En prélude à la Conférence des chefs d`Etat et de gouvernement du Conseil de l`entente, une réunion des ministres s`est tenue mercredi à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix à Yamoussoukro, en présence du ministre de l`Intégration africaine, assurant la tutelle dudit Conseil.
Profitant de l`occasion, le ministre ivoirien a exprimé la joie du chef de l`Etat, Gbagbo Laurent et du Premier ministre, Guillaume Soro et par ricochet, le peuple ivoirien de voir se tenir sur son sol, les assises de l`institution. La qualifiant d`historique, Amadou Koné a indiqué que la Conférence se veut un moteur de propulsion de l`institution qui après cinquante années d`existence, ploie sous le poids des difficultés de tous ordres. Il a fait savoir qu`il place un réel espoir en ce grand rendez-vous, permettant au Conseil de l`entente "de prendre son nouvel envol". Car, fierté des pères fondateurs, cette institution a su être le premier instrument de coopération et de solidarité en a véhiculant avec beaucoup d`efficacité et de dynamisme, la politique d`intégration dans la sous région. A ce égard, a-t-il justifier le gouvernement ivoirien ne saurait qu`apporter son "soutien à la noble initiative". Abordant dans le même sens, le président du Conseil des ministres, Désiré Aladjo, par ailleurs, ministre béninois des Affaires étrangères, de l`intégration africaine et de la Francophonie, et le Secrétaire général de l`Institution, Kéké Teti Magloire, ont souligné l`impérieuse nécessité de sortir l`organisation de la léthargie. "Notre institution a connu d`énormes difficultés pour lesquelles nous voulons nous battre pour trouver des solutions durables", a reconnu Kéké Magloire. Estimant que les recommandations qui sortiront des travaux seront constructives pour la redynamisation de l`Institution. Notamment l`exécution des décisions des chefs d`Etat, la restructuration du Conseil de l`entente, l`apurement des arriérés de cotisation, la proposition de sources alternatives de financement de programmes de développement. Notons que ces travaux prennent fin aujourd`hui. En attendant la Conférence des chefs d`Etat et de gouvernement prévue pour samedi, à Yamoussoukro. Le Conseil de l`entente regroupe cinq pays : la Côte d`ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger et le Togo.
Toussaint N`Gotta
Correspondant régional
Profitant de l`occasion, le ministre ivoirien a exprimé la joie du chef de l`Etat, Gbagbo Laurent et du Premier ministre, Guillaume Soro et par ricochet, le peuple ivoirien de voir se tenir sur son sol, les assises de l`institution. La qualifiant d`historique, Amadou Koné a indiqué que la Conférence se veut un moteur de propulsion de l`institution qui après cinquante années d`existence, ploie sous le poids des difficultés de tous ordres. Il a fait savoir qu`il place un réel espoir en ce grand rendez-vous, permettant au Conseil de l`entente "de prendre son nouvel envol". Car, fierté des pères fondateurs, cette institution a su être le premier instrument de coopération et de solidarité en a véhiculant avec beaucoup d`efficacité et de dynamisme, la politique d`intégration dans la sous région. A ce égard, a-t-il justifier le gouvernement ivoirien ne saurait qu`apporter son "soutien à la noble initiative". Abordant dans le même sens, le président du Conseil des ministres, Désiré Aladjo, par ailleurs, ministre béninois des Affaires étrangères, de l`intégration africaine et de la Francophonie, et le Secrétaire général de l`Institution, Kéké Teti Magloire, ont souligné l`impérieuse nécessité de sortir l`organisation de la léthargie. "Notre institution a connu d`énormes difficultés pour lesquelles nous voulons nous battre pour trouver des solutions durables", a reconnu Kéké Magloire. Estimant que les recommandations qui sortiront des travaux seront constructives pour la redynamisation de l`Institution. Notamment l`exécution des décisions des chefs d`Etat, la restructuration du Conseil de l`entente, l`apurement des arriérés de cotisation, la proposition de sources alternatives de financement de programmes de développement. Notons que ces travaux prennent fin aujourd`hui. En attendant la Conférence des chefs d`Etat et de gouvernement prévue pour samedi, à Yamoussoukro. Le Conseil de l`entente regroupe cinq pays : la Côte d`ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger et le Togo.
Toussaint N`Gotta
Correspondant régional