Le ministère chargé de la Lutte contre le VIH/SIDA a eu une séance de travail, le jeudi 9 avril 2009, avec le Pr. Luc Montagnier, qui était en visite de travail à Abidjan. La rencontre a eu lieu au Cabinet du ministre, sis au deux-Plateaux. Ils ont fait le point de la situation de la séroprévalence en Côte d’Ivoire.
Mme Christine Nebout Adjobi, ministre chargé de la Lutte contre le SIDA, et les responsables de son Cabinet ont passé en revue, en présence du Pr. Luc Montagnier, la situation de la séroprévalence dans les grandes régions de Côte d’Ivoire et les projets en ours dans le pays pour réduire de façon plus considérable les infections opportunistes chez les personnes vivant avec le virus dans le pays. La prise en charge des femmes enceintes séropositives, la protection des enfants à naitre, etc. tous les sujets ont été analysés pour trouver des voies et moyens pour réduire le taux de la séroprévalence et augmenter le suivi des malades et des personnes vivants avec le VIH/SIDA. Il ressort que dans les centres de santé, la Protection de la Transmission Mère Enfant (PTME) n’est pas étendue et mérite d’être accentuée. Les résultats des travaux réalisés par l’ONG « Terre des hommes Italie », en collaboration avec le Centre Intégré de Recherche Bioclinique d’Abidjan (CIRBA), créé en 1996 par le Pr. Luc Montagnier et le Gouvernement de Côte d’Ivoire, ont été présentés au cours de cette séance de travail. Par ailleurs, un Projet d’urgence de la lutte contre le SIDA, financé par la Banque mondiale, à été lancé et s’étend sur 4 régions dont celle du Sud-Comoé. « Il est toujours très important de rencontrer les autorités ivoiriennes qui se battent contre le SIA, parce que cette maladie est toujours là. Il y a des traitements, mais tous les patients n’ont pas accès au traitement. Il y a aussi le problème de la transmission du virus de la mère à l’enfant. J’ai constaté qu’il y a encore de ce côté des besoins d’information dans les centres de santé pour que les femmes qui sont infectées se dépistent assez tôt pour empêcher la transmission du virus de la mère à l’enfant à naitre. Il y a des activités de mes collègues du CIRBA qui montrent qu’on peut diminuer cette transmission avec de l’information et avec l’aide des autorités », a déclaré le Pr. Luc Montagnier, qui s’est félicité de l’accueil reçu en Côte d’Ivoire et du travail effectué pour traiter et guérir les malades, l’objet principale de ses recherches sur cette maladie.
Mme Christine Nebout Adjobi, ministre chargé de la Lutte contre le SIDA, et les responsables de son Cabinet ont passé en revue, en présence du Pr. Luc Montagnier, la situation de la séroprévalence dans les grandes régions de Côte d’Ivoire et les projets en ours dans le pays pour réduire de façon plus considérable les infections opportunistes chez les personnes vivant avec le virus dans le pays. La prise en charge des femmes enceintes séropositives, la protection des enfants à naitre, etc. tous les sujets ont été analysés pour trouver des voies et moyens pour réduire le taux de la séroprévalence et augmenter le suivi des malades et des personnes vivants avec le VIH/SIDA. Il ressort que dans les centres de santé, la Protection de la Transmission Mère Enfant (PTME) n’est pas étendue et mérite d’être accentuée. Les résultats des travaux réalisés par l’ONG « Terre des hommes Italie », en collaboration avec le Centre Intégré de Recherche Bioclinique d’Abidjan (CIRBA), créé en 1996 par le Pr. Luc Montagnier et le Gouvernement de Côte d’Ivoire, ont été présentés au cours de cette séance de travail. Par ailleurs, un Projet d’urgence de la lutte contre le SIDA, financé par la Banque mondiale, à été lancé et s’étend sur 4 régions dont celle du Sud-Comoé. « Il est toujours très important de rencontrer les autorités ivoiriennes qui se battent contre le SIA, parce que cette maladie est toujours là. Il y a des traitements, mais tous les patients n’ont pas accès au traitement. Il y a aussi le problème de la transmission du virus de la mère à l’enfant. J’ai constaté qu’il y a encore de ce côté des besoins d’information dans les centres de santé pour que les femmes qui sont infectées se dépistent assez tôt pour empêcher la transmission du virus de la mère à l’enfant à naitre. Il y a des activités de mes collègues du CIRBA qui montrent qu’on peut diminuer cette transmission avec de l’information et avec l’aide des autorités », a déclaré le Pr. Luc Montagnier, qui s’est félicité de l’accueil reçu en Côte d’Ivoire et du travail effectué pour traiter et guérir les malades, l’objet principale de ses recherches sur cette maladie.