C’est officiel. Yopougon a sa section de l‘Association ivoirienne des enseignants de français (AIEF). Son bureau exécutif a été investi par Sidibé Vally, directeur de l’enseignement supérieur, parrain de la cérémonie, le samedi 6 juin 2009, à l’Ecole primaire publique Municipalité de la plus grande commune de Côte d’Ivoire.
Au nom de cette section, sa présidente Thérèse Niambé a annoncé un concours d’expression écrite et de lecture, ainsi que la création d’une bibliothèque communale. Elle entend ainsi amener les enfants à se familiariser avec la langue française.
Pour finir, Thérèse Niambé a remercié ses collègues et toutes les organisations sœurs, témoins de la cérémonie.
Quant à Sidibé Vally, membre d’honneur de l’AIEF, il a d’abord rendu hommage à tous les enseignants, en particuliers ceux de français. A ces derniers, il a conseillé d’être fiers de leur métier et de le pratiquer avec abnégation et amour parce qu’il “procure une richesse humaine plus importants que l’argent”.
Avant ces deux interventions, Traoré Tahirou, président nationale de l’AIEF a fait une communication sur “La place de l’AIEF dans le système éducatif ivoirien”. Présentant l’AIEF, l’orateur a indiqué que cette association, créée le 3 novembre 2001, se veut un espace de rencontres, d’échanges et d’expériences autour du français. Organiser des ateliers, participer à des activités sur la francophonie font également partie, selon lui, de sa mission.
Schadé Adédé
Au nom de cette section, sa présidente Thérèse Niambé a annoncé un concours d’expression écrite et de lecture, ainsi que la création d’une bibliothèque communale. Elle entend ainsi amener les enfants à se familiariser avec la langue française.
Pour finir, Thérèse Niambé a remercié ses collègues et toutes les organisations sœurs, témoins de la cérémonie.
Quant à Sidibé Vally, membre d’honneur de l’AIEF, il a d’abord rendu hommage à tous les enseignants, en particuliers ceux de français. A ces derniers, il a conseillé d’être fiers de leur métier et de le pratiquer avec abnégation et amour parce qu’il “procure une richesse humaine plus importants que l’argent”.
Avant ces deux interventions, Traoré Tahirou, président nationale de l’AIEF a fait une communication sur “La place de l’AIEF dans le système éducatif ivoirien”. Présentant l’AIEF, l’orateur a indiqué que cette association, créée le 3 novembre 2001, se veut un espace de rencontres, d’échanges et d’expériences autour du français. Organiser des ateliers, participer à des activités sur la francophonie font également partie, selon lui, de sa mission.
Schadé Adédé