La mort implacable a encore frappé le milieu sportif. Yao Yao Souleymane et Gbeula André, respectivement directeur sportif et arbitre Ihf à la Confédération africaine de Handball (Cahb) ne sont plus. Le premier, victime d’une crise d’asthme, a rendu l’âme hier, à son domicile. Et le second, mercredi, dans un hôpital de Dabou.
«La mort de ses deux hommes est un coup dur pour le handball africain ; notamment celle de Yao Yao, considéré comme la Bible de la Cahb», fait remarquer Paul Gogoua (président de la section handball de l’Africa) qui a côtoyé le défunt pendant plusieurs années.
Titulaire d’une maîtrise en droit, Yao Yao était entré à la Confédération en 1988, grâce à son beau-père, Christophe Yapo (ancien président de cette institution). Il avait occupé le poste de directeur administratif et d’interprète sous Yapo. C’est avec l’arrivée à la tête de la Cahb du Béninois Aremou Mansour que Yao Yao avait été nommé directeur sportif. Poste qu’il a occupé jusqu’à sa mort. Ses collègues du siège de la Confédération à Abidjan dont Kouamé Hermann, son beau-père Christophe Yapo et son épouse (grande sœur du défunt) sont inconsolables. «C’était un des piliers de la Cahb. Yao Yao sera difficile à remplacer. Je suis très affecté car je le considérais comme une partie de moi-même», soutient Yapo. Yao Yao était un garçon sans histoire, humble et disponible ; de même que Gbeula (conseiller d’éducation physique).
Le service Sports de Fraternité Matin présente aux familles éplorées et à la Cahb, ses condoléances.
J-B Behi
«La mort de ses deux hommes est un coup dur pour le handball africain ; notamment celle de Yao Yao, considéré comme la Bible de la Cahb», fait remarquer Paul Gogoua (président de la section handball de l’Africa) qui a côtoyé le défunt pendant plusieurs années.
Titulaire d’une maîtrise en droit, Yao Yao était entré à la Confédération en 1988, grâce à son beau-père, Christophe Yapo (ancien président de cette institution). Il avait occupé le poste de directeur administratif et d’interprète sous Yapo. C’est avec l’arrivée à la tête de la Cahb du Béninois Aremou Mansour que Yao Yao avait été nommé directeur sportif. Poste qu’il a occupé jusqu’à sa mort. Ses collègues du siège de la Confédération à Abidjan dont Kouamé Hermann, son beau-père Christophe Yapo et son épouse (grande sœur du défunt) sont inconsolables. «C’était un des piliers de la Cahb. Yao Yao sera difficile à remplacer. Je suis très affecté car je le considérais comme une partie de moi-même», soutient Yapo. Yao Yao était un garçon sans histoire, humble et disponible ; de même que Gbeula (conseiller d’éducation physique).
Le service Sports de Fraternité Matin présente aux familles éplorées et à la Cahb, ses condoléances.
J-B Behi
