La cérémonie de lancement a été faite le samedi 9 mai à l'amphithéâtre du complexe al Zahra de l'association Al Gadir sise à Marcory résidentiel. En présence de nombreuses personnalités dont le Cheick el aima Boikary Fofana.
'' La part de l'homme'' le titre du film n'a laissé personne indifférent. La majorité des cinéphiles était stupéfaite par l'originalité du film surtout par son accent islamique. A travers ce film, ce sont les travers de la communauté musulmane qui sont mis en exergue dans une société dominé par la culture occidentale au détriment de la culture islamique. C'est la raison pour laquelle le réalisateur Koné Sombaga met chaque musulman face à ses responsabilités, c'est-à-dire sa part d’action envers lui même, sa communauté et Dieu. A ce titre, dans son adresse, il a montré que “la part de l'homme” est l'aboutissement de beaucoup d'effort et de sacrifice. Aussi, il a signifié que sa structure Massive Motion a plusieurs projets de films à proposer à la communauté. Mais, pour une meilleure réalisation de ses projets, il a demandé à la communauté la mise en place d'un fonds d'aide à la création audiovisuelle. A sa suite, le représentant du ministre des NTIC M. Bamba Messamba et le ministre du tourisme et de l'artisanat El Hadj Sidiki Konaté ont tous félicité les acteurs de cette œuvre parce qu'ils ont mis leur savoir au profit de la promotion de l'Islam pour que tous les préjugés sur l'islam soient dissipés. Par la même occasion, ils ont dit que la balle est dans le camp de la communauté pour le succès du film. Quant au Cheick El Aima Boikary Fofana, ce film a été très bénéfique pour la communauté. Dans la mesure où, il incite au changement de comportement et à l'éveil de la conscience de la jeunesse musulmane. «Nos valeurs fondamentales islamiques doivent être inculquées par les médias. Pour l'occasion, la communauté a réagi à l'appel d'aide lancé par le réalisateur et le producteur. Une grosse enveloppe a été offerte par l'ensemble des personnalités, des guides religieux et les associations islamiques. Force est de reconnaître que ce film apportera un plus à la communauté musulmane. Il faut le voir absolument.
Fané N'facoro
'' La part de l'homme'' le titre du film n'a laissé personne indifférent. La majorité des cinéphiles était stupéfaite par l'originalité du film surtout par son accent islamique. A travers ce film, ce sont les travers de la communauté musulmane qui sont mis en exergue dans une société dominé par la culture occidentale au détriment de la culture islamique. C'est la raison pour laquelle le réalisateur Koné Sombaga met chaque musulman face à ses responsabilités, c'est-à-dire sa part d’action envers lui même, sa communauté et Dieu. A ce titre, dans son adresse, il a montré que “la part de l'homme” est l'aboutissement de beaucoup d'effort et de sacrifice. Aussi, il a signifié que sa structure Massive Motion a plusieurs projets de films à proposer à la communauté. Mais, pour une meilleure réalisation de ses projets, il a demandé à la communauté la mise en place d'un fonds d'aide à la création audiovisuelle. A sa suite, le représentant du ministre des NTIC M. Bamba Messamba et le ministre du tourisme et de l'artisanat El Hadj Sidiki Konaté ont tous félicité les acteurs de cette œuvre parce qu'ils ont mis leur savoir au profit de la promotion de l'Islam pour que tous les préjugés sur l'islam soient dissipés. Par la même occasion, ils ont dit que la balle est dans le camp de la communauté pour le succès du film. Quant au Cheick El Aima Boikary Fofana, ce film a été très bénéfique pour la communauté. Dans la mesure où, il incite au changement de comportement et à l'éveil de la conscience de la jeunesse musulmane. «Nos valeurs fondamentales islamiques doivent être inculquées par les médias. Pour l'occasion, la communauté a réagi à l'appel d'aide lancé par le réalisateur et le producteur. Une grosse enveloppe a été offerte par l'ensemble des personnalités, des guides religieux et les associations islamiques. Force est de reconnaître que ce film apportera un plus à la communauté musulmane. Il faut le voir absolument.
Fané N'facoro
