Le ministre Dosso Moussa a échangé, hier, avec des partenaires au développement sur la remise en état des lycées et centres de formation.
Le ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Dosso Moussa, a eu une séance de travail le mercredi 3 juin 2009 avec les partenaires au développement, notamment les agences des Nations unies, l’Agence française de développement (Afd) et la Banque mondiale. Cette rencontre qui s’est déroulée au cabinet dudit ministère à la Tour C, au Plateau, a porté sur l’approfondissement des questions relatives à l’enseignement privé, au partenariat public/privé en matière de formation professionnelle et surtout la finalisation de la matrice d’activités prioritaires relatives aux études et aux réflexions nécessaires dans le cadre du plan stratégique de réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Il ressort de l’exposé liminaire du ministre que des solutions sont trouvées pour répondre à l’épineux problème de financement pour la construction, la réhabilitation, l’équipement et la maintenance des lycées techniques et autres centres de formation professionnelle. Ainsi, la Banque islamique de développement (Bid) appuie le gouvernement ivoirien à hauteur de 4, 5 milliards de Fcfa. Il en est de même pour la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) avec 2,3 milliards de Fcfa, le Fonds saoudien dont l’appui s’élève à 4,6 milliards. La Norvège et l’Onudi (Organisation des nations unies pour le développement et l’industrie), l’Espagne, le Pnud (Programme des nations unies pour le développement), soutiennent aussi ces projets avec respectivement 500 millions, 1,131 milliard, 694 millions e Fcfa. Sans oublier l’Unesco (580 millions de Fcfa), l’Agence française de développement dont l’enveloppe pourrait envoisiner les 5 milliards de Fcfa au terme de la convention qui la lie à la Côte d’Ivoire. D’autres apports sont aussi à noter avec le Japon, la Banque africaine de développement (Bad) …
Kouamé Alfred
Correspondant
Le ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Dosso Moussa, a eu une séance de travail le mercredi 3 juin 2009 avec les partenaires au développement, notamment les agences des Nations unies, l’Agence française de développement (Afd) et la Banque mondiale. Cette rencontre qui s’est déroulée au cabinet dudit ministère à la Tour C, au Plateau, a porté sur l’approfondissement des questions relatives à l’enseignement privé, au partenariat public/privé en matière de formation professionnelle et surtout la finalisation de la matrice d’activités prioritaires relatives aux études et aux réflexions nécessaires dans le cadre du plan stratégique de réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Il ressort de l’exposé liminaire du ministre que des solutions sont trouvées pour répondre à l’épineux problème de financement pour la construction, la réhabilitation, l’équipement et la maintenance des lycées techniques et autres centres de formation professionnelle. Ainsi, la Banque islamique de développement (Bid) appuie le gouvernement ivoirien à hauteur de 4, 5 milliards de Fcfa. Il en est de même pour la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) avec 2,3 milliards de Fcfa, le Fonds saoudien dont l’appui s’élève à 4,6 milliards. La Norvège et l’Onudi (Organisation des nations unies pour le développement et l’industrie), l’Espagne, le Pnud (Programme des nations unies pour le développement), soutiennent aussi ces projets avec respectivement 500 millions, 1,131 milliard, 694 millions e Fcfa. Sans oublier l’Unesco (580 millions de Fcfa), l’Agence française de développement dont l’enveloppe pourrait envoisiner les 5 milliards de Fcfa au terme de la convention qui la lie à la Côte d’Ivoire. D’autres apports sont aussi à noter avec le Japon, la Banque africaine de développement (Bad) …
Kouamé Alfred
Correspondant
