Le président de la Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre (Alpc), le Contrôleur général Désiré Adjoussou, a expliqué les priorités de sa structure mercredi dernier, dans un hôtel d’Abidjan. C’était au cours de la conférence qu’il a co-animée, à l’initiative du réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’Ouest, section Côte d’Ivoire (Rasalao-ci) et du réseau des journalistes pour la paix et la sécurité (Rjps), dans le cadre de la semaine mondiale d’action contre la violence armée.
Lutter contre la culture des armes, ramener la criminalité violente à un seuil minimum, renforcer la solidarité communautaire, agir sur la demande des Alpc sont, entre autres, les objectifs que le Contrôleur général Désiré Adjoussou veut atteindre. Tant la structure étatique qu’il dirige a pour missions de sensibiliser, collecter, centraliser et exploiter tous les renseignements et informations relatifs à la fabrication, au trafic et au commerce des Alpc. Mais, pour être efficace sur le terrain, la Commission nationale (Comnat) de lutte contre les armes légères s’est fixé des priorités. Celles-ci portent essentiellement sur l’enquête nationale sur les Alpc (étape fondamentale) et la mise en place d’action nationale de lutte : stratégie de lutte contre les Alpc illicites, avec le concours de tous les acteurs nationaux pertinents, y compris la société civile. Tout cela ne pourra aboutir à un résultant satisfaisant que si, a indiqué le président de la Comnat, un budget de fonctionnement conséquent est alloué à la structure.
Le secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre les armes légères du Sénégal, le colonel Meissé Niang, a fait partager l’expérience de son pays en la matière.
Le directeur d’Ecosap, Mohamed Coulibaly, est intervenu sur le plan d’action de cette institution de la Cedeao pour la lutte contre les Alpc et le soutien aux commissions nationales. Quant au conseiller national post-crise au Pnud, Armand-Michel Broux, il était chargé de parlé du « Traité international sur le commerce des armes (Tca), son historique, les principes fondateurs et l’avancée du processus. Au terme de cette rencontre, la présidente du Rasalao-ci et du Rjps, Michèle Pépé, a invité les uns et les autres à sauver des vies en contrôlant les armes.
Emmanuel Kouassi
Lutter contre la culture des armes, ramener la criminalité violente à un seuil minimum, renforcer la solidarité communautaire, agir sur la demande des Alpc sont, entre autres, les objectifs que le Contrôleur général Désiré Adjoussou veut atteindre. Tant la structure étatique qu’il dirige a pour missions de sensibiliser, collecter, centraliser et exploiter tous les renseignements et informations relatifs à la fabrication, au trafic et au commerce des Alpc. Mais, pour être efficace sur le terrain, la Commission nationale (Comnat) de lutte contre les armes légères s’est fixé des priorités. Celles-ci portent essentiellement sur l’enquête nationale sur les Alpc (étape fondamentale) et la mise en place d’action nationale de lutte : stratégie de lutte contre les Alpc illicites, avec le concours de tous les acteurs nationaux pertinents, y compris la société civile. Tout cela ne pourra aboutir à un résultant satisfaisant que si, a indiqué le président de la Comnat, un budget de fonctionnement conséquent est alloué à la structure.
Le secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre les armes légères du Sénégal, le colonel Meissé Niang, a fait partager l’expérience de son pays en la matière.
Le directeur d’Ecosap, Mohamed Coulibaly, est intervenu sur le plan d’action de cette institution de la Cedeao pour la lutte contre les Alpc et le soutien aux commissions nationales. Quant au conseiller national post-crise au Pnud, Armand-Michel Broux, il était chargé de parlé du « Traité international sur le commerce des armes (Tca), son historique, les principes fondateurs et l’avancée du processus. Au terme de cette rencontre, la présidente du Rasalao-ci et du Rjps, Michèle Pépé, a invité les uns et les autres à sauver des vies en contrôlant les armes.
Emmanuel Kouassi