M. Amoa San Hou, directeur de cabinet adjoint du ministre de la lutte contre le sida, a officiellement installé, jeudi, dans la grande cour dudit ministère, le comité sectoriel du ministère de la lutte contre le sida du ministère de la reconstruction et de la réinsertion. Ce comité a pour présidente Mme Hamza Bamba, ministre de la reconstruction et de la réinsertion, et comme coordinatrice Mme M’Bahia Chantal.
M. Fotienhoro, directeur de cabinet du ministre Bamba, a tenu à préciser que c’est le signe formel de l’engagement du ministère de la reconstruction dans la lutte contre le sida.
“L’organisation de la lutte de façon sectorielle est bien pensée. Nous nous engageons à réinsérer les personnes atteintes du sida du fait de la guerre”.
De son côté, Mme M’Bahia Chantal a donné un aperçu de son champ d’activités : sensibiliser, d’une part, le personnel du ministère et, d’autre part, toutes les personnes touchées par la crise. “Le sida n’a pas de hiérarchie dans ses victimes”, a-t-elle soutenu, avant de lancer un appel à l’adhésion de tous les agents du ministère au comité qui est, selon elle, l’affaire de tous.
Cette cérémonie a été, par ailleurs, l’occasion pour le Fonds national de lutte contre le sida (FNLS) de présenter son projet “Campagne petite monnaie” qui consiste à collecter des pièces d’argent dans des boîtes à pièces et aussi grâce à la vente de timbres à travers tout le pays pour financer la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire.
“Nous voulons que ces produits soient distribués à travers le ministère de la reconstruction. Chacun doit apporter sa contribution à la lutte en donnant chaque fois qu’il voit une boîte à pièces une pièce pour le financement de la lutte en Côte d’Ivoire. Les comités sectoriels auront une ristourne de 10% sur chaque boîte et 15% dans les livres du fonds pour financer les plans d’action sectoriels”, a expliqué Mme Doffou Marguerite, directeur du FNLS.
Coulibaly Zié Oumar
M. Fotienhoro, directeur de cabinet du ministre Bamba, a tenu à préciser que c’est le signe formel de l’engagement du ministère de la reconstruction dans la lutte contre le sida.
“L’organisation de la lutte de façon sectorielle est bien pensée. Nous nous engageons à réinsérer les personnes atteintes du sida du fait de la guerre”.
De son côté, Mme M’Bahia Chantal a donné un aperçu de son champ d’activités : sensibiliser, d’une part, le personnel du ministère et, d’autre part, toutes les personnes touchées par la crise. “Le sida n’a pas de hiérarchie dans ses victimes”, a-t-elle soutenu, avant de lancer un appel à l’adhésion de tous les agents du ministère au comité qui est, selon elle, l’affaire de tous.
Cette cérémonie a été, par ailleurs, l’occasion pour le Fonds national de lutte contre le sida (FNLS) de présenter son projet “Campagne petite monnaie” qui consiste à collecter des pièces d’argent dans des boîtes à pièces et aussi grâce à la vente de timbres à travers tout le pays pour financer la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire.
“Nous voulons que ces produits soient distribués à travers le ministère de la reconstruction. Chacun doit apporter sa contribution à la lutte en donnant chaque fois qu’il voit une boîte à pièces une pièce pour le financement de la lutte en Côte d’Ivoire. Les comités sectoriels auront une ristourne de 10% sur chaque boîte et 15% dans les livres du fonds pour financer les plans d’action sectoriels”, a expliqué Mme Doffou Marguerite, directeur du FNLS.
Coulibaly Zié Oumar
