Les enfants du Centre de protection de la petite enfance (Cppe) Mamie Adjoua de Yopougon Niangon ont terminé l’année scolaire en étalant devant leurs parents leur maîtrise des valeurs culturelles ivoiriennes. Par des chants et poèmes dans leurs langues maternelles respectives, des danses du terroir, la confection de costumes traditionnels à partir de matériau tiré du fond des forêts et des savanes etc., ils ont épaté tous ceux qui ont fait le déplacement, samedi dernier dans leur école, à l’occasion de ses 20 ans d’existence. Les œuvres de ces enfants, véritable brassage culturel, ne sont rien d’autres que le fruit des projets pédagogiques articulés autour du thème : “Quelques cultures ivoiriennes, facteur de socialisation de l’enfant de la grande section du Cppe Mamie Adjoua de Niangon Yopougon”, conduits par la maîtresse Kacou Jeannine. Elle avait, en effet, obtenu le prix du meilleur projet pédagogique au cours du rassemblement des Cppe publics, les 5, 6 et 7 janvier derniers, au Complexe socio-éducatif d’Adjamé, sous la supervision du ministère de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales. “C’est cet honneur fait à notre établissement qui est le fondement des festivités qui nous rassemblent”, a justifié Mme Aboké Angéline, directrice du Cppe Mamie Adjoua.
Cette performance ne doit cependant pas occulter, selon elle, les difficultés que le personnel de son établissement rencontre. “Nous travaillons de façon archaïque en ce qui concerne la préparation des travaux des enfants et le traitement des informations en termes d’archivage, de reproduction, des projets pédagogiques, des rapports de rentrée et de fin d’année”, a-t-elle déploré. Mme Kaba Fanta, directrice régionale Abidjan Lagune du ministère de tutelle, a fait la promesse d’apporter des réponses à ces problèmes.
M. Vanié Bérenger, promoteur du centre Fraternité universelle de Yopougon Niangon, qui opère dans l’alphabétisation, a, grâce à des dons en vivres (Riz et friandises), permis à cette fête d’enregistrer un succès éclatant.
D.K.
Cette performance ne doit cependant pas occulter, selon elle, les difficultés que le personnel de son établissement rencontre. “Nous travaillons de façon archaïque en ce qui concerne la préparation des travaux des enfants et le traitement des informations en termes d’archivage, de reproduction, des projets pédagogiques, des rapports de rentrée et de fin d’année”, a-t-elle déploré. Mme Kaba Fanta, directrice régionale Abidjan Lagune du ministère de tutelle, a fait la promesse d’apporter des réponses à ces problèmes.
M. Vanié Bérenger, promoteur du centre Fraternité universelle de Yopougon Niangon, qui opère dans l’alphabétisation, a, grâce à des dons en vivres (Riz et friandises), permis à cette fête d’enregistrer un succès éclatant.
D.K.