L'éducation voit rouge au Sénégal. Les syndicats ont lancé des mouvements de grèves pour exiger du gouvernement de meilleures conditions de travail. Des débrayages, des marches et des grèves totales sont prévus.
L'école risque encore d'être perturbée par une série de manifestations dont des grèves organisées par les enseignants qui réclament de meilleures conditions de travail. Selon Sud Quotidien, après avoir déroulé deux plans d'action marqués essentiellement par des mots d'ordre de grèves de 72 heures, le Cadre unitaire d'action des syndicats d'enseignants (Cuse) a mis mardi à exécution son troisième plan d'action marqué par des grèves totales. A cela s'ajoutent des débrayages à partir de 10 heures pour les journées des 22 et 25 mai et pour la journée du 29 mai à partir de 9 heures. Des actions qui seront suivies d'une marche nationale de protestation qui sera organisée à Dakar, dans les régions et l'ensemble des départements du Sénégal. Tout comme, il est prévu une grève totale de 72 heures les 26, 27 et 28 mai. Selon les syndicats membres du Cuse, ce troisième plan d'action vient faire «face à la discrimination non justifiée et à l'attitude méprisante du gouvernement vis-à-vis des enseignants du préscolaire et de l'élémentaire par rapport à l'octroi de l'Indemnité de recherche documentaire (Ird). Un problème pour le règlement définitif duquel le gouvernement s'était engagé à débloquer la somme de 7 milliards de Fcfa pour l'année 2009, 8 milliards Fcfa en 2010 et 9 milliards Fcfa en 2011. Des propositions auxquelles les organisations syndicales enseignantes n'avaient pas donné leur accord puisqu'elles réclamaient en gros 21 milliards de Fcfa pour que l'Ird puisse réellement être d'un quelconque apport pour les enseignants. Rappelons que le Cadre unitaire syndical qui est présentement coordonné par Mamadou Diouf du Sudes est composé de l'Intersyndicale de l'enseignement, du Collectif des syndicats d'enseignants dirigé par Ibra Diouf Niokhobaye de l'Ades, du Directoire unitaire des enseignants de l'élémentaire de Youssou Touré(Ois), du Sels de Souleymane Diallo et de l'Ues de Gounia Niang.
L'école risque encore d'être perturbée par une série de manifestations dont des grèves organisées par les enseignants qui réclament de meilleures conditions de travail. Selon Sud Quotidien, après avoir déroulé deux plans d'action marqués essentiellement par des mots d'ordre de grèves de 72 heures, le Cadre unitaire d'action des syndicats d'enseignants (Cuse) a mis mardi à exécution son troisième plan d'action marqué par des grèves totales. A cela s'ajoutent des débrayages à partir de 10 heures pour les journées des 22 et 25 mai et pour la journée du 29 mai à partir de 9 heures. Des actions qui seront suivies d'une marche nationale de protestation qui sera organisée à Dakar, dans les régions et l'ensemble des départements du Sénégal. Tout comme, il est prévu une grève totale de 72 heures les 26, 27 et 28 mai. Selon les syndicats membres du Cuse, ce troisième plan d'action vient faire «face à la discrimination non justifiée et à l'attitude méprisante du gouvernement vis-à-vis des enseignants du préscolaire et de l'élémentaire par rapport à l'octroi de l'Indemnité de recherche documentaire (Ird). Un problème pour le règlement définitif duquel le gouvernement s'était engagé à débloquer la somme de 7 milliards de Fcfa pour l'année 2009, 8 milliards Fcfa en 2010 et 9 milliards Fcfa en 2011. Des propositions auxquelles les organisations syndicales enseignantes n'avaient pas donné leur accord puisqu'elles réclamaient en gros 21 milliards de Fcfa pour que l'Ird puisse réellement être d'un quelconque apport pour les enseignants. Rappelons que le Cadre unitaire syndical qui est présentement coordonné par Mamadou Diouf du Sudes est composé de l'Intersyndicale de l'enseignement, du Collectif des syndicats d'enseignants dirigé par Ibra Diouf Niokhobaye de l'Ades, du Directoire unitaire des enseignants de l'élémentaire de Youssou Touré(Ois), du Sels de Souleymane Diallo et de l'Ues de Gounia Niang.