Une ambulance toute neuve, 200 matelas, 200 draps, du matériel médical. C’est la nature des dons que le secrétaire exécutif du Programme national de réinsertion et de réhabilitation communautaire (PNRRC), Daniel Ouattara, a offerts, samedi dernier, aux populations de Sahibly.
En plus de ces équipements, cette structure entend réhabiliter et construire des classes et une cantine scolaire dont la pose de la première pierre a été faite le même jour par le ministre Mel Eg Théodore et Daniel Ouattara. Ce dernier, qui représentait le premier ministre, a indiqué que la structure qu’il dirige veut faire chemin avec Sahibly après cette page triste de l’histoire de ce village.
Daniel Ouattara a rendu hommage aux populations, cette localité qui, selon lui, ont compris que les grandes douleurs sont muettes, mais qui ont aussi compris que la mémoire doit survivre.
Pour lui, avec la cérémonie du jour, c’est une page triste de l’histoire de la Côte d’Ivoire qui vient ainsi d’être tournée.
Le patron du PNRRC estime qu’ils sont nombreux les fils du pays qui ont défendu leurs localités et ceux-là ne doivent pas être laissés pour compte au moment où la réconciliation est en marche. A travers ce don, il s’agit, selon lui, de donner espoir aux communautés qui ont trop souffert de la guerre, mais également de se rapprocher de l’administration.
Vincent Deh (Envoyé spécial)
En plus de ces équipements, cette structure entend réhabiliter et construire des classes et une cantine scolaire dont la pose de la première pierre a été faite le même jour par le ministre Mel Eg Théodore et Daniel Ouattara. Ce dernier, qui représentait le premier ministre, a indiqué que la structure qu’il dirige veut faire chemin avec Sahibly après cette page triste de l’histoire de ce village.
Daniel Ouattara a rendu hommage aux populations, cette localité qui, selon lui, ont compris que les grandes douleurs sont muettes, mais qui ont aussi compris que la mémoire doit survivre.
Pour lui, avec la cérémonie du jour, c’est une page triste de l’histoire de la Côte d’Ivoire qui vient ainsi d’être tournée.
Le patron du PNRRC estime qu’ils sont nombreux les fils du pays qui ont défendu leurs localités et ceux-là ne doivent pas être laissés pour compte au moment où la réconciliation est en marche. A travers ce don, il s’agit, selon lui, de donner espoir aux communautés qui ont trop souffert de la guerre, mais également de se rapprocher de l’administration.
Vincent Deh (Envoyé spécial)