Lorsque vous arpentez les rues la commune de Yopougon à Abidjan, dans les environs de la Cité C.I.E de NIANGON, votre attention est à peine attirée par un bâtiment abritant une clinique médicale. Mais lorsque vous en franchissez le seuil, vous êtes tout de suite émerveillé par la propreté et l’étendu des locaux de cette clinique qui n’est autre que la Clinique le Grand Centre de Yopougon, source de joie et de bonheur des populations. Dans cet établissement sanitaire privé, les malades sont pris en charge de manière intégrale c’est-à-dire esprit, âme et corps. A la tête de cette clinique qui gagne en notoriété chaque jour, un homme, le Docteur KOUAME Konan, serviteur consciencieux et travailleur, entouré d’une équipe jeune et dynamique dont la seule préoccupation est la satisfaction des clients. Dans cet entretien exclusif accordé à NON-DOO Magazine, il partage avec vous sa vision ses challenges et son expérience avec DIEU.
NM : Pourquoi avez vous choisi la médecine ?
Dr : Jusqu’en classe de 2nd A, mon rêve de jeune lycéen des années 80 était de devenir un avocat de renommée internationale après le baccalauréat. Mais l’incident avec mon amie m’avait obligé à changer de profession. Fort heureusement, la vision n’avait pas changée car me tenir auprès des malades pour les délivrer de la maladie est aussi louable que me tenir auprès des accusés pour les délivrer de la prison et de l’humiliation. C’est pourquoi, je n’ai pas hésité un seul instant à embrasser la médecine. Ce qui a plutôt changé, c’est le concept de richesse : avant, j’appréhendais la richesse seulement sur le plan financier. Plus tard, j’ai compris qu’être riche n’est pas forcément synonyme de richesse matérielle et que la connaissance, la bonne réputation, l’amour du prochain sont autant de richesses à partager avec les autres.
NM: Avez-vous rencontré des difficultés Durant ce parcours?
Dr :J’ai eu effectivement à faire face à des difficultés de tous ordres : morales, financiers, spirituelles et professionnelles. Au plan moral, je cherchais toujours l’approbation des hommes dans tout ce que je faisais, de sorte que je me laissais souvent influencé par les autres. Les moyens financiers faisaient réellement défaut, mes parents étant des cultivateurs. Au plan spirituel, je luttais sans cesse avec DIEU concernant la direction de la clinique. La dernière difficulté concernait mon manque d’expérience professionnel.
NM : Dr KOUAME quels sont vos challenges pour la clinique « Le Grand Centre » ?
Dr : La vie est sacrée, c’est pourquoi nous nous sommes engagés dans une démarche d’amélioration continue malgré nos maigres moyens pour inciter les dirigeants des centres de santé privés à s’engager dans une démarche qualité. Sur la même lancée, nous envisageons de développer la clinique en Polyclinique.
NM : Nous remarquons beaucoup de photos de bébés accrochés dans votre bibliothèque, qu’est ce qu’il en est ?
Dr : Il s’agit des photos des enfants dont certaines mères étaient venues me voir dans le but de se faire avorter…
Dr KOUAME Célestin
NM : Pourquoi avez vous choisi la médecine ?
Dr : Jusqu’en classe de 2nd A, mon rêve de jeune lycéen des années 80 était de devenir un avocat de renommée internationale après le baccalauréat. Mais l’incident avec mon amie m’avait obligé à changer de profession. Fort heureusement, la vision n’avait pas changée car me tenir auprès des malades pour les délivrer de la maladie est aussi louable que me tenir auprès des accusés pour les délivrer de la prison et de l’humiliation. C’est pourquoi, je n’ai pas hésité un seul instant à embrasser la médecine. Ce qui a plutôt changé, c’est le concept de richesse : avant, j’appréhendais la richesse seulement sur le plan financier. Plus tard, j’ai compris qu’être riche n’est pas forcément synonyme de richesse matérielle et que la connaissance, la bonne réputation, l’amour du prochain sont autant de richesses à partager avec les autres.
NM: Avez-vous rencontré des difficultés Durant ce parcours?
Dr :J’ai eu effectivement à faire face à des difficultés de tous ordres : morales, financiers, spirituelles et professionnelles. Au plan moral, je cherchais toujours l’approbation des hommes dans tout ce que je faisais, de sorte que je me laissais souvent influencé par les autres. Les moyens financiers faisaient réellement défaut, mes parents étant des cultivateurs. Au plan spirituel, je luttais sans cesse avec DIEU concernant la direction de la clinique. La dernière difficulté concernait mon manque d’expérience professionnel.
NM : Dr KOUAME quels sont vos challenges pour la clinique « Le Grand Centre » ?
Dr : La vie est sacrée, c’est pourquoi nous nous sommes engagés dans une démarche d’amélioration continue malgré nos maigres moyens pour inciter les dirigeants des centres de santé privés à s’engager dans une démarche qualité. Sur la même lancée, nous envisageons de développer la clinique en Polyclinique.
NM : Nous remarquons beaucoup de photos de bébés accrochés dans votre bibliothèque, qu’est ce qu’il en est ?
Dr : Il s’agit des photos des enfants dont certaines mères étaient venues me voir dans le but de se faire avorter…
Dr KOUAME Célestin