Un discours constant, dans lequel il a abordé toutes les questions qui préoccupent ses compatriotes. Lors de sa tournée d’une dizaine de jours qui l’a conduit dans les régions des Lacs et de la Vallée du Bandama, le candidat du RDR s’est prononcé sur les questions brûlantes de l’heure. Avec fermeté et assurance. Comme par exemple la guerre qui a secoué le pays. Sur ce point, ADO a été très clair. Il a condamné les affrontements entre les fils d’un même pays: «Je ne peux admettre que des gens qui étaient les meilleurs amis, décident de ne plus se rencontrer parce qu’ils ne sont pas de la même ethnie.
Je ne peux pas admettre non plus que des couples qui s’entendaient à merveille, se séparent parce que le mari et la femme ne sont pas de la même région ou de la même religion.
Je ne peux pas admettre davantage que des enfants qui étaient inséparables, ne jouent plus ensemble parce que les parents n’appartiennent pas à la même ethnie ou au même parti politique».
L’hôte des populations des régions des Lacs et de la Vallée du Bandama a, dans ses différentes interventions, tenu à préciser à l’endroit des uns et des autres que, toutes les promesses qu’il a leur a faites ne seront pas ‘’des promesses fallacieuses’’. « (…) Je ne vous ferai pas de promesses fallacieuses. Toutes les promesses seront exécutées. En 1990, j’ai fait tout ce que j’ai promis». Banquier, économiste et financier, il sait où trouver toute cette manne qu’il promet aux populations des régions qu’il a visitées: «Je sais où trouver l’argent» a dit ADO pour qui, tout est une question de confiance et surtout de réseaux. «J’ai la confiance des bailleurs de fonds et j’ai les relations qu’il faut», ne cesse-t-il de rappeler. Tout comme il a rassuré l’opinion nationale et internationale qu’il ne fera pas de chasse aux sorcières: «Le dialogue et la concertation seront des exigences au cœur de mon action pour ressouder notre Nation.
Je constituerai, dès mon élection, un gouvernement de large rassemblement qui comprendrait des Hommes et des Femmes compétents de toute origine ethnique ou de convictions religieuses. Comme vous avez pu le constater en 1990, j’ai réussi à faire travailler ensemble des Hommes et des Femmes de toutes les régions. C’est ce que je ferai à nouveau.
Les Ministres que je choisirai auront pour consigne de travailler pour le bien commun, tout comme les Directeurs de l’administration dont la nomination se fera également selon des critères de compétence et de mérite». Et les populations qui y croient, ne se sont pas fait prier pour venir l’écouter à toutes les étapes. Que ce soit à Toumodi, Yamoussoukro, Didievi, Tié N’Diekro, Tiebissou, Djébonoua, M’Bahiakro, Béoumi, Bouaké et même dans les villages et campements les plus reculés comme par exemple à Bonguera où il lui a fallu deux longues heures pour parcourir 35 kilomètres seulement, le président du RDR, a déchaîné des passions.
C’est donc devant des populations en liesse qu’ADO a expliqué ses liens avec le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, Félix Houphouët-Boigny qui l’a fait entrer en politique: «Si je suis candidat à l’élection présidentielle du 29 Novembre 2009, c’est parce que je considère que s’occuper des autres est la chose la plus gratifiante qui soit. Mais c’est aussi par fidélité à la mémoire du Président Félix Houphouët-Boigny, par devoir moral vis-à-vis de notre père. Parce que je ne veux pas laisser mourir le riche héritage qu’il nous a laissé. Face aux difficultés du moment, je sais qu’il m’aurait demandé de me mettre au travail, comme il l’a fait en 1990 (…) En février 1990, il m’a dit, ‘’mon fils, le pays a des problèmes, j’ai des problèmes. Mes compatriotes ne veulent plus m’écouter. Ils ne veulent écouter personne». Et le Gouverneur de la BCEAO à l’époque, avait accepté d’abandonner son bureau douillet de Dakar pour venir aider son pays.
Yves-M. ABIET
Envoyé spécial
Je ne peux pas admettre non plus que des couples qui s’entendaient à merveille, se séparent parce que le mari et la femme ne sont pas de la même région ou de la même religion.
Je ne peux pas admettre davantage que des enfants qui étaient inséparables, ne jouent plus ensemble parce que les parents n’appartiennent pas à la même ethnie ou au même parti politique».
L’hôte des populations des régions des Lacs et de la Vallée du Bandama a, dans ses différentes interventions, tenu à préciser à l’endroit des uns et des autres que, toutes les promesses qu’il a leur a faites ne seront pas ‘’des promesses fallacieuses’’. « (…) Je ne vous ferai pas de promesses fallacieuses. Toutes les promesses seront exécutées. En 1990, j’ai fait tout ce que j’ai promis». Banquier, économiste et financier, il sait où trouver toute cette manne qu’il promet aux populations des régions qu’il a visitées: «Je sais où trouver l’argent» a dit ADO pour qui, tout est une question de confiance et surtout de réseaux. «J’ai la confiance des bailleurs de fonds et j’ai les relations qu’il faut», ne cesse-t-il de rappeler. Tout comme il a rassuré l’opinion nationale et internationale qu’il ne fera pas de chasse aux sorcières: «Le dialogue et la concertation seront des exigences au cœur de mon action pour ressouder notre Nation.
Je constituerai, dès mon élection, un gouvernement de large rassemblement qui comprendrait des Hommes et des Femmes compétents de toute origine ethnique ou de convictions religieuses. Comme vous avez pu le constater en 1990, j’ai réussi à faire travailler ensemble des Hommes et des Femmes de toutes les régions. C’est ce que je ferai à nouveau.
Les Ministres que je choisirai auront pour consigne de travailler pour le bien commun, tout comme les Directeurs de l’administration dont la nomination se fera également selon des critères de compétence et de mérite». Et les populations qui y croient, ne se sont pas fait prier pour venir l’écouter à toutes les étapes. Que ce soit à Toumodi, Yamoussoukro, Didievi, Tié N’Diekro, Tiebissou, Djébonoua, M’Bahiakro, Béoumi, Bouaké et même dans les villages et campements les plus reculés comme par exemple à Bonguera où il lui a fallu deux longues heures pour parcourir 35 kilomètres seulement, le président du RDR, a déchaîné des passions.
C’est donc devant des populations en liesse qu’ADO a expliqué ses liens avec le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, Félix Houphouët-Boigny qui l’a fait entrer en politique: «Si je suis candidat à l’élection présidentielle du 29 Novembre 2009, c’est parce que je considère que s’occuper des autres est la chose la plus gratifiante qui soit. Mais c’est aussi par fidélité à la mémoire du Président Félix Houphouët-Boigny, par devoir moral vis-à-vis de notre père. Parce que je ne veux pas laisser mourir le riche héritage qu’il nous a laissé. Face aux difficultés du moment, je sais qu’il m’aurait demandé de me mettre au travail, comme il l’a fait en 1990 (…) En février 1990, il m’a dit, ‘’mon fils, le pays a des problèmes, j’ai des problèmes. Mes compatriotes ne veulent plus m’écouter. Ils ne veulent écouter personne». Et le Gouverneur de la BCEAO à l’époque, avait accepté d’abandonner son bureau douillet de Dakar pour venir aider son pays.
Yves-M. ABIET
Envoyé spécial
