Prévus pour la matinée, les oraux n’ont finalement démarré que dans l’après-midi.
Les oraux du Bac, sauvés de justesse, ont commencé timidement dans les établissements publics et techniques. Les épreuves de français, anglais, et espagnol ou allemand qui devaient s’y tenir dans la matinée à partir de 8h n’ont finalement démarré que dans l’après-midi. Le retard accusé est dû au mot d’ordre de grève des syndicats, qui a été levé à la suite du décret pris par le Chef de l’Etat. Il permet désormais aux enseignants du secteur éducation- formation de bénéficier des effets du recasement dans les nouveaux grades.
Au Lycée moderne d’Adjamé, M.N’Ké Dénis, explique que le secrétariat dont il est le chef, devait en principe être ouvert depuis le 25 juin pour faire les procédures permettant d’accueillir les élèves dans de bonnes conditions hier matin. Ce qui malheureusement n’a pu être fait. La matinée d’hier a donc été consacrée à y mettre de l’ordre. De sorte que les élèves venus pour l’examen ont été priés de revenir dans l’après-midi. Ahoba Josiane, candidate libre et Boua Marie, toutes deux de la série D, ont dénoncé les désagréments causés par cette situation. «Nous habitons loin. On nous demande de revenir demain. Notre tour de passage sera affiché demain ». Les élèves des séries A et C ont été accueillis dans l’après-midi. Ce sont au total 800 candidats qui sont attendus dans ce centre : 239 de la série A2, 36 de la série C et 525 de la série D.
Au Lycée Sainte-Marie, le chef du centre N’cho Eléonore, affiche la sérénité. Ici, il n’y a pas de problème. Les épreuves ont commencé depuis lundi, avec l’oral de français pour les candidats au Bac H. C’est un bac artistique qui concerne les candidats aux épreuves de musique, dessin et théâtre. Hier, les candidats de toutes les autres séries A, D, et C se sont mis dans la danse. «Très tôt le matin, les élèves étaient là. Les interrogateurs ont traîné les pas. Mais nous avons commencé avec ceux qui étaient présents». Ce sont environ 780 candidats que le Lycée Sainte-Marie accueille pour les épreuves de l’oral du Bac.
Marie-Adèle Djidjé
Les oraux du Bac, sauvés de justesse, ont commencé timidement dans les établissements publics et techniques. Les épreuves de français, anglais, et espagnol ou allemand qui devaient s’y tenir dans la matinée à partir de 8h n’ont finalement démarré que dans l’après-midi. Le retard accusé est dû au mot d’ordre de grève des syndicats, qui a été levé à la suite du décret pris par le Chef de l’Etat. Il permet désormais aux enseignants du secteur éducation- formation de bénéficier des effets du recasement dans les nouveaux grades.
Au Lycée moderne d’Adjamé, M.N’Ké Dénis, explique que le secrétariat dont il est le chef, devait en principe être ouvert depuis le 25 juin pour faire les procédures permettant d’accueillir les élèves dans de bonnes conditions hier matin. Ce qui malheureusement n’a pu être fait. La matinée d’hier a donc été consacrée à y mettre de l’ordre. De sorte que les élèves venus pour l’examen ont été priés de revenir dans l’après-midi. Ahoba Josiane, candidate libre et Boua Marie, toutes deux de la série D, ont dénoncé les désagréments causés par cette situation. «Nous habitons loin. On nous demande de revenir demain. Notre tour de passage sera affiché demain ». Les élèves des séries A et C ont été accueillis dans l’après-midi. Ce sont au total 800 candidats qui sont attendus dans ce centre : 239 de la série A2, 36 de la série C et 525 de la série D.
Au Lycée Sainte-Marie, le chef du centre N’cho Eléonore, affiche la sérénité. Ici, il n’y a pas de problème. Les épreuves ont commencé depuis lundi, avec l’oral de français pour les candidats au Bac H. C’est un bac artistique qui concerne les candidats aux épreuves de musique, dessin et théâtre. Hier, les candidats de toutes les autres séries A, D, et C se sont mis dans la danse. «Très tôt le matin, les élèves étaient là. Les interrogateurs ont traîné les pas. Mais nous avons commencé avec ceux qui étaient présents». Ce sont environ 780 candidats que le Lycée Sainte-Marie accueille pour les épreuves de l’oral du Bac.
Marie-Adèle Djidjé