La venue du président des Républicains dans le cadre d’une tournée, dans la vallée du Bandama, a suscité dans l’esprit d’une frange de la jeunesse dynamique de Bouaké, une vocation commerciale. Quand on sillonne les grandes artères et les endroits bouillants de la ville, il n’est pas rare d’apercevoir en vente, les gadgets et autres supports à l’effigie du mentor des républicains. Pour ces jeunes gens et jeunes filles, le nom ADO fait vivre. Ces vendeurs de tee-shirt, chapeaux et gadgets portant la photo et le nom ADO, reconnaissent que leur produit est fortement apprécié et sollicité ces temps-ci.
Comme le témoigne le jeune Boubacar qui, depuis quelques jours, parcourt les quartiers en passant dans les « grins » pour vendre ses articles n’a pas manqué de marquer sa satisfaction face à son record de vente. « J’ arrive à vendre plus d’une trentaine de tricots par jour en raison de 1000 francs l’unité et mon patron qui confectionne les tricots est très satisfait de ma performance », affirme-t-il avant de soutenir qu’il vit mieux ces derniers temps, depuis qu’il vend les tricots et les chapeaux portant les lettres ADO. Mlle Touré Férima ne dira pas le contraire : « depuis quelques jours, les articles qui portent la marque ADO sont sollicités et franchement, je suis très satisfaite des recettes qu’ils génèrent », soutirnt-il. Quant à Mme Diallo Fanta de la commission vente à la rue Lepic, venue pour la circonstance à Bouaké, elle a déposé ses valises de marchandises depuis environ une semaine, dans un local contigu au siège du RDR à Sokoura. Elle se réjouit énormément de l’engouement des militants et des sympathisants qui s’approvisionnent en pagnes, tricots et gadgets ADO .’’Dès mon arrivée, j’ai pris attache avec le maire Fanny Ibrahima pour lui dire que les différents articles à l’effigie du docteur Alassane Dramane Ouattara sont disponibles. Comme vous le constatez, la mobilisation est totale du fait que l’information concernant ces articles est passée dans toutes les sections, dans les districts », se frotte les mains Diallo Fanta. Selon la représentante de la commission vente de la rue Lepic, chaque matin, à partir de 6h, elle est déjà sollicitée par les clients. ’’La demande est si forte que je suis confrontée à des ruptures de stocks, ce qui me conduit a lancer fréquemment des appels pressants du côté de la rue Lepic afin qu’on m’approvisionne’’
Maiga Idrissa (Correspondant)
Comme le témoigne le jeune Boubacar qui, depuis quelques jours, parcourt les quartiers en passant dans les « grins » pour vendre ses articles n’a pas manqué de marquer sa satisfaction face à son record de vente. « J’ arrive à vendre plus d’une trentaine de tricots par jour en raison de 1000 francs l’unité et mon patron qui confectionne les tricots est très satisfait de ma performance », affirme-t-il avant de soutenir qu’il vit mieux ces derniers temps, depuis qu’il vend les tricots et les chapeaux portant les lettres ADO. Mlle Touré Férima ne dira pas le contraire : « depuis quelques jours, les articles qui portent la marque ADO sont sollicités et franchement, je suis très satisfaite des recettes qu’ils génèrent », soutirnt-il. Quant à Mme Diallo Fanta de la commission vente à la rue Lepic, venue pour la circonstance à Bouaké, elle a déposé ses valises de marchandises depuis environ une semaine, dans un local contigu au siège du RDR à Sokoura. Elle se réjouit énormément de l’engouement des militants et des sympathisants qui s’approvisionnent en pagnes, tricots et gadgets ADO .’’Dès mon arrivée, j’ai pris attache avec le maire Fanny Ibrahima pour lui dire que les différents articles à l’effigie du docteur Alassane Dramane Ouattara sont disponibles. Comme vous le constatez, la mobilisation est totale du fait que l’information concernant ces articles est passée dans toutes les sections, dans les districts », se frotte les mains Diallo Fanta. Selon la représentante de la commission vente de la rue Lepic, chaque matin, à partir de 6h, elle est déjà sollicitée par les clients. ’’La demande est si forte que je suis confrontée à des ruptures de stocks, ce qui me conduit a lancer fréquemment des appels pressants du côté de la rue Lepic afin qu’on m’approvisionne’’
Maiga Idrissa (Correspondant)
