Après les épreuves orales du Baccalauréat (toutes séries confondues) qui se sont déroulées du 30 juin au 3 juillet dernier sur toute l’étendue du territoire national, les 161870 candidats concernés par cet examen planchent à partir de demain sur les épreuves orales. 262 centres ont été créés par la direction des examens et concours et de l’orientation (DECO) o pour les accueillir. C’est le 10 juillet prochain que ces examens prendront fin.
Mme Agnéro Georgette, la DECO, a opté pour la fermeté en menaçant de sanctionner sévèrement tous les surveillants et interrogateurs, les membres de l’état-major des examens (chefs de centre, membres de secrétariat, examinateurs, harmonisateurs, correcteurs) qui prendront de l’argent à un candidat pour l’aider à réussir à son examen. “De nombreux candidats ou candidates font état de marchandages que nous mettons sur le compte de rumeurs. En tout état de cause, les frais d’inscription sont les seuls que prévoit la législation des examens et concours de Côte d’Ivoire. Tous les acteurs doivent s’y conformer”, a-t-elle indiqué. Depuis le démarrage de ces examens à grand tirage, il faut noter la grande mobilisation des Forces de défense et de sécurité et celles des Forces nouvelles (FAFN) qui travaillent désormais de concert au sein du Centre intégré de commandement (CCI) pour sécuriser ces examens.
“Je rappelle à toutes fins utiles que si le Baccalauréat est le premier diplôme universitaire, il est aussi le dernier diplôme de l’enseignement secondaire. Le président de jury et le vice-président représentent respectivement les deux ordres d’enseignement. Ils doivent travailler de concert dans une parfaite synergie et un respect mutuel. Aucun mauvais sentiment ne doit animer l’un ou l’autre. Dans tous les cas, vous pourrez solliciter l’arbitrage de la directrice des examens et concours et de l’orientation, et de ses sous-directeurs, des DREN et DDEN qui prendront des initiatives dans le respect des textes et des prérogatives des uns et des autres”, a-t-elle souligné.
Charles Bédé
Mme Agnéro Georgette, la DECO, a opté pour la fermeté en menaçant de sanctionner sévèrement tous les surveillants et interrogateurs, les membres de l’état-major des examens (chefs de centre, membres de secrétariat, examinateurs, harmonisateurs, correcteurs) qui prendront de l’argent à un candidat pour l’aider à réussir à son examen. “De nombreux candidats ou candidates font état de marchandages que nous mettons sur le compte de rumeurs. En tout état de cause, les frais d’inscription sont les seuls que prévoit la législation des examens et concours de Côte d’Ivoire. Tous les acteurs doivent s’y conformer”, a-t-elle indiqué. Depuis le démarrage de ces examens à grand tirage, il faut noter la grande mobilisation des Forces de défense et de sécurité et celles des Forces nouvelles (FAFN) qui travaillent désormais de concert au sein du Centre intégré de commandement (CCI) pour sécuriser ces examens.
“Je rappelle à toutes fins utiles que si le Baccalauréat est le premier diplôme universitaire, il est aussi le dernier diplôme de l’enseignement secondaire. Le président de jury et le vice-président représentent respectivement les deux ordres d’enseignement. Ils doivent travailler de concert dans une parfaite synergie et un respect mutuel. Aucun mauvais sentiment ne doit animer l’un ou l’autre. Dans tous les cas, vous pourrez solliciter l’arbitrage de la directrice des examens et concours et de l’orientation, et de ses sous-directeurs, des DREN et DDEN qui prendront des initiatives dans le respect des textes et des prérogatives des uns et des autres”, a-t-elle souligné.
Charles Bédé
