Les opérations de vote pour l’élection présidentielle en Guinée-Bissau ont pris fin dimanche vers 17H00 (locales et Gmt), près de quatre mois après l’assassinat du président Joao Bernardo Vieira, a constaté un journaliste de l’Afp.
Le vote avait commencé à 07H00, près de 600.000 électeurs étaient appelés aux urnes. Aucun incident n’a été signalé dans le pays.
A Bissau, dans le quartier Cupilum de baixo, le dépouillement a commencé aussitôt après la fermeture des bureaux de vote, selon un journaliste de l’Afp.
Une source de la commission électorale a indiqué qu’il “n’y aurait pas de prolongation des opérations de vote”. L’organisation de cette élection présidentielle anticipée a été entièrement financée par la communauté internationale pour un coût de 5,1 millions d’euros.
Ce scrutin s’est tenu après une série d’assassinats dont celui du président Vieira tué début mars par des militaires, quelques heures après la mort du chef d’Etat-major de l’armée, le général Batista Tagmé Na Waïe, dans un attentat à la bombe à Bissau. Le 5 juin, Baciro Dabo, ex-ministre de l’Administration territoriale et candidat à la présidentielle, et l’ex-ministre de la Défense, Helder Proença, ont été tués par des militaires. Cette série de meurtres a poussé Me Pedro Infanda, un indépendant, à se retirer de la course, ce qui a porté le nombre de candidats à cette présidentielle à onze dont trois anciens chefs d’Etat de ce pays devenu une plaque tournante du trafic de cocaïne, selon l’Onu.
Le globe tourne
Vatican. Le pape Benoît XVI a indiqué dimanche qu’une analyse scientifique partielle dans le tombeau renfermant les reliques de Saint Paul, jamais ouvert en 19 siècles, avait révélé la présence de fragments d’os humains qui seraient, selon lui, ceux de l’apôtre.
Honduras. Suite à un coup de force de militaires, le président hondurien Manuel Zelaya, qui se trouve désormais au Costa Rica, a déclaré sur une télé vénézuelienne avoir été “kidnappé”.
AFP
Le vote avait commencé à 07H00, près de 600.000 électeurs étaient appelés aux urnes. Aucun incident n’a été signalé dans le pays.
A Bissau, dans le quartier Cupilum de baixo, le dépouillement a commencé aussitôt après la fermeture des bureaux de vote, selon un journaliste de l’Afp.
Une source de la commission électorale a indiqué qu’il “n’y aurait pas de prolongation des opérations de vote”. L’organisation de cette élection présidentielle anticipée a été entièrement financée par la communauté internationale pour un coût de 5,1 millions d’euros.
Ce scrutin s’est tenu après une série d’assassinats dont celui du président Vieira tué début mars par des militaires, quelques heures après la mort du chef d’Etat-major de l’armée, le général Batista Tagmé Na Waïe, dans un attentat à la bombe à Bissau. Le 5 juin, Baciro Dabo, ex-ministre de l’Administration territoriale et candidat à la présidentielle, et l’ex-ministre de la Défense, Helder Proença, ont été tués par des militaires. Cette série de meurtres a poussé Me Pedro Infanda, un indépendant, à se retirer de la course, ce qui a porté le nombre de candidats à cette présidentielle à onze dont trois anciens chefs d’Etat de ce pays devenu une plaque tournante du trafic de cocaïne, selon l’Onu.
Le globe tourne
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AFP