Présent dans la région des Lacs depuis quelques jours, le président du RDR est allé hier, à la rencontre des populations de Didiévi. Avec elles, il a partagé à travers le discours ci-dessous, son espoir pour la Côte d’Ivoire et indiqué ses solutions pour Didiévi et pour toute la Côte d’Ivoire
Monsieur le ministre Jeannot Ahoussou
Chères sœurs du département de Didiévi et chers frères
Monsieur N’Gouan Koffi, maire de la commune de Didiévi et cher ami
Madame le ministre d’Etat Henriette Dagri Diabaté, secrétaire général du RDR
Madame le ministre Jeanne Peuhmond, directeur régional de campagne pour la région des Lacs
Mesdames et messieurs les ministres
Honorables chefs traditionnels, chefs de tribu, chefs de village, chers chefs religieux
Chers frères et sœurs membre du RHDP, notamment le PDCI avec mon frère Kouamé Kouamé, chers frères du PIT , du FPI
Chers compatriotes
Je suis désolé parce que je tourne le dos à certains d’entre vous, je ne sais pas dans quelle position me tenir parce que par déférence, je préfère faire face à nos chefs traditionnels qui sont reconnus pour leur rôle et leur sagesse. N’Dja gnati, nanan gnati, moh gnati (ADO salue la population en baoulé, ce qui soulève un tonnerre d’applaudissement. Mais vous savez, j’ai perdu un peu de mon baoulé mais en réalité ce que beaucoup ne savent pas, c’est que à Didiévi je suis chez moi. Je suis chez moi parce que j’ai des parents ici à Didiévi. Et parmi eux, le plus illustre a été nanan Kouassi Banny qui en réalité, s’appelait Vamara Ouattara et qui est décédé en 1992 en tant que chef de Didiévi. Bien sûr, Vamara Ouattara était un cousin à nous, il était le fils de l’un de mes oncles qui a quitté Kong et qui s’est installé ici à Didiévi. Chers parents, merci d’être là, merci de venir m’accueillir si chaleureusement. Evidemment quand on parle de Didiévi, on pense également au doyen Léon Konan Koffi. Léon Konan Koffi avec qui nous avons travaillé très étroitement au près du Président Félix Houphouët Boigny quand il a été ministre de la défense. Vous savez que mon oncle Vamara Ouattrara était marié avec une femme qui est membre de la famille du ministre Léon Konan Koffi. C’est pour vous dire que je suis en famille, je suis content d’être ici aujourd’hui. Je remercie toutes les populations de Didiévi pour être sorties aussi massivement. Je remercie bien entendu les responsables de mon parti, notamment Kouamé Yao, le directeur départemental de campagne et Kla Kouassi, le directeur local de campagne qui ont fait ce travail magnifique avec tous leurs collaborateurs. Merci à vous. Je sais que vous l’avez fait sous la supervision de notre dynamique ministre de la Femme, Jeanne Peuhmond. Merci à toi Jeanne et à ton équipe. Je suis venu vous parler ici, bien sûr de mes liens familiaux mais aussi de notre bien commun, notre bien commun la Côte d’Ivoire. Oui, la Côte d’Ivoire est notre bien commun et nous devons prendre et traiter ce bien commun avec beaucoup de précision et de délicatesse. Pour cela, il faut suivre la route du Président Félix Houphouët Boigny. Oui, grâce à lui, ce pays a connu la paix pendant des décennies et grâce à lui, notre pays a connu le développement pendant des décennies. Tout à l’heure, j’ai entendu Monsieur le maire évoquer le problème de route, le problème de sécurité, bien sûr les problèmes économiques aussi. Ce que je voulais vous dire est que le 29 novembre 2009, c’est-à-dire dans 5 mois et 1 semaine nous pourrons mettre fin à cette situation en portant le RHDP au pouvoir d’Etat. Oui, nous allons le faire avec mon grand frère Henri Konan Bédié. Il y a une semaine, avant de venir dans la région des Lacs, nous sommes partis, Mme Diabaté et moi, le saluer, l’informer et lui dire que nous avons besoin de son soutien pour venir vous parler et vous dire ce que nous pourrons faire ensemble pour notre chère Côte d’Ivoire. Oui, la Côte d’Ivoire a besoin de paix. Mais, je sais également que notre pays, nos compatriotes ont besoin de se réconcilier définitivement. Et en cela, je voudrais rendre hommage aux chefs traditionnels, à mon jeune frère Jeannot Ahousssou pour le travail important qui a été fait. Je sais que par exemple à Boli, il y a eu des problèmes du fait des incompréhensions, il y a eu des tensions mais grâce à vous, chers parents, ces problèmes ont été résolus et les populations vivent ensemble dans la paix et dans la compréhension. Je vous remercie et je vous demande de continuer dans ce sens. Oui, nous avons besoin de cette réconciliation parce que dans toutes les nations, dans toutes les familles il y a, de temps en temps, des problèmes. Il y a des incompréhensions et ce ne serait pas honnête que je ne vous dise pas qu’il y a eu des incompréhensions entre mon ainé Henri Konan Bédié et moi. Mais nous avons effacé tout cela. Nous l’avons effacé pour la Côte d’Ivoire, pour Houphouët Boigny. Et c’est pour cela qu’avec nos jeunes du MFA et de l’UDPCI nous avons créé ensemble le RHDP. Nous croyons à la paix, oui nous croyons à la paix et nous croyons au pardon. Nous pensons que c’est en se pardonnant que nous, nous continuerons de faire en sorte, que le RHDP arrive au pouvoir et reprenne le flambeau de la reconstruction de la Côte d’Ivoire qui a été interrompue pendant 10 ans, depuis le coup d’Etat de 1999. Oui, il y a eu des situations déplorables et depuis lors, c’est la galère et la souffrance pour les populations. Il faut que le 29 novembre, ce soit par la voie des urnes qu’on règle le problème du choix du Président de la République de Côte d’Ivoire et non pas par des coups d’Etat ou par la force. Je suis venu vous dire que moi, je crois en ces élections. Des gens se demandent si ces élections auront lieu le 29 novembre. Je vous dis oui, elles auront lieu le 29 novembre. Le 29 novembre est une date importante parce que ce sera l’occasion de procéder au vrai changement. Ce sera l’occasion de mettre en place une équipe qui peut changer la Côte d’Ivoire, qui peut faire en sorte que toutes les souffrances dont vous parlez, que vous vivez et qui ont été énumérés ici et là depuis que j’ai commencé mes tournées, prennent fin.. Pas seulement dans la région des Lacs mais aussi dans le Bas-Sassandra. Partout où j’ai été, les gens me disent la même chose. Les Ivoiriens sont fatigués, la situation est mauvaise, la galère. Surtout les jeunes qui sont malheureux face à cette situation. Alors moi, je viens vous dire que je me suis porté candidat pour les élections du 29 novembre 2009. Oui, je me suis porté candidat parce que je crois que j’ai des choses à apporter à mon pays. J’ai des choses à apporter à mon pays. J’ai beaucoup apporté à d’autres, quand j’étais à la BCEAO, quand j’étais au FMI, j’ai apporté beaucoup à beaucoup de pays en Afrique et dans le monde, que ce soit en Europe, en Amérique latine, en Asie. Mais, maintenant que mon pays a des problèmes, est-ce que j’ai le droit de rester les bras croisés ? (la foule répond en chœur : Nooon). Vous avez donné la réponse. C’est pour cela que j’ai décidé d’être candidat le 29 novembre 2009. Oui, j’ai décidé de le faire aussi parce que j’ai des solutions aux problèmes qui se posent. Il n’est pas question pour moi d’être Président pour être Président. Je veux être Président parce que je veux aider mon pays. Je trouve que la situation qui perdure depuis 10 ans, n’est pas normale. La Côte d’Ivoire ne mérite pas cela. Je suis venu vous dire que je me mets à votre disposition. Je me mets à votre disposition et c’est avec une véritable équipe que nous allons changer les choses. La Côte d’Ivoire a besoin d’un changement profond. Avec qui voulez vous faire ce changement ? ( La foule scande : ADO ! ADO ! ADO !). Je pense que j’ai eu raison de dire que je suis candidat. Parmi tout ce que j’entends et tout ce que j’ai vu tout à l’heure, j’en vois tellement qui sans doute ne vont pas encore à l’école. Pourtant, ils doivent avoir le droit d’aller à l’école, surtout les jeunes filles. Beaucoup de jeunes que je vois qui ont sans doute 20 ou 22, ne travaillent pas. J’ai mal pour notre jeunesse. Parce que beaucoup de parents font des efforts, envoient leurs enfants à l’école. Malheureusement, à la fin, pendant 1 an, 2 ans, 3ans ils n’ont pas de travail. Il faut changer cela. C’est pour cela que j’ai développé un programme, un projet pour la Côte d’Ivoire. Et ce projet, j’ai eu l’occasion de le résumer partout où je suis passé. Je continuerai de le faire. Je vais parcourir tous les départements de Côte d’Ivoire jusqu’à la date des élections. Parce que je veux aller parler à chaque Ivoirien, à vous tous et vous dire que j’ai des solutions pour la crise que traverse notre pays. Oui, j’ai des solutions et j’ai de grandes ambitions pour notre pays. La première des ambitions, c’est vraiment de reconstruire la Côte d’Ivoire, c’est de réparer la Côte d’Ivoire qui est gâté. Pour le faire, j’ai dit que je ferai des investissements massifs que se soit dans le domaine des routes, dans le domaine de l’eau, de l’électricité, de l’habitat. Dans tous ces domaines j’ai prévu de faire des investissements. Et là, c’est ma première priorité. La deuxième priorité, c’est de faire en sorte que l’économie tourne à nouveau comme je l’ai fait tourner ailleurs, pour qu’il y ait des emplois pour les jeunes, pour tous ceux qui sont au chômage. Si je prends le cas de la santé, je viens d’écouter tout à l’heure, le maire qui me disait que le seul hôpital ici est celui de Didiévi et que l’hôpital est sous équipé, il n’y a pas de médicaments de premières nécessité…
Par Thiery Latt (Envoyé spécial)
Monsieur le ministre Jeannot Ahoussou
Chères sœurs du département de Didiévi et chers frères
Monsieur N’Gouan Koffi, maire de la commune de Didiévi et cher ami
Madame le ministre d’Etat Henriette Dagri Diabaté, secrétaire général du RDR
Madame le ministre Jeanne Peuhmond, directeur régional de campagne pour la région des Lacs
Mesdames et messieurs les ministres
Honorables chefs traditionnels, chefs de tribu, chefs de village, chers chefs religieux
Chers frères et sœurs membre du RHDP, notamment le PDCI avec mon frère Kouamé Kouamé, chers frères du PIT , du FPI
Chers compatriotes
Je suis désolé parce que je tourne le dos à certains d’entre vous, je ne sais pas dans quelle position me tenir parce que par déférence, je préfère faire face à nos chefs traditionnels qui sont reconnus pour leur rôle et leur sagesse. N’Dja gnati, nanan gnati, moh gnati (ADO salue la population en baoulé, ce qui soulève un tonnerre d’applaudissement. Mais vous savez, j’ai perdu un peu de mon baoulé mais en réalité ce que beaucoup ne savent pas, c’est que à Didiévi je suis chez moi. Je suis chez moi parce que j’ai des parents ici à Didiévi. Et parmi eux, le plus illustre a été nanan Kouassi Banny qui en réalité, s’appelait Vamara Ouattara et qui est décédé en 1992 en tant que chef de Didiévi. Bien sûr, Vamara Ouattara était un cousin à nous, il était le fils de l’un de mes oncles qui a quitté Kong et qui s’est installé ici à Didiévi. Chers parents, merci d’être là, merci de venir m’accueillir si chaleureusement. Evidemment quand on parle de Didiévi, on pense également au doyen Léon Konan Koffi. Léon Konan Koffi avec qui nous avons travaillé très étroitement au près du Président Félix Houphouët Boigny quand il a été ministre de la défense. Vous savez que mon oncle Vamara Ouattrara était marié avec une femme qui est membre de la famille du ministre Léon Konan Koffi. C’est pour vous dire que je suis en famille, je suis content d’être ici aujourd’hui. Je remercie toutes les populations de Didiévi pour être sorties aussi massivement. Je remercie bien entendu les responsables de mon parti, notamment Kouamé Yao, le directeur départemental de campagne et Kla Kouassi, le directeur local de campagne qui ont fait ce travail magnifique avec tous leurs collaborateurs. Merci à vous. Je sais que vous l’avez fait sous la supervision de notre dynamique ministre de la Femme, Jeanne Peuhmond. Merci à toi Jeanne et à ton équipe. Je suis venu vous parler ici, bien sûr de mes liens familiaux mais aussi de notre bien commun, notre bien commun la Côte d’Ivoire. Oui, la Côte d’Ivoire est notre bien commun et nous devons prendre et traiter ce bien commun avec beaucoup de précision et de délicatesse. Pour cela, il faut suivre la route du Président Félix Houphouët Boigny. Oui, grâce à lui, ce pays a connu la paix pendant des décennies et grâce à lui, notre pays a connu le développement pendant des décennies. Tout à l’heure, j’ai entendu Monsieur le maire évoquer le problème de route, le problème de sécurité, bien sûr les problèmes économiques aussi. Ce que je voulais vous dire est que le 29 novembre 2009, c’est-à-dire dans 5 mois et 1 semaine nous pourrons mettre fin à cette situation en portant le RHDP au pouvoir d’Etat. Oui, nous allons le faire avec mon grand frère Henri Konan Bédié. Il y a une semaine, avant de venir dans la région des Lacs, nous sommes partis, Mme Diabaté et moi, le saluer, l’informer et lui dire que nous avons besoin de son soutien pour venir vous parler et vous dire ce que nous pourrons faire ensemble pour notre chère Côte d’Ivoire. Oui, la Côte d’Ivoire a besoin de paix. Mais, je sais également que notre pays, nos compatriotes ont besoin de se réconcilier définitivement. Et en cela, je voudrais rendre hommage aux chefs traditionnels, à mon jeune frère Jeannot Ahousssou pour le travail important qui a été fait. Je sais que par exemple à Boli, il y a eu des problèmes du fait des incompréhensions, il y a eu des tensions mais grâce à vous, chers parents, ces problèmes ont été résolus et les populations vivent ensemble dans la paix et dans la compréhension. Je vous remercie et je vous demande de continuer dans ce sens. Oui, nous avons besoin de cette réconciliation parce que dans toutes les nations, dans toutes les familles il y a, de temps en temps, des problèmes. Il y a des incompréhensions et ce ne serait pas honnête que je ne vous dise pas qu’il y a eu des incompréhensions entre mon ainé Henri Konan Bédié et moi. Mais nous avons effacé tout cela. Nous l’avons effacé pour la Côte d’Ivoire, pour Houphouët Boigny. Et c’est pour cela qu’avec nos jeunes du MFA et de l’UDPCI nous avons créé ensemble le RHDP. Nous croyons à la paix, oui nous croyons à la paix et nous croyons au pardon. Nous pensons que c’est en se pardonnant que nous, nous continuerons de faire en sorte, que le RHDP arrive au pouvoir et reprenne le flambeau de la reconstruction de la Côte d’Ivoire qui a été interrompue pendant 10 ans, depuis le coup d’Etat de 1999. Oui, il y a eu des situations déplorables et depuis lors, c’est la galère et la souffrance pour les populations. Il faut que le 29 novembre, ce soit par la voie des urnes qu’on règle le problème du choix du Président de la République de Côte d’Ivoire et non pas par des coups d’Etat ou par la force. Je suis venu vous dire que moi, je crois en ces élections. Des gens se demandent si ces élections auront lieu le 29 novembre. Je vous dis oui, elles auront lieu le 29 novembre. Le 29 novembre est une date importante parce que ce sera l’occasion de procéder au vrai changement. Ce sera l’occasion de mettre en place une équipe qui peut changer la Côte d’Ivoire, qui peut faire en sorte que toutes les souffrances dont vous parlez, que vous vivez et qui ont été énumérés ici et là depuis que j’ai commencé mes tournées, prennent fin.. Pas seulement dans la région des Lacs mais aussi dans le Bas-Sassandra. Partout où j’ai été, les gens me disent la même chose. Les Ivoiriens sont fatigués, la situation est mauvaise, la galère. Surtout les jeunes qui sont malheureux face à cette situation. Alors moi, je viens vous dire que je me suis porté candidat pour les élections du 29 novembre 2009. Oui, je me suis porté candidat parce que je crois que j’ai des choses à apporter à mon pays. J’ai des choses à apporter à mon pays. J’ai beaucoup apporté à d’autres, quand j’étais à la BCEAO, quand j’étais au FMI, j’ai apporté beaucoup à beaucoup de pays en Afrique et dans le monde, que ce soit en Europe, en Amérique latine, en Asie. Mais, maintenant que mon pays a des problèmes, est-ce que j’ai le droit de rester les bras croisés ? (la foule répond en chœur : Nooon). Vous avez donné la réponse. C’est pour cela que j’ai décidé d’être candidat le 29 novembre 2009. Oui, j’ai décidé de le faire aussi parce que j’ai des solutions aux problèmes qui se posent. Il n’est pas question pour moi d’être Président pour être Président. Je veux être Président parce que je veux aider mon pays. Je trouve que la situation qui perdure depuis 10 ans, n’est pas normale. La Côte d’Ivoire ne mérite pas cela. Je suis venu vous dire que je me mets à votre disposition. Je me mets à votre disposition et c’est avec une véritable équipe que nous allons changer les choses. La Côte d’Ivoire a besoin d’un changement profond. Avec qui voulez vous faire ce changement ? ( La foule scande : ADO ! ADO ! ADO !). Je pense que j’ai eu raison de dire que je suis candidat. Parmi tout ce que j’entends et tout ce que j’ai vu tout à l’heure, j’en vois tellement qui sans doute ne vont pas encore à l’école. Pourtant, ils doivent avoir le droit d’aller à l’école, surtout les jeunes filles. Beaucoup de jeunes que je vois qui ont sans doute 20 ou 22, ne travaillent pas. J’ai mal pour notre jeunesse. Parce que beaucoup de parents font des efforts, envoient leurs enfants à l’école. Malheureusement, à la fin, pendant 1 an, 2 ans, 3ans ils n’ont pas de travail. Il faut changer cela. C’est pour cela que j’ai développé un programme, un projet pour la Côte d’Ivoire. Et ce projet, j’ai eu l’occasion de le résumer partout où je suis passé. Je continuerai de le faire. Je vais parcourir tous les départements de Côte d’Ivoire jusqu’à la date des élections. Parce que je veux aller parler à chaque Ivoirien, à vous tous et vous dire que j’ai des solutions pour la crise que traverse notre pays. Oui, j’ai des solutions et j’ai de grandes ambitions pour notre pays. La première des ambitions, c’est vraiment de reconstruire la Côte d’Ivoire, c’est de réparer la Côte d’Ivoire qui est gâté. Pour le faire, j’ai dit que je ferai des investissements massifs que se soit dans le domaine des routes, dans le domaine de l’eau, de l’électricité, de l’habitat. Dans tous ces domaines j’ai prévu de faire des investissements. Et là, c’est ma première priorité. La deuxième priorité, c’est de faire en sorte que l’économie tourne à nouveau comme je l’ai fait tourner ailleurs, pour qu’il y ait des emplois pour les jeunes, pour tous ceux qui sont au chômage. Si je prends le cas de la santé, je viens d’écouter tout à l’heure, le maire qui me disait que le seul hôpital ici est celui de Didiévi et que l’hôpital est sous équipé, il n’y a pas de médicaments de premières nécessité…
Par Thiery Latt (Envoyé spécial)