Les examens scolaires à grand tirage pourraient connaître des perturbations. Les promoteurs des établissements privés laïcs de Côte d’Ivoire ont décidé du retrait de leurs écoles de l’organisation des examens session 2009. Et de la rétention des bulletins de notes (les livrets scolaires et des convocations des élèves affectés). Réunis au sein de la Fédération Nationale des Etablissements Privés laïcs de Côte d’Ivoire (FENEPLACI), ces fondateurs veulent protester contre le non paiement des 60 % restants des frais d’écolages dus par l’Etat.
« Nous voulons crier haut et fort notre misère. Nous avons assez d’engagements à honorer. Nos enseignants accusent des arriérés de 3 à 5 mois de salaires », a expliqué M.Thanon Yaya, Président de la FENEPLACI, jeudi dernier, au cours d’une rencontre avec la presse au siège de la structure aux Deux-Plateaux. Il a aussi déploré le fait que des agents de la Direction générale des Impôts (DGI) locaux agissant sur instruction du Trésor public, procèdent à la fermeture des écoles privées laïques et au blocage des comptes bancaires, depuis le paiement des 40 % des sommes attendues. « La seule condition de levée de notre mot d’ordre est l’apurement des arriérés de l’année 2007-2008 qui s’élèvent à 5,376 milliards Fcfa », a martelé le Secrétaire général Adjoint de la FENEPLACI, Gohidé Tiémoko, tout en exigeant le paiement de la première tranche des frais de scolarité pour l’année 2008-2009, estimés à plus de 5,209 milliards de Fcfa.
AC
« Nous voulons crier haut et fort notre misère. Nous avons assez d’engagements à honorer. Nos enseignants accusent des arriérés de 3 à 5 mois de salaires », a expliqué M.Thanon Yaya, Président de la FENEPLACI, jeudi dernier, au cours d’une rencontre avec la presse au siège de la structure aux Deux-Plateaux. Il a aussi déploré le fait que des agents de la Direction générale des Impôts (DGI) locaux agissant sur instruction du Trésor public, procèdent à la fermeture des écoles privées laïques et au blocage des comptes bancaires, depuis le paiement des 40 % des sommes attendues. « La seule condition de levée de notre mot d’ordre est l’apurement des arriérés de l’année 2007-2008 qui s’élèvent à 5,376 milliards Fcfa », a martelé le Secrétaire général Adjoint de la FENEPLACI, Gohidé Tiémoko, tout en exigeant le paiement de la première tranche des frais de scolarité pour l’année 2008-2009, estimés à plus de 5,209 milliards de Fcfa.
AC