Pour avoir soutenu très tôt le parti de la paix, Tapé Koulou Laurent est un homme qui a tout perdu : parents tués par des rebelles ne voulant pas de réconciliation, biens mobiliers et immobiliers, argent etc… Notre voie journal de refondation a contribué à cette descente aux enfers.
La paix, ce n'est pas un vrai mot, c'est un comportement. Cette pensée du Président Félix Houphouët - Boigny, Tapé Koulou Laurent en a fait son cheval de bataille au plus fort de la crise sociopolitique. Très tôt donc il prône le dialogue à l'Ivoirienne avec la rébellion dirigée par Soro Guillaume .Ambassadeur de la paix, pour mieux faire passer son message, il est à la tâche auprès du Président Laurent Gbabgo et du secrétaire général des forces Nouvelles, Soro Kigbafori Guillaume .Mais ce combat pour la paix que mène le patron du groupe de presse (Le National) est mal vu par les journalistes de Notre voie dont Didier Dépry Le rôle joue par Notre voie dans le massacre des parents de Tapé Koulou Laurent. Non contents du combat pour le retour de la paix en côte d'Ivoire que mène ce digne fils d'Issia, les refondateurs qui ne voulaient pas entendre parler de dialogue direct avec les forces nouvelles, actionnent à l'insu du président Gbagbo la plume d'un certain Didier Dépry. Qui pond des articles au vitriol dans lesquels il révèle que Tapé Koulou Laurent a rejoint la rébellion .conséquence de ces articles qui incitaient au meurtre et repris par Didier Dépry.La famille de Tapé Koulou qui vivait paisiblement à Yopougon Wassakara est passée par les armes le 20 juin 2001 par un commando dont les membres n'ont pas été démasqués jusqu'à ce jour. Les morts en pelle on en comptait dans les rangs de Tapé Koulou qui a eu la vie sauve par la main divine. C'est un grand deuil dans la famille. Avait-on besoin de tuer les parents d'un homme dont le tort était de parler tout au début cette crise de dialogue, de paix et réconciliation entre les fils et filles de ce pays ?aucune indemnisation n'a été versée aux parents de Tapé Koulou Laurent. Aussi, point de mots de compassion du pouvoir et des Forces Nouvelles pour lesquelles il se battait. Les tracasseries bancaires. En dehors des morts dans sa famille, Tapé Koulou fait constamment chaque jour, l'objet d'intimidations, de menaces de mort pour son noble combat. Refondateurs et rebelles opposés au retour de la paix conjuguent leurs efforts pour lui mener la vie dure. Son compte en banque fait l'objet d'une surveillance stricte. Tout prêt bancaire lui est refusé. La machine de répression contre lui s'est mise en marche depuis son soutien à Laurent Gbagbo et Soro Guillaume au cours d'une conférence de presse au Golf Hôtel par le biais de Didier Dépry. Aujourd'hui, c'est un homme qui a tout perdu l'ingratitude de ceux qu'il soutenait. L’hagiographe de service a fait une révélation de taille : ce sont les rebelles qui ont tué les parents de Tapé Koulou Laurent puisqu'il en sait beaucoup, un procès contre Didier Dépry pourrait éclairer la lanterne de cette famille sur l'identité des membres de ce commando qui a semé la mort. Les malheurs de Tapé Koulou ont commencé depuis ce jour où ce journaliste l'a injustement livré à la vindict populaire.
Ibrahim Fall
La paix, ce n'est pas un vrai mot, c'est un comportement. Cette pensée du Président Félix Houphouët - Boigny, Tapé Koulou Laurent en a fait son cheval de bataille au plus fort de la crise sociopolitique. Très tôt donc il prône le dialogue à l'Ivoirienne avec la rébellion dirigée par Soro Guillaume .Ambassadeur de la paix, pour mieux faire passer son message, il est à la tâche auprès du Président Laurent Gbabgo et du secrétaire général des forces Nouvelles, Soro Kigbafori Guillaume .Mais ce combat pour la paix que mène le patron du groupe de presse (Le National) est mal vu par les journalistes de Notre voie dont Didier Dépry Le rôle joue par Notre voie dans le massacre des parents de Tapé Koulou Laurent. Non contents du combat pour le retour de la paix en côte d'Ivoire que mène ce digne fils d'Issia, les refondateurs qui ne voulaient pas entendre parler de dialogue direct avec les forces nouvelles, actionnent à l'insu du président Gbagbo la plume d'un certain Didier Dépry. Qui pond des articles au vitriol dans lesquels il révèle que Tapé Koulou Laurent a rejoint la rébellion .conséquence de ces articles qui incitaient au meurtre et repris par Didier Dépry.La famille de Tapé Koulou qui vivait paisiblement à Yopougon Wassakara est passée par les armes le 20 juin 2001 par un commando dont les membres n'ont pas été démasqués jusqu'à ce jour. Les morts en pelle on en comptait dans les rangs de Tapé Koulou qui a eu la vie sauve par la main divine. C'est un grand deuil dans la famille. Avait-on besoin de tuer les parents d'un homme dont le tort était de parler tout au début cette crise de dialogue, de paix et réconciliation entre les fils et filles de ce pays ?aucune indemnisation n'a été versée aux parents de Tapé Koulou Laurent. Aussi, point de mots de compassion du pouvoir et des Forces Nouvelles pour lesquelles il se battait. Les tracasseries bancaires. En dehors des morts dans sa famille, Tapé Koulou fait constamment chaque jour, l'objet d'intimidations, de menaces de mort pour son noble combat. Refondateurs et rebelles opposés au retour de la paix conjuguent leurs efforts pour lui mener la vie dure. Son compte en banque fait l'objet d'une surveillance stricte. Tout prêt bancaire lui est refusé. La machine de répression contre lui s'est mise en marche depuis son soutien à Laurent Gbagbo et Soro Guillaume au cours d'une conférence de presse au Golf Hôtel par le biais de Didier Dépry. Aujourd'hui, c'est un homme qui a tout perdu l'ingratitude de ceux qu'il soutenait. L’hagiographe de service a fait une révélation de taille : ce sont les rebelles qui ont tué les parents de Tapé Koulou Laurent puisqu'il en sait beaucoup, un procès contre Didier Dépry pourrait éclairer la lanterne de cette famille sur l'identité des membres de ce commando qui a semé la mort. Les malheurs de Tapé Koulou ont commencé depuis ce jour où ce journaliste l'a injustement livré à la vindict populaire.
Ibrahim Fall