L’Onuci, en partenariat avec le ministère de l’intérieur et le ministère de la réconciliation nationale et des relations avec les institutions, a organisé les 16 et 17 juin derniers, à l’hôtel Tropic, un séminaire à l’intention du corps préfectoral sur le thème : “renforcement des capacités du corps préfectoral sur les mécanismes de prévention et de résolution des confits”.
Pour Mme Serge Kouassi Hortense , directeur de cabinet du ministre de la réconciliation et des relations avec les institutions, il est indiqué que le corps préfectoral approfondisse ses compétences dans le règlement des conflits pour mieux les gérer dans leurs circonscriptions administratives respectives en vue de garantir, de consolider la cohésion sociale. Les sous-préfets se sont familiarisés avec les outils employés dans la prévention et la gestion des conflits. Pendant les deux journées marquées par les travaux en plénière et en atelier, les séminaristes ont consacré un large temps à l’étude des conflits récurrents dans leurs circonscriptions, aux échanges d’approches et l’expérimentation. Ils se sont essayés, par illustration, à la résolution d’un conflit entre deux villages opposés à cause du nom de leur nouvelle Sous-préfecture. De cette illustration, ils ont retenu que l’Etat n’a pas pu construire un collège moderne, un marché et un dispensaire dans cette sous-préfecture imaginaire dans laquelle les habitants se querellaient. A la clôture, le Préfet de région, Préfet de Daloa, M. Dackoury Lohouré Dabet, s’est dit heureux et satisfait de ce séminaire qui a fourni un cadre théorique et des outils nécessaires au corps préfectoral sur les mécanismes de prévention et de gestion des conflits dans les régions. Selon lui, le corps préfectoral ne doit pas se dérober à son devoir qui consiste, parmi tant d’autres, à garantir la cohésion sociale, à veiller sur la quiétude de tous ceux qui vivent en Côte d’Ivoire.
Des chefs de village, des présidents des ONG et des associations de femmes sont sortis de ce séminaire aguerris.
E.G.B.
Pour Mme Serge Kouassi Hortense , directeur de cabinet du ministre de la réconciliation et des relations avec les institutions, il est indiqué que le corps préfectoral approfondisse ses compétences dans le règlement des conflits pour mieux les gérer dans leurs circonscriptions administratives respectives en vue de garantir, de consolider la cohésion sociale. Les sous-préfets se sont familiarisés avec les outils employés dans la prévention et la gestion des conflits. Pendant les deux journées marquées par les travaux en plénière et en atelier, les séminaristes ont consacré un large temps à l’étude des conflits récurrents dans leurs circonscriptions, aux échanges d’approches et l’expérimentation. Ils se sont essayés, par illustration, à la résolution d’un conflit entre deux villages opposés à cause du nom de leur nouvelle Sous-préfecture. De cette illustration, ils ont retenu que l’Etat n’a pas pu construire un collège moderne, un marché et un dispensaire dans cette sous-préfecture imaginaire dans laquelle les habitants se querellaient. A la clôture, le Préfet de région, Préfet de Daloa, M. Dackoury Lohouré Dabet, s’est dit heureux et satisfait de ce séminaire qui a fourni un cadre théorique et des outils nécessaires au corps préfectoral sur les mécanismes de prévention et de gestion des conflits dans les régions. Selon lui, le corps préfectoral ne doit pas se dérober à son devoir qui consiste, parmi tant d’autres, à garantir la cohésion sociale, à veiller sur la quiétude de tous ceux qui vivent en Côte d’Ivoire.
Des chefs de village, des présidents des ONG et des associations de femmes sont sortis de ce séminaire aguerris.
E.G.B.
