La session de la Commission préparatoire de l’Agence Internationale pour les Energies Renouvelables a fermé ses portes le 30 juin 2009 à Sharm El-Sheikh en Egypte. C’est le Ministre Youssouf BAKAYOKO, qui y a conduit la délégation ivoirienne.
Le chef de la Diplomatie ivoirienne a salué avec force « la volonté de la communauté internationale d’explorer de nouveaux chantiers susceptibles de participer à l’amélioration de la qualité de vie d’un point de vue environnemental, énergétique et économique des générations présentes et futures ».
Pour le Ministre ivoirien des Affaires Etrangères, le réchauffement climatique, la diminution des sources d’énergie fossiles, l’augmentation de la demande énergétique face à la croissance démographique et la flambée des coûts du pétrole sont autant de facteurs qui rendent nécessaire, voire urgent l’avènement d’une Agence comme l’IRENA.
A cette Agence, le Ministre assigne la noble vocation de réduire la pression exercée sur les sources d’énergie limitées, de constituer une base solide pour l’approvisionnement future, de stabiliser le prix et d’améliorer l’accès aux énergies renouvelables.
L’IRENA devra donc se charger d’orienter les politiques environnementales des gouvernements sur toutes les questions techniques et financières et d’appuyer les technologies nouvelles dans les pays en voie de développement.
Cette réunion qui a vu la participation de 129 pays et enregistrée l’entrée dans le groupe des signataires des Grandes Puissances comme les Etats-Unis, le Japon et l’Australie, a décidé du siège et du Directeur Général de l’IRENA. C’est l’état des Emirats Arabes Unies qui a été choisi par l’ensemble des états participants pour abriter le siège de la première et nouvelle organisation internationale consacrée aux énergies renouvelables.
Tandisque le poste de la toute première Direction générale est revenue à la France.
Les consultations ont été particulièrement rudes, Parfois même très serrées pour départager les candidats tant au niveau du choix du siège que du Directeur Général. Les délégations ont dû travailler de longues heures avant de laisser échapper la fumée blanche.
La Côte d’Ivoire a apporté son soutien aux EMIRATS. L’on se rappelle de la visite du Ministre des Affaires Etrangères des Emirats Arabes Unies en Côte d’Ivoire les 20 et 21 avril 2009, venu présenter le projet de son pays, de la lutte contre le réchauffement climatique et solliciter le soutien de la Côte d’Ivoire à la candidature de son Gouvernement pour abriter le siège d’IRENA à Masdar, cité futuriste dans la region d’Abu Dabi, dont la construction doit s’achever en 2010 et prévu pour fonctionner à un degré zéro d’émission de gaz carbonique.
La Côte d’Ivoire a également apporté son soutien à la France. Le Ministre Youssouf BAKAYOKO et sa délégation ont donné leur voix à Madame Hélène PELOSSE. La Diplomate Française qui a été élue à la suite d’un scrutin très serré, devenant ainsi la première Directrice Générale de IRENA.
Le chef de la Diplomatie ivoirienne a salué avec force « la volonté de la communauté internationale d’explorer de nouveaux chantiers susceptibles de participer à l’amélioration de la qualité de vie d’un point de vue environnemental, énergétique et économique des générations présentes et futures ».
Pour le Ministre ivoirien des Affaires Etrangères, le réchauffement climatique, la diminution des sources d’énergie fossiles, l’augmentation de la demande énergétique face à la croissance démographique et la flambée des coûts du pétrole sont autant de facteurs qui rendent nécessaire, voire urgent l’avènement d’une Agence comme l’IRENA.
A cette Agence, le Ministre assigne la noble vocation de réduire la pression exercée sur les sources d’énergie limitées, de constituer une base solide pour l’approvisionnement future, de stabiliser le prix et d’améliorer l’accès aux énergies renouvelables.
L’IRENA devra donc se charger d’orienter les politiques environnementales des gouvernements sur toutes les questions techniques et financières et d’appuyer les technologies nouvelles dans les pays en voie de développement.
Cette réunion qui a vu la participation de 129 pays et enregistrée l’entrée dans le groupe des signataires des Grandes Puissances comme les Etats-Unis, le Japon et l’Australie, a décidé du siège et du Directeur Général de l’IRENA. C’est l’état des Emirats Arabes Unies qui a été choisi par l’ensemble des états participants pour abriter le siège de la première et nouvelle organisation internationale consacrée aux énergies renouvelables.
Tandisque le poste de la toute première Direction générale est revenue à la France.
Les consultations ont été particulièrement rudes, Parfois même très serrées pour départager les candidats tant au niveau du choix du siège que du Directeur Général. Les délégations ont dû travailler de longues heures avant de laisser échapper la fumée blanche.
La Côte d’Ivoire a apporté son soutien aux EMIRATS. L’on se rappelle de la visite du Ministre des Affaires Etrangères des Emirats Arabes Unies en Côte d’Ivoire les 20 et 21 avril 2009, venu présenter le projet de son pays, de la lutte contre le réchauffement climatique et solliciter le soutien de la Côte d’Ivoire à la candidature de son Gouvernement pour abriter le siège d’IRENA à Masdar, cité futuriste dans la region d’Abu Dabi, dont la construction doit s’achever en 2010 et prévu pour fonctionner à un degré zéro d’émission de gaz carbonique.
La Côte d’Ivoire a également apporté son soutien à la France. Le Ministre Youssouf BAKAYOKO et sa délégation ont donné leur voix à Madame Hélène PELOSSE. La Diplomate Française qui a été élue à la suite d’un scrutin très serré, devenant ainsi la première Directrice Générale de IRENA.