Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Kouadio Comoé, a lancé mardi la Quinzaine des cinémas du monde à la salle Emmanuel Dioulo du district d'Abidjan. Thème : « Cinéma, facteur de paix et de cohésion sociale». L'événement continuera à travers la ville d'Abidjan et certaines villes de l'intérieur du pays jusqu'au 27 mai. Le lancement a été marqué par des prestations de troupes de danses contemporaines, notamment les groupes «Kagnondè» et l' «International youth fellowship» qui ont exécuté des chorégraphies thématisées autour de la réconciliation et la paix. Le Mali, la France, la Suisse, le Canada, le Maroc, la Corée du Sud, la Suisse et la Francophonie ont associé leur image à la cérémonie par le biais de leurs représentants respectifs. Mercredi, l'Institut Goethe a offert sa salle pour la projection d'un répertoire filmographique riche et varié de 10 h à 19 h 30. Ce sont : « Welcome to Dongmakgol » du Sud Coréen Park Kwang-hyun, « Changement d'adresse » du Français Emmanuel Mouret et « Jeune homme » du Suisse Christoph Schaub. Entre 16 h et 21 h, les séances de projection de la caravane ont commencé par le Plateau, à la cité policière. Ces cinq heures d'attraction ont été suivies des films « Heremakono » du Mauritanien Abderrahmane Sissako et « Le pari de l'amour » de Didier Aufort. La caravane du Festival des films du monde va parcourir les communes d'Adjamé, d'Attécoubé, de Koumassi, d'Abobo, de Cocody, de Port-Bouët et de Yopougon (à Abidjan), Divo, Sinfra et Séguéla etc… (à l'intérieur).
K.M
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