Le Marché des assurances, banques et établissements financiers (Mabef) s'ouvre le 27 mai prochain. Dans cet entretien, le coordonnateur général Mathieu Mahika parle de ce marché qui a conquis la Côte d'Ivoire.
Après les cinq premières éditions, quel bilan succinct pouvez-vous faire du Mabef, qui est aujourd'hui à sa sixième édition ?
Je voudrais, avant tout, remercier, au nom de tous mes collaborateurs et du Directeur Général de Média Afrique Communication Monsieur Bernard N'dri, Monsieur Zahui Marcellin, Directeur Général de la Caisse d'Epargne, Sponsor Officiel et ses collaborateurs qui ont cru au Mabef depuis 2004 alors que nous commencions une activité en pleine crise politico-économique. Aujourd'hui, le Mabef s'est imposé. Le Marché des Assurances, Banques et Etablissements Financiers est à sa 6ème édition. De 34 structures participantes en 2004, nous sommes aujourd'hui à 55 structures qui ont fait des options. Une structure nous vient de la France, la Sonema pour la communication par satellite. S2m du Maroc, Ctim Uemoa du Sénégal, et Bitaka de la Tunisie sont des nôtres cette année.
Donc pour nous le bilan est positif
Vous avez commencé à organiser ce marché à des moments d'incertitude. Quels sont aujourd'hui vos acquis ?
Nos acquis sont le net sentiment de contribuer de façon significative à la lutte contre la pauvreté. Et les banques au niveau national sont là pour nous épauler dans cette œuvre de lutte contre la pauvreté. Et nos acquis en ce sens, sont nombreux. Le développement de la banque de détail, le rapprochement des banques des populations, l'ouverture des comptes à blanc ; tout ceci ne passant pas inaperçu. Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo qui croit en ce projet, nous a même donné son soutien pour toutes les éditions en nous recevant à son domicile le 24 Novembre 2006. Nous voulons le remercier pour cet appui indéfectible. Parlant de nos acquis, nous voulons aussi parler du Mabef News, hebdomadaire de développement et d'économie. Le journal fait son entrée dans le cœur des Ivoiriens. Il s'est attiré une sympathie sans faille de nos lecteurs. Cet hebdomadaire qui ne parle que d'économie et de développement est un véritable support de communication et tous ceux qui y ont adhéré pour une information ou un message peuvent en témoigner. Des dix mille (10 000) exemplaires, les chiffres de vente qui oscillent, les temps favorables avoisinent même les 70%.
Quelles sont vos attentes cette année ?
Cette année, il faut qu'effectivement la population active visite les stands non pour une promenade, mais pour faire des affaires.
Nous sommes dans un marché. Donc, il faut que le marché prenne tout son sens en favorisant les échanges (ventes et achats). Nous ne cesserons jamais de le dire, ceux qui aspirent à des financements ou à des prêts doivent avoir des comptes et des polices d'assurances. C'est le point de départ de négociations sérieuses pour asseoir une structure solide.
Propos recueillis par Prince Béganssou
Après les cinq premières éditions, quel bilan succinct pouvez-vous faire du Mabef, qui est aujourd'hui à sa sixième édition ?
Je voudrais, avant tout, remercier, au nom de tous mes collaborateurs et du Directeur Général de Média Afrique Communication Monsieur Bernard N'dri, Monsieur Zahui Marcellin, Directeur Général de la Caisse d'Epargne, Sponsor Officiel et ses collaborateurs qui ont cru au Mabef depuis 2004 alors que nous commencions une activité en pleine crise politico-économique. Aujourd'hui, le Mabef s'est imposé. Le Marché des Assurances, Banques et Etablissements Financiers est à sa 6ème édition. De 34 structures participantes en 2004, nous sommes aujourd'hui à 55 structures qui ont fait des options. Une structure nous vient de la France, la Sonema pour la communication par satellite. S2m du Maroc, Ctim Uemoa du Sénégal, et Bitaka de la Tunisie sont des nôtres cette année.
Donc pour nous le bilan est positif
Vous avez commencé à organiser ce marché à des moments d'incertitude. Quels sont aujourd'hui vos acquis ?
Nos acquis sont le net sentiment de contribuer de façon significative à la lutte contre la pauvreté. Et les banques au niveau national sont là pour nous épauler dans cette œuvre de lutte contre la pauvreté. Et nos acquis en ce sens, sont nombreux. Le développement de la banque de détail, le rapprochement des banques des populations, l'ouverture des comptes à blanc ; tout ceci ne passant pas inaperçu. Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo qui croit en ce projet, nous a même donné son soutien pour toutes les éditions en nous recevant à son domicile le 24 Novembre 2006. Nous voulons le remercier pour cet appui indéfectible. Parlant de nos acquis, nous voulons aussi parler du Mabef News, hebdomadaire de développement et d'économie. Le journal fait son entrée dans le cœur des Ivoiriens. Il s'est attiré une sympathie sans faille de nos lecteurs. Cet hebdomadaire qui ne parle que d'économie et de développement est un véritable support de communication et tous ceux qui y ont adhéré pour une information ou un message peuvent en témoigner. Des dix mille (10 000) exemplaires, les chiffres de vente qui oscillent, les temps favorables avoisinent même les 70%.
Quelles sont vos attentes cette année ?
Cette année, il faut qu'effectivement la population active visite les stands non pour une promenade, mais pour faire des affaires.
Nous sommes dans un marché. Donc, il faut que le marché prenne tout son sens en favorisant les échanges (ventes et achats). Nous ne cesserons jamais de le dire, ceux qui aspirent à des financements ou à des prêts doivent avoir des comptes et des polices d'assurances. C'est le point de départ de négociations sérieuses pour asseoir une structure solide.
Propos recueillis par Prince Béganssou
