Tu ne l’emporteras pas au ciel. Je tiens à te le signifier. Toi un indigent de la pire espèce qui, par un malheureux coup du sort qui s’est abattu sur la Côte d’Ivoire, t’es trouvé à cette place que tu occupes. Pire, les vautours se disputeront ta chair engraissée par l’argent sale. Celui des deniers publics. En fin de compte, les rebelles du Nord et ta clic ne sont pas différents. Tu oses songer à arracher le pain de la bouche des pères de famille ? Des honnêtes citoyens. Mais je te le dis, c’est perdu d’avance, car Dieu ne s’inscrit pas dans la voie suicidaire que tu as choisie sous les consignes des êtres de tous genres, qui ne veulent pas ton bien. Ces chômeurs que tu rémunères pour te mentir. Bientôt nous serons dans ‘’les boîtes’’ de vérité. Là-bas, les Ivoiriens je suppose, se prononceront. Au risque d’une sanction. Avec des bulletins négatifs. Et vous serez ainsi foutu comme vous le prédisiez souvent dans votre confrérie. En attendant, repends-toi, pendant qu’il est encore temps, car demain ne t’appartient pas...salut.
Par Yenon R. Assi
Par Yenon R. Assi