Hier, ce sont 110 témoins qui étaient assignés à comparaître. Parmi eux, M. Jacques Bernard Anouma, Président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF). Suite aux nombreuses questions du parquet, il a rétorqué en substance qu`il était plus préoccupé par l`arrivée du chef de l`Etat.
C`est pendant une heure d`horloge que le premier responsable de la FIF s`est prêté aux questions du tribunal en tant que témoin. Pour lui, il n`est pas question d`affirmer qu`il y avait plus de spectateurs au stade qu`il en fallait. En tout cas, "je ne peux pas affirmer qu`il y a avait plus de 34 600 (capacité du stade Houphouët-Boigny) personnes dans le stade". Mai s`il est sûr d`une chose c`est "qu`il y avait un monde fou en dehors du stade. J`ai fait confiance à Anzouan kacou et c`est la présence du chef de l`Etat Laurent Gbagbo qui me préoccupait". Le premier responsable de la FIF s`est disposé à se mettre à la disposition de la justice pour que les circonstances du drame soient élucidées. C`est pourquoi "au lendemain du drame, j`ai demandé à ce que tout les documents soient réunis pour les rendre à la Fifa pour lui permettre de mener les enquêtes afin de relever les responsabilités", a déclaré Jacques avant de demander "que la vérité triomphe" au sortir de ce procès. En plus de Jacques Anouma, M. Diabaté Sory, président de la Ligue Professionnelle de Football de Côte d`Ivoire est passé à la barre pour dire sa part de vérité. Au niveau des forces de l`ordre mises en cause dans le drame elles n`ont été entendues qu`en tant que témoins. Parmi les responsables de la sécurité se trouvait le Préfet de police d`Abidjan, les commissaires Dosso, Djokouéhi et Blé Gisèle également responsable de la commission sécurité à la FIF. Les Lieutenants Togba et Guédé Georgette sont également passés à la barre dans un procès qui n`a pas encore livré tous ses secrets. En définitive, les sportifs ivoiriens peuvent retenir que Anzouan Kacou règne en maître à la maison de verre de Treichville.
F N
C`est pendant une heure d`horloge que le premier responsable de la FIF s`est prêté aux questions du tribunal en tant que témoin. Pour lui, il n`est pas question d`affirmer qu`il y avait plus de spectateurs au stade qu`il en fallait. En tout cas, "je ne peux pas affirmer qu`il y a avait plus de 34 600 (capacité du stade Houphouët-Boigny) personnes dans le stade". Mai s`il est sûr d`une chose c`est "qu`il y avait un monde fou en dehors du stade. J`ai fait confiance à Anzouan kacou et c`est la présence du chef de l`Etat Laurent Gbagbo qui me préoccupait". Le premier responsable de la FIF s`est disposé à se mettre à la disposition de la justice pour que les circonstances du drame soient élucidées. C`est pourquoi "au lendemain du drame, j`ai demandé à ce que tout les documents soient réunis pour les rendre à la Fifa pour lui permettre de mener les enquêtes afin de relever les responsabilités", a déclaré Jacques avant de demander "que la vérité triomphe" au sortir de ce procès. En plus de Jacques Anouma, M. Diabaté Sory, président de la Ligue Professionnelle de Football de Côte d`Ivoire est passé à la barre pour dire sa part de vérité. Au niveau des forces de l`ordre mises en cause dans le drame elles n`ont été entendues qu`en tant que témoins. Parmi les responsables de la sécurité se trouvait le Préfet de police d`Abidjan, les commissaires Dosso, Djokouéhi et Blé Gisèle également responsable de la commission sécurité à la FIF. Les Lieutenants Togba et Guédé Georgette sont également passés à la barre dans un procès qui n`a pas encore livré tous ses secrets. En définitive, les sportifs ivoiriens peuvent retenir que Anzouan Kacou règne en maître à la maison de verre de Treichville.
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