Le ministre Alphonse Douati qui a parcouru du 22 au 27 mai dernier, successivement les régions du Denguélé, du Bafing, du Worodougou, des Savanes et des Lacs, a expliqué les motivations du Président Laurent Gbagbo à faire participer les populations concernées à la réflexion sur le règlement des conflits.
Le ministre de Production animale et des Ressources halieutiques, Dr. Alphonse Douati, a mandaté et de façon solennelle, le mercredi dernier, à la grande salle de réunion archicomble de la préfecture de la ville de Yamoussoukro, le corps préfectoral de la région des Lacs, pour instituer des comités de réflexion et de propositions au sein chaque région, chaque département, chaque sous-préfecture et chaque village. Cela, après avoir indiqué aux populations de la région des Lacs et aux élus que le Président Laurent Gbagbo, après la gestion de la tourmente socio-politique, veut donner une nouvelle impulsion à la résolution des conflits entre agriculteurs et éleveurs en proposant la méthode participative. “En vérité, si l’agriculture et l’élevage ne cohabitent pas, la gestion du milieu rural en tant que telle prend un coup, et prenant ce coup-là, c’est toute l’agriculture, toute la production rurale et donc tout un pan de métier, tout un pan de l’économie qui prend le coup. Parce que l’économie rurale est avant tout la mère de l’économie. Donc la méthode qui est proposée est la méthode participative”, a affirmé le ministre Douati. C’est d’ailleurs pourquoi, insistant sur les propositions et recommandations faites aussi bien par le corps préfectoral, les élus que par les agriculteurs et les éleveurs, l’émissaire du gouvernement a rassuré tout le monde tout en l’invitant à rester dans la dynamique de la réflexion et des propositions. “En sachant que le travail est en cours aussi bien au niveau de l’Etat en place qu’au niveau de ses démembrements déconcentrés, en associant les collectivités décentralisées, nous pensons que les uns et les autres iront dans le sens de l’apaisement. L’apaisement signifie le changement de comportement, le changement du regard qu’on a sur le milieu rural”, a-t-il par ailleurs indiqué.
Les préoccupations des populations ont notamment concerné la résolution du problème de la gestion de l’espace rural où doivent coexister, en parfaite harmonie, les deux activités que sont l’agriculture et l’élevage.
De notre envoyé spécial Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr
Le ministre de Production animale et des Ressources halieutiques, Dr. Alphonse Douati, a mandaté et de façon solennelle, le mercredi dernier, à la grande salle de réunion archicomble de la préfecture de la ville de Yamoussoukro, le corps préfectoral de la région des Lacs, pour instituer des comités de réflexion et de propositions au sein chaque région, chaque département, chaque sous-préfecture et chaque village. Cela, après avoir indiqué aux populations de la région des Lacs et aux élus que le Président Laurent Gbagbo, après la gestion de la tourmente socio-politique, veut donner une nouvelle impulsion à la résolution des conflits entre agriculteurs et éleveurs en proposant la méthode participative. “En vérité, si l’agriculture et l’élevage ne cohabitent pas, la gestion du milieu rural en tant que telle prend un coup, et prenant ce coup-là, c’est toute l’agriculture, toute la production rurale et donc tout un pan de métier, tout un pan de l’économie qui prend le coup. Parce que l’économie rurale est avant tout la mère de l’économie. Donc la méthode qui est proposée est la méthode participative”, a affirmé le ministre Douati. C’est d’ailleurs pourquoi, insistant sur les propositions et recommandations faites aussi bien par le corps préfectoral, les élus que par les agriculteurs et les éleveurs, l’émissaire du gouvernement a rassuré tout le monde tout en l’invitant à rester dans la dynamique de la réflexion et des propositions. “En sachant que le travail est en cours aussi bien au niveau de l’Etat en place qu’au niveau de ses démembrements déconcentrés, en associant les collectivités décentralisées, nous pensons que les uns et les autres iront dans le sens de l’apaisement. L’apaisement signifie le changement de comportement, le changement du regard qu’on a sur le milieu rural”, a-t-il par ailleurs indiqué.
Les préoccupations des populations ont notamment concerné la résolution du problème de la gestion de l’espace rural où doivent coexister, en parfaite harmonie, les deux activités que sont l’agriculture et l’élevage.
De notre envoyé spécial Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr