Simone Ehivet Gbagbo a célébré la fête des mères avec les femmes d’Abobo, commune dont elle est députée. La manifestation a eu lieu dimanche dernier, au palais de l’unité d’Abobo-Baoulé, avec une fanfare et une pléiade d’artiste.
En présence de plus de 500 femmes qui ont, chacune, reçu un cadeau de la Première dame. Pour Simone Ehivet Gbagbo, c’est une bonne chose de fêter la femme, celle qui se bat pour protéger la vie. Après avoir rappelé la lutte héroïque des ivoiriennes pour nourrir les Ivoiriens pendant la guerre, elle a soutenu que “quand on est capable de soutenir ses enfants, quand on est soi- même en pleine crise, on doit être capable, lorsque le pays est en crise, de se dresser”. Selon elle, la femme ivoirienne en a déjà l’habitude : “Si tu sais protéger ta maison, tu dois pouvoir protéger ton pays”.
Pour toutes ces qualités, la Femme mérite, selon la Première dame, que chaque année, le monde entier s’arrête pour la fêter. Et la femme ivoirienne, plus encore. Elle qui doit, à présent que la crise de son pays prend fin, puiser dans ces qualités pour faire en sorte que la société ivoirienne soit encore plus forte. “C’est aujourd’hui que nous devons montrer que nous sommes capables de faire régner la justice”, a-t-elle lancé à l’endroit des nombreuses dames présentes.
La partie a débuté avec une prière dite par Mme le pasteur Pierrette Beugré.
A sa suite, le docteur Corinne Wale t, Directrice de l’action humanitaire du cabinet de la Première dame et présidente du comité d’organisation, a remercié les femmes d’avoir effectué nombreuses le déplacement.
“C’est le lieu de témoigner notre affection et notre reconnaissance à ces femmes qui donnent la vie, qui l’entretiennent, qui forment la femme et l’homme de demain. C’est aussi le lieu de célébrer celle qui n’a pas enfanté, mais qui donne autant d’amour à son conjoint, aux enfants et à sa communauté ; donnant ainsi naissance à une société d’amour, de prospérité et de paix”, a-t-elle déclaré.
Mme Tina Guizo, présidente des femmes du Sud Bandama a, au nom de toutes les autres, dit merci à la Première dame.
Au nombre des artistes qui ont fait vibrer les femmes, on notait la jeune rappeuse Nash, Kajeem qui joue toujours en live et qui, jamais, ne se laisse tenter par les facilités du play back, ainsi que Dodo Lather. Les différentes associations de femmes ont, à leur tour offert des présents à Mme Simone Gbagbo.
Paul D. Tayoro
En présence de plus de 500 femmes qui ont, chacune, reçu un cadeau de la Première dame. Pour Simone Ehivet Gbagbo, c’est une bonne chose de fêter la femme, celle qui se bat pour protéger la vie. Après avoir rappelé la lutte héroïque des ivoiriennes pour nourrir les Ivoiriens pendant la guerre, elle a soutenu que “quand on est capable de soutenir ses enfants, quand on est soi- même en pleine crise, on doit être capable, lorsque le pays est en crise, de se dresser”. Selon elle, la femme ivoirienne en a déjà l’habitude : “Si tu sais protéger ta maison, tu dois pouvoir protéger ton pays”.
Pour toutes ces qualités, la Femme mérite, selon la Première dame, que chaque année, le monde entier s’arrête pour la fêter. Et la femme ivoirienne, plus encore. Elle qui doit, à présent que la crise de son pays prend fin, puiser dans ces qualités pour faire en sorte que la société ivoirienne soit encore plus forte. “C’est aujourd’hui que nous devons montrer que nous sommes capables de faire régner la justice”, a-t-elle lancé à l’endroit des nombreuses dames présentes.
La partie a débuté avec une prière dite par Mme le pasteur Pierrette Beugré.
A sa suite, le docteur Corinne Wale t, Directrice de l’action humanitaire du cabinet de la Première dame et présidente du comité d’organisation, a remercié les femmes d’avoir effectué nombreuses le déplacement.
“C’est le lieu de témoigner notre affection et notre reconnaissance à ces femmes qui donnent la vie, qui l’entretiennent, qui forment la femme et l’homme de demain. C’est aussi le lieu de célébrer celle qui n’a pas enfanté, mais qui donne autant d’amour à son conjoint, aux enfants et à sa communauté ; donnant ainsi naissance à une société d’amour, de prospérité et de paix”, a-t-elle déclaré.
Mme Tina Guizo, présidente des femmes du Sud Bandama a, au nom de toutes les autres, dit merci à la Première dame.
Au nombre des artistes qui ont fait vibrer les femmes, on notait la jeune rappeuse Nash, Kajeem qui joue toujours en live et qui, jamais, ne se laisse tenter par les facilités du play back, ainsi que Dodo Lather. Les différentes associations de femmes ont, à leur tour offert des présents à Mme Simone Gbagbo.
Paul D. Tayoro