Nathalie Sopie N’Takpé, la secrétaire chargée des affaires sociales et du développement de l’association “Les reines mères”, était visiblement heureuse, hier, à la signature, dans les locaux de la représentation nippone, du contrat de don avec SEM. Okamura Yoshifumi, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Japon en Côte d’Ivoire. Un contrat de don portant sur une somme de 45.850.084 FCFA qui va permettre d’achever les travaux entamés, il y a deux ans, du marché de Gonzagueville, dans la commune de Port-Bouët. “C’est avec une très grande émotion que les “Reines mères”, par ma voix, vous expriment une très grande et distinguée reconnaissance pour cette opportunité et cette gratitude que vous manifestez à notre égard, en acceptant sans contrainte ni peine, de nous faire ce don d’une valeur de 69.898 euros, soit 45.850.084 FCFA, qui contribuera à la pose des tôles, le carrelage des étals, des murets et des latrines, à l’aménagement des abords du marché et à la pose des pavés et d’un panneau”, a-t-elle indiqué. Elle a saisi cette occasion pour remercier l’ambassade de France et la Coopération française, l’ambassade du Japon pour l’appui qu’ils apportent ainsi afin de financer la réalisation de ce projet d’aménagement du marché de Gonzagueville.
L’occasion était également bonne pour Christian Gounel, attaché de coopération représentant l’ambassade de France et la force Licorne, de saluer ce nouveau type de franche coopération entre la France et le Japon. Il a expliqué qu’avec les problèmes liés à la crise ivoirienne et l’augmentation du prix des matières de base, l’entreprise qui effectuait les travaux, était dans l’impasse pour finaliser la construction du marché en question. “Alors, on vous a fait appel et vous avez répondu présent. Je voudrais vous remercier infiniment parce que c’était la galère pendant deux ans. Les travaux peuvent désormais se poursuivre et prendre fin dans deux mois”, a-t-il rassuré.
Pour SEM. Okamura Yoshifumi, le Japon est prêt à accompagner cette volonté de la population communautaire à changer son avenir. Avec les femmes en première ligne, qui se lèvent pour s’approprier la lutte contre la pauvreté. “Cette initiative de la population, surtout des femmes me touche particulièrement”, a déclaré l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire. Dans cette phase de relance post-crise pour la Côte d’Ivoire, dira-t-il, les femmes du quartier ont voulu créer un marché couvert et moderne qui pourrait favoriser la reprise des activités génératrices des revenus, l’accroissement de l’offre des emplois. Et donc de la croissance économique.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr
L’occasion était également bonne pour Christian Gounel, attaché de coopération représentant l’ambassade de France et la force Licorne, de saluer ce nouveau type de franche coopération entre la France et le Japon. Il a expliqué qu’avec les problèmes liés à la crise ivoirienne et l’augmentation du prix des matières de base, l’entreprise qui effectuait les travaux, était dans l’impasse pour finaliser la construction du marché en question. “Alors, on vous a fait appel et vous avez répondu présent. Je voudrais vous remercier infiniment parce que c’était la galère pendant deux ans. Les travaux peuvent désormais se poursuivre et prendre fin dans deux mois”, a-t-il rassuré.
Pour SEM. Okamura Yoshifumi, le Japon est prêt à accompagner cette volonté de la population communautaire à changer son avenir. Avec les femmes en première ligne, qui se lèvent pour s’approprier la lutte contre la pauvreté. “Cette initiative de la population, surtout des femmes me touche particulièrement”, a déclaré l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire. Dans cette phase de relance post-crise pour la Côte d’Ivoire, dira-t-il, les femmes du quartier ont voulu créer un marché couvert et moderne qui pourrait favoriser la reprise des activités génératrices des revenus, l’accroissement de l’offre des emplois. Et donc de la croissance économique.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr