Mr le Président Alassane Dramane Ouattara Président du rassemblement des républicains Mme Dominique Ouattara
Mesdames Messieurs les Ministres
Mesdames et Messieurs
Les Directeurs Généraux et centraux
Mesdames et Messieurs de la direction du RDR
Mesdames et Messieurs les membres de l’assistance à vos grades et rang s respectifs.
Nous étudiants des grandes écoles de Yamoussoukro
Nous sommes très heureux de l’honneur que vous nous faites d’être présent à cette rencontre sur trois points essentiels :
l Premièrement sur la vie extra scolaire
l Les problèmes académiques
l Et les problèmes post formation
En effet, en ce qui concerne
l’extrascolaire
1- Nous notons la vétusté des infrastructures, les services limités au niveau de l’infirmerie et de la restauration ainsi que l’état sanitaire de la cité (espace vert, toilette) comme exemple palpant nous sommes réunis ici dans cette salle pour la simple raison que la toiture du grand amphi de l’INP-SUD est, depuis plus de cinq ans, assimilable à un passoire, alors que cette salle abritait auparavant toutes les activités de promotion des différentes associations des étudiants de l’INP. Hors mi l’aspect qui incombe aux autorités administratives, nous élèves, voulons être des acteurs de la gestion de notre environnement immédiat.
2- Nous voulons faire du projet de construction de la cité de l’INP-NORD qui n a jamais eu de suite. L’absence de cette cité cause beaucoup de désagréments notamment la réduction du volume horaire des cours des élèves ingénieurs agronomes et la réduction de la capacité d’accueil de l’institut empêchant d’autres bacheliers méritant, d’y accéder.
3- Nous aimerons bien voir au sain de grandes écoles, la saine émulation au niveau du sport et des loisirs qui existent dans les universités du NORD.
4- Pour clore le volet extrascolaire et toujours dans l’optique de l’animation de nos cités nous souhaitons avoir les moyens pour la mise en place d’une coopérative estudiantine. Cette coopérative partirait à la gestion de certains patrimoines tels que : les activités libres (librairie, supermarché, poste etc.), usines écoles, fermes. Ceci sera aussi pour nous d’évaluer les connaissances théoriques que nous recevons en servant d’interface avec l’extérieur.
Au niveau académique
1- La vétusté et le manque criard en matériel didactique et en équipement :
l Les laboratoires et les bibliothèques sont sous équipés ;
l Le grand besoin quand à l’accès internet. Cet outil qui constitue de nos jours un moteur de travail et de production ;
l L’absence de vidéo projecteur dans les salles de classes ; leur présence nous faciliterait une meilleure compréhension des cours.
l Le parc auto très vieillissant, et d’une capacité de prestation qui est largement en dessous des besoins. Ce qui entraîne une incertitude dans la programmation des voyages et des sorties d’études.
2- Au niveau de la formation, tandis que les grandes universités occidentales pratiquent le système LMD nous avons du mal à suivre le pas. En plus, de nos jours le concept de mondialisation prend de plus en plus de l’ampleur. Il serait judicieux pour nous que nous nouons des partenariats avec des entreprises et universités africaines, américaines, européennes et asiatiques.
3- Vu les nombreux remous qui ont eu lieu ces dernières années, nous souhaitons que les conditions de travail du corps professoral soient améliorées. Essentiellement au niveau des conditions de recherche car nous savons que l’enseignement supérieur repose sur la recherche.
4- Nous souhaitons que notre bourse s’adapte au niveau de la vie et à l’inflation car elle constitue un moyen alternatif qui satisfait nos besoins académiques.
ÿ Au niveau poste du plan
1- Les grandes écoles de Yamoussoukro mettent chaque années sur le marché de l’emploi environ 1000 diplômés (ingénieurs et techniciens supérieurs) dont 800 issus de l’INPHB. Chaque année ces diplômes ont de véritables difficultés à se trouver un emploi. L’on ne cesse de dire (que) l’avenir de ce pays repose sur sa jeunesse. Comment ce pays peut-il avoir un avenir heureux si sa jeunesse diplômée et qualifié n a pas d’avenir.
Nous souhaitons que le problème d’emploi des jeunes diplômés soit au cœur de votre préoccupation.
2 - Aussi parmi tous ces techniciens et ingénieurs de très bon niveau issu des grandes écoles de Yamoussoukro, ceux qui désirent s’auto employer rencontrent des difficultés pour le financement de leurs projets. Nous souhaitons donc avoir des facilités de financement de projets après nos formations.
3- Enfin, certains d’entre nous après leur formation souhaitent aller se perfectionner tout comme vous dans des universités étrangères.
Nous souhaitons donc que vous pensiez à un mécanisme plus crédible et plus transparent de l’octroi des bourses d’études aux étudiants.
Monsieur le président du RDR, voici en quelques lignes la situation e t les attentes des étudiants des grandes écoles de Yamoussoukro. Aussi, croyons que si ces difficultés trouvent des solutions durables, ceci participerait à améliorer nos rendements à l’école et partant à contribuer à un développement harmonieux. Grâce à l’espoir que nous mettons en votre personne et aussi à notre détermination de voir changer l’état actuel des choses, nous espérons connaître pour nous et pour les générations futures, monsieur le président des lendemains meilleurs.
Mesdames Messieurs les Ministres
Mesdames et Messieurs
Les Directeurs Généraux et centraux
Mesdames et Messieurs de la direction du RDR
Mesdames et Messieurs les membres de l’assistance à vos grades et rang s respectifs.
Nous étudiants des grandes écoles de Yamoussoukro
Nous sommes très heureux de l’honneur que vous nous faites d’être présent à cette rencontre sur trois points essentiels :
l Premièrement sur la vie extra scolaire
l Les problèmes académiques
l Et les problèmes post formation
En effet, en ce qui concerne
l’extrascolaire
1- Nous notons la vétusté des infrastructures, les services limités au niveau de l’infirmerie et de la restauration ainsi que l’état sanitaire de la cité (espace vert, toilette) comme exemple palpant nous sommes réunis ici dans cette salle pour la simple raison que la toiture du grand amphi de l’INP-SUD est, depuis plus de cinq ans, assimilable à un passoire, alors que cette salle abritait auparavant toutes les activités de promotion des différentes associations des étudiants de l’INP. Hors mi l’aspect qui incombe aux autorités administratives, nous élèves, voulons être des acteurs de la gestion de notre environnement immédiat.
2- Nous voulons faire du projet de construction de la cité de l’INP-NORD qui n a jamais eu de suite. L’absence de cette cité cause beaucoup de désagréments notamment la réduction du volume horaire des cours des élèves ingénieurs agronomes et la réduction de la capacité d’accueil de l’institut empêchant d’autres bacheliers méritant, d’y accéder.
3- Nous aimerons bien voir au sain de grandes écoles, la saine émulation au niveau du sport et des loisirs qui existent dans les universités du NORD.
4- Pour clore le volet extrascolaire et toujours dans l’optique de l’animation de nos cités nous souhaitons avoir les moyens pour la mise en place d’une coopérative estudiantine. Cette coopérative partirait à la gestion de certains patrimoines tels que : les activités libres (librairie, supermarché, poste etc.), usines écoles, fermes. Ceci sera aussi pour nous d’évaluer les connaissances théoriques que nous recevons en servant d’interface avec l’extérieur.
Au niveau académique
1- La vétusté et le manque criard en matériel didactique et en équipement :
l Les laboratoires et les bibliothèques sont sous équipés ;
l Le grand besoin quand à l’accès internet. Cet outil qui constitue de nos jours un moteur de travail et de production ;
l L’absence de vidéo projecteur dans les salles de classes ; leur présence nous faciliterait une meilleure compréhension des cours.
l Le parc auto très vieillissant, et d’une capacité de prestation qui est largement en dessous des besoins. Ce qui entraîne une incertitude dans la programmation des voyages et des sorties d’études.
2- Au niveau de la formation, tandis que les grandes universités occidentales pratiquent le système LMD nous avons du mal à suivre le pas. En plus, de nos jours le concept de mondialisation prend de plus en plus de l’ampleur. Il serait judicieux pour nous que nous nouons des partenariats avec des entreprises et universités africaines, américaines, européennes et asiatiques.
3- Vu les nombreux remous qui ont eu lieu ces dernières années, nous souhaitons que les conditions de travail du corps professoral soient améliorées. Essentiellement au niveau des conditions de recherche car nous savons que l’enseignement supérieur repose sur la recherche.
4- Nous souhaitons que notre bourse s’adapte au niveau de la vie et à l’inflation car elle constitue un moyen alternatif qui satisfait nos besoins académiques.
ÿ Au niveau poste du plan
1- Les grandes écoles de Yamoussoukro mettent chaque années sur le marché de l’emploi environ 1000 diplômés (ingénieurs et techniciens supérieurs) dont 800 issus de l’INPHB. Chaque année ces diplômes ont de véritables difficultés à se trouver un emploi. L’on ne cesse de dire (que) l’avenir de ce pays repose sur sa jeunesse. Comment ce pays peut-il avoir un avenir heureux si sa jeunesse diplômée et qualifié n a pas d’avenir.
Nous souhaitons que le problème d’emploi des jeunes diplômés soit au cœur de votre préoccupation.
2 - Aussi parmi tous ces techniciens et ingénieurs de très bon niveau issu des grandes écoles de Yamoussoukro, ceux qui désirent s’auto employer rencontrent des difficultés pour le financement de leurs projets. Nous souhaitons donc avoir des facilités de financement de projets après nos formations.
3- Enfin, certains d’entre nous après leur formation souhaitent aller se perfectionner tout comme vous dans des universités étrangères.
Nous souhaitons donc que vous pensiez à un mécanisme plus crédible et plus transparent de l’octroi des bourses d’études aux étudiants.
Monsieur le président du RDR, voici en quelques lignes la situation e t les attentes des étudiants des grandes écoles de Yamoussoukro. Aussi, croyons que si ces difficultés trouvent des solutions durables, ceci participerait à améliorer nos rendements à l’école et partant à contribuer à un développement harmonieux. Grâce à l’espoir que nous mettons en votre personne et aussi à notre détermination de voir changer l’état actuel des choses, nous espérons connaître pour nous et pour les générations futures, monsieur le président des lendemains meilleurs.