Parce qu’il a décidé d’apporter sa contribution à la promotion des règles de l’Ohada, le cabinet d’avocats Bilé-Aka, Brizoua-Bi & Associés a eu l’ingénieuse idée de lancer un concours du «meilleur étudiant juriste d’affaires Ohada». La compétition est ouverte aux étudiants âgés de 25 ans au plus, en maîtrise ou diplômés en droit des pays membres de l’Ohada ainsi que ceux de la République démocratique du Congo. La première édition vient de connaître son épilogue avec la victoire du jeune Burkinabé Ouédraogo Marie-Stéphane. La phase ultime du concours s’est déroulée, le 14 mai dernier, à Abidjan, à l’hôtel Pullman, en présence de professionnels du droit et du monde des affaires.
Il s’est agi pour les 5 finalistes, de présenter devant un grand jury une communication en 10 minutes sur le thème de la corruption. Après délibération, Ouédraogo est venu en tête devant l’Ivoirien Bilé Kanga Emile (2e) et le Béninois Sagboan Samuel. A entendre Me Joachim Bilé-Aka, qui s’est chargé de présenter le concours, l’initiative a un double sens. A savoir, contribuer à la promotion de l’Ohada et surtout «susciter une saine émulation et perpétuer une tradition juridique d’excellence, non seulement sur le plan académique mais aussi sur le plan moral…». Pour lancer une telle initiative, les organisateurs ont choisi «un exemple» comme parrain : Le président de la Chambre de commerce et d’Industrie, Jean-Louis Billon. Il a assisté de bout en bout à la phase finale.
Il convient de noter que le premier lauréat bénéficie d’une bourse de 1,5 million de francs et de trois mois de stage au cabinet Bilé-Aka, Brizoua Bi & Associés. Le 2e suivra un stage au cabinet Ernst & Young à Abidjan. Le 3e remporte un lot d’ouvrages juridiques.
Hala
Il s’est agi pour les 5 finalistes, de présenter devant un grand jury une communication en 10 minutes sur le thème de la corruption. Après délibération, Ouédraogo est venu en tête devant l’Ivoirien Bilé Kanga Emile (2e) et le Béninois Sagboan Samuel. A entendre Me Joachim Bilé-Aka, qui s’est chargé de présenter le concours, l’initiative a un double sens. A savoir, contribuer à la promotion de l’Ohada et surtout «susciter une saine émulation et perpétuer une tradition juridique d’excellence, non seulement sur le plan académique mais aussi sur le plan moral…». Pour lancer une telle initiative, les organisateurs ont choisi «un exemple» comme parrain : Le président de la Chambre de commerce et d’Industrie, Jean-Louis Billon. Il a assisté de bout en bout à la phase finale.
Il convient de noter que le premier lauréat bénéficie d’une bourse de 1,5 million de francs et de trois mois de stage au cabinet Bilé-Aka, Brizoua Bi & Associés. Le 2e suivra un stage au cabinet Ernst & Young à Abidjan. Le 3e remporte un lot d’ouvrages juridiques.
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