Depuis le 18 juin, le microcosme de la presse ivoirienne s’est enrichi d’un nouveau titre: L’Expression. De format tabloïd, en 12 pages, ce quotidien se veut d’une indépendance éditoriale. Son directeur de publication, Dembélé Al Séni, expose cette posture dans l’éditorial du numéro 00, en ces termes: «Une liberté qui lui impose (…) une responsabilité quotidienne : offrir aux populations une possibilité de savoir les faits et actes qui ont marqué la vie nationale et internationale dans les différents domaines (…). Malgré les évolutions de la scène publique et les changements qui vont avec».
En manchette de ce numéro inaugural tiré à 15 000 exemplaires, L’Expression fait une incursion dans «Le grand suspense» de la «Présidentielle 2009 en Côte d’Ivoire». Deux enquêtes sont fournies au sujet du Black market d’Adjamé et des «Librairies par terre» qui font la pluie et le beau temps des amateurs de livres en Côte d’Ivoire. Les récentes pluies diluviennes, la crise de la jeunesse au sein du Mfa d’Anaky Kobena, l’aide aux démunis perçue comme une «grosse arnaque», sont autant de sujets qui sont traités par ce nouveau quotidien.
Il faut noter que du directeur de publication, aux rédacteurs, en passant par les autres professionnels de la communication recrutés par les Editions Yassine, entreprise éditrice de L’Expression, l’équipe rédactionnelle à plus de 95% issue des rangs de Nord Sud. Journal avec lequel ils étaient en bisbille concernant la ligne éditoriale et des problèmes économiques qui leur avaient valu d’être mis au chômage technique de deux mois, il y a environ un trimestre.
R. C
En manchette de ce numéro inaugural tiré à 15 000 exemplaires, L’Expression fait une incursion dans «Le grand suspense» de la «Présidentielle 2009 en Côte d’Ivoire». Deux enquêtes sont fournies au sujet du Black market d’Adjamé et des «Librairies par terre» qui font la pluie et le beau temps des amateurs de livres en Côte d’Ivoire. Les récentes pluies diluviennes, la crise de la jeunesse au sein du Mfa d’Anaky Kobena, l’aide aux démunis perçue comme une «grosse arnaque», sont autant de sujets qui sont traités par ce nouveau quotidien.
Il faut noter que du directeur de publication, aux rédacteurs, en passant par les autres professionnels de la communication recrutés par les Editions Yassine, entreprise éditrice de L’Expression, l’équipe rédactionnelle à plus de 95% issue des rangs de Nord Sud. Journal avec lequel ils étaient en bisbille concernant la ligne éditoriale et des problèmes économiques qui leur avaient valu d’être mis au chômage technique de deux mois, il y a environ un trimestre.
R. C