands moyens pour amener les infectés à bien suivre leur traitement. Car, dira-t-il «la prise en charge médicale ne saurait se faire sans la prise en compte du bien-être psychologique et sociale de la personne».
Grâce Ouattara