La jeunesse d`un pays constitue une ressource nationale potentielle qui, si elle est bien entretenue, bien encadrée, peut être pour la nation un levier vital pour le développement.
Enjeu capital de développement, on a souventes fois entendu par les différents Gouvernants que la jeunesse demeure dans toute société humaine, l`objet de grandes préoccupations, c`est-à-dire la priorité des priorités.
Cette réalité a été de tout temps reconnue.
Il faut souligner que le concept de jeunesse dans sa définition n`est pas une entité uniforme. Elle est tout à la fois une réalité psychologique, sociale et sociologique. Cette étape est comprise entre l`enfance et l`âge adulte. C`est généralement au cours de cette période que le jeune se forge les armes pour la vie, acquiert le sens de la responsabilité c`est-à-dire, les compétences et les virtualités sociales.
Aussi, parle-t-on de jeunesse déscolarisée, scolarisée, féminine, masculine, rurale, urbaine, en activité ou au chômage etc...
Frange majoritaire de la population ivoirienne environ 40 à 50%, selon les statistiques, la jeunesse ivoirienne, de part, sa disposition et son dynamisme, est souvent source de changement ou de remise en cause des structures de la société, toute chose qui exige que l`on lui accorde une attention toute particulière.
La jeunesse de notre pays, depuis son accession à l`Indépendance, a connu des fortunes diverses."
LE PDCI - RDA et la jeunesse
Al` avènement de notre pays à la souveraineté nationale et internationale, le Président FELIX HOUPHOUET-BOIGNY n`a ménagé aucun effort pour faire de sa jeunesse, le fer de lance du développement. Il a vite compris que l`avenir du pays passait indubitablement par une jeunesse responsable, donc bien encadrée et bien formée.
La Côte d`Ivoire de FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et de HENRI KONAN BEDIE avait compris que pour un meilleur encadrement des jeunes, les associations et mouvements de jeunesse constituaient le cadre le plus approprié pour une pédagogie permanente, complémentaire de l`éducation de base reçue dans la famille en plus de l`école.
Aussi, la mission de l`Etat reposait sur:
- des activités communes, formatrices quant à l`apprentissage de la
vie sociale.
- Les échanges et des chantiers de jeunes, ainsi que des centres de vacances, chantier d`actions volontaires, centres d`alphabétisation etc.. .
Cet encadrement était une véritable école de formation communautaire où se forgeaient l`esprit de vie en Société, l`esprit d`entrepreneuriat bref, un esprit d`appartenance à une nation commune appelée communément le sens civique.
Cette formation de base qui complétait celle des parents se juxtaposait avec l`école
En effet, FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et HENRI KONAN BEDIE avaient fait de la formation la priorité des priorités. Plus de 40% du budget national étaient affectés à l`éducation et la formation, permettant ainsi à tout citoyen d`avoir accès à l`instruction et à un métier.
Aussi à l`aube de notre indépendance, tous les enfants de ce pays, sans distinction d`origine sociale: fils de ministre, de préfet, de sous-préfet, de paysan, de maçon etc... Avec des fortunes et ambitions diverses, tous se sont rués vers l`école, vers les connaissances.
Pour le fils du paysan, c`était un défi par rapport à ses origines avec la secrète ambition de devenir quelqu`un comme ce fils du ministre et ceci conformément à l`égalité des chances de chaque citoyen devant la loi comme le proclame la Constitution ivoirienne.
Cela a permis aujourd`hui de voir, même des fils de paysan devenir Président de la République, Ministre. Directeur Général, Ambassadeur. Administrateur, Ingénieur etc... C`est le cas du Président LAURENT GBAGBO et de beaucoup de nos cadres qui ont occupé d`importantes responsabilités nationales et contribué ainsi à l`émergence d`une grande nation ivoirienne, moderne, riche qui a fait la fierté de tous dans la Sous-région et dans le monde.
Cette disparité sociale de départ entre les enfants d`origine sociale différente, a été corrigée par le mérite et l`effort individuel à l`excellence. L`Etat a fait son devoir, mis à la disposition de tous les jeunes les mêmes conditions de travail, il revenait à chacun de par son génie propre de saisir sa chance.
Dans un pays comme la Côte d`Ivoire, où 56% encore, je suis généreux, sont des analphabètes, où pour le paysan ou le citoyen pauvre, scolariser son enfant est un investissement important, le père attendant la réussite sociale de son fils pour le sortir de la misère et des souffrances,
FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et HENRI KONAN DEDIE ont permis ainsi beaucoup d`Ivoiriens de sortir de la pauvreté grâce à la réussite de leurs enfants.
LA REFONDATIONET LA JEUNESSE
L`avènement au pouvoir de la refondation avait fait rêver certains Ivoiriens qui avaient cru, naïvement, à un programme de Gouvernement dont 1e leader manipulait avec dextérité, mensonge, habileté et démagogie à une jeunesse qui n`avait connu que le PDCI.
Après huit ans de pouvoir, Que peut retenir la jeunesse Quant à son avenir?
En effet, dans l`espoir de trouver un cadre d`épanouissement social avec les nouveaux Gouvernants, maîtres dans l`art de la manipulation, de l`intox et de la roublardise, notre jeunesse s`est laissé abuser.
Elle a d`abord servi de bouclier humain pour leur arrivée "calamiteuse" au pouvoir et ainsi pour se maintenir au pouvoir pendant la guerre en jetant les jeunes dans la rue. Plutôt que de récompenser les plus méritants, on a assisté à l`émergence de la médiocrité: les BLE GOUDE, SERGE KASSI, HANNY TCHELLEY, DACKOURI, des maréchaux, et des Généraux dont on ignore de quelle armée ils sont. Des jeunes de la génération spontanée qui exhibent à volonté des signes ostentatoires de richesse au détriment de cette jeunesse studieuse et diplômée, dont l`avenir semble obstrué.
Pour la première fois en Côte d`Ivoire, des milliers et des milliers de jeunes: maîtrisards en Sciences économiques, en droit, en Sociologie, des Ingénieurs etc... sont désespérés, sans emploi et sont obligés de se contenter de petits métiers: gérant de cabine téléphonique, chauffeurs de taxis, maçons, boutiquiers. Pour réussir aujourd`hui à un concours administratif (ENA, Gendarmerie, commis du Trésor etc...) il faut:
- appartenir au clan BAD (Bété, Dida, Attié)
- être recommandé sur la liste de Madame GBAGBO ou BLE GOUDE
- débourser une certaine somme d`argent allant de 700.000 à 3.000.000 F variable selon le niveau du concours.
Que dit-on alors de l`égalité des chances de tous les citoyens tel que le proclame notre Constitution? Et la notion de mérite? Que deviendront ces milliers et milliers de jeunes diplômés, tous Ivoiriens issus de la petite classe dont les parents ne peuvent pas se permettre de payer les concours?
Moi qui vous parle cher frère et sœur, je suis d`origine paysanne. Je rappelle que lorsque je présentais le concours du Cycle Supérieur de l`ENA, je ne connaissais personne avec mes diplômes fraîchement obtenus. J`ai été déclaré admis et je suis devenu ce que je suis aujourd`hui.
La jeunesse sous la refondation vit dans la hantise d`un avenir incertain, dans la détresse permanente et est sans espoir.
Et tous ces paysans qui croyaient en l`avenir de leurs enfants diplômés pour les sortir de la pauvreté! Quel gâchis pour un pays pauvre comme la Côte d`Ivoire qui a besoin de tous les bras pour sa construction, que dis-je pour sa renaissance après tant d`années de guerre inutile, de gabegie, de népotisme et d`immoralité!
La jeunesse doit-elle autant désespérer?
NON, NON I! Il faut méditer ce vieil adage qui dit : "Si on ne sait plus où on va, on sait au moins d`où on vient"
Non cher jeune, le PDCI avec HENRI KONAN BEDIE t`offre de nouvelles perspectives d`avenir.
D`abord, la Côte d`Ivoire dispose de nombreuses potentialités économiques et humaines qui, si elles sont rationnellement exploitées, constituent une réponse significative à tous ces maux artificiels qui minent notre société.
Elle dispose de structures économiques et sociales, à la tête desquelles, il faut des animateurs compétents et efficaces pour rebâtir l`économie de ce pays et redonner à la jeunesse sa " place "
Il suffit pour ce faire de :
- Revenir à une société de mérite en donnant à chacun sa chance dans tous les domaines par le travail individuel
- procéder à la juste et équitable redistribution des ressources de ce pays afin de permettre à ceux qui osent, qui font preuve d`imagination créatrice d`avoir la juste rétribution de leurs efforts - restaurer l`autorité de l`Etat: avec une justice qui dit le droit et rassure les investisseurs.
- Une Administration de prestation et de développement sans passe droit où les animateurs sont intègres, ont la conscience professionnelle, avec des hommes compétents et non des " hommes de son village".
- Créer une "banque des fonds sociaux" avec des structures de banques Commerciales pour les jeunes, les femmes etc... qui veulent entreprendre et s`installer à leur propre compte.
- F aire la promotion des vertus et de bonnes mœurs qui passe par la culture civique pour donner au jeune une culture nationaliste qui fait du citoyen plus acteur que sujet de la vie de la nation c`est-àdire un citoyen responsable, informé aussi bien de ses droits que de ses devoirs au sein de la communauté nationale.
- Développer en la jeunesse, le goût de la compétition sociale et l`esprit de la saine concurrence, tout en lui ôtant toute recherche du gain facile, de la cupidité et du goût effréné de l`argent.
La jeunesse doit projeter un nouveau rêve qui incarne les ambitions de la Côte d`Ivoire de demain car la victoire de la Côte d`Ivoire sera d`abord celle de la jeunesse sur elle-même parce que dans quelques années, plus de la moitié de la population sera jeune. Il faut donc une jeunesse unie, solidaire dans l`effort prête à embrasser l`avenir et défier le monde. A 1 `heure des grandes menaces qui pèsent sur le monde: insécurité économique, l`instabilité internationale, la fragilité de nos structures sociales, la jeunesse ivoirienne doit se rendre à l`évidence aujourd`hui: le Pays est sur la mauvaise voie car menacé par la proximité ethnique et l`injustice sociale.
La jeunesse ivoirienne doit donc choisir un nouveau départ avec le PDCI-RDA qui seul pourra la conduire vers une nouvelle frontière. Jeunes de Côte d`Ivoire, faire confiance à HENRI KONAN BEDIE, c`est croire en la renaissance de notre pays avec le PDCIRDA, l`espoir est encore possible.
Bado
Enjeu capital de développement, on a souventes fois entendu par les différents Gouvernants que la jeunesse demeure dans toute société humaine, l`objet de grandes préoccupations, c`est-à-dire la priorité des priorités.
Cette réalité a été de tout temps reconnue.
Il faut souligner que le concept de jeunesse dans sa définition n`est pas une entité uniforme. Elle est tout à la fois une réalité psychologique, sociale et sociologique. Cette étape est comprise entre l`enfance et l`âge adulte. C`est généralement au cours de cette période que le jeune se forge les armes pour la vie, acquiert le sens de la responsabilité c`est-à-dire, les compétences et les virtualités sociales.
Aussi, parle-t-on de jeunesse déscolarisée, scolarisée, féminine, masculine, rurale, urbaine, en activité ou au chômage etc...
Frange majoritaire de la population ivoirienne environ 40 à 50%, selon les statistiques, la jeunesse ivoirienne, de part, sa disposition et son dynamisme, est souvent source de changement ou de remise en cause des structures de la société, toute chose qui exige que l`on lui accorde une attention toute particulière.
La jeunesse de notre pays, depuis son accession à l`Indépendance, a connu des fortunes diverses."
LE PDCI - RDA et la jeunesse
Al` avènement de notre pays à la souveraineté nationale et internationale, le Président FELIX HOUPHOUET-BOIGNY n`a ménagé aucun effort pour faire de sa jeunesse, le fer de lance du développement. Il a vite compris que l`avenir du pays passait indubitablement par une jeunesse responsable, donc bien encadrée et bien formée.
La Côte d`Ivoire de FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et de HENRI KONAN BEDIE avait compris que pour un meilleur encadrement des jeunes, les associations et mouvements de jeunesse constituaient le cadre le plus approprié pour une pédagogie permanente, complémentaire de l`éducation de base reçue dans la famille en plus de l`école.
Aussi, la mission de l`Etat reposait sur:
- des activités communes, formatrices quant à l`apprentissage de la
vie sociale.
- Les échanges et des chantiers de jeunes, ainsi que des centres de vacances, chantier d`actions volontaires, centres d`alphabétisation etc.. .
Cet encadrement était une véritable école de formation communautaire où se forgeaient l`esprit de vie en Société, l`esprit d`entrepreneuriat bref, un esprit d`appartenance à une nation commune appelée communément le sens civique.
Cette formation de base qui complétait celle des parents se juxtaposait avec l`école
En effet, FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et HENRI KONAN BEDIE avaient fait de la formation la priorité des priorités. Plus de 40% du budget national étaient affectés à l`éducation et la formation, permettant ainsi à tout citoyen d`avoir accès à l`instruction et à un métier.
Aussi à l`aube de notre indépendance, tous les enfants de ce pays, sans distinction d`origine sociale: fils de ministre, de préfet, de sous-préfet, de paysan, de maçon etc... Avec des fortunes et ambitions diverses, tous se sont rués vers l`école, vers les connaissances.
Pour le fils du paysan, c`était un défi par rapport à ses origines avec la secrète ambition de devenir quelqu`un comme ce fils du ministre et ceci conformément à l`égalité des chances de chaque citoyen devant la loi comme le proclame la Constitution ivoirienne.
Cela a permis aujourd`hui de voir, même des fils de paysan devenir Président de la République, Ministre. Directeur Général, Ambassadeur. Administrateur, Ingénieur etc... C`est le cas du Président LAURENT GBAGBO et de beaucoup de nos cadres qui ont occupé d`importantes responsabilités nationales et contribué ainsi à l`émergence d`une grande nation ivoirienne, moderne, riche qui a fait la fierté de tous dans la Sous-région et dans le monde.
Cette disparité sociale de départ entre les enfants d`origine sociale différente, a été corrigée par le mérite et l`effort individuel à l`excellence. L`Etat a fait son devoir, mis à la disposition de tous les jeunes les mêmes conditions de travail, il revenait à chacun de par son génie propre de saisir sa chance.
Dans un pays comme la Côte d`Ivoire, où 56% encore, je suis généreux, sont des analphabètes, où pour le paysan ou le citoyen pauvre, scolariser son enfant est un investissement important, le père attendant la réussite sociale de son fils pour le sortir de la misère et des souffrances,
FELIX HOUPHOUET-BOIGNY et HENRI KONAN DEDIE ont permis ainsi beaucoup d`Ivoiriens de sortir de la pauvreté grâce à la réussite de leurs enfants.
LA REFONDATIONET LA JEUNESSE
L`avènement au pouvoir de la refondation avait fait rêver certains Ivoiriens qui avaient cru, naïvement, à un programme de Gouvernement dont 1e leader manipulait avec dextérité, mensonge, habileté et démagogie à une jeunesse qui n`avait connu que le PDCI.
Après huit ans de pouvoir, Que peut retenir la jeunesse Quant à son avenir?
En effet, dans l`espoir de trouver un cadre d`épanouissement social avec les nouveaux Gouvernants, maîtres dans l`art de la manipulation, de l`intox et de la roublardise, notre jeunesse s`est laissé abuser.
Elle a d`abord servi de bouclier humain pour leur arrivée "calamiteuse" au pouvoir et ainsi pour se maintenir au pouvoir pendant la guerre en jetant les jeunes dans la rue. Plutôt que de récompenser les plus méritants, on a assisté à l`émergence de la médiocrité: les BLE GOUDE, SERGE KASSI, HANNY TCHELLEY, DACKOURI, des maréchaux, et des Généraux dont on ignore de quelle armée ils sont. Des jeunes de la génération spontanée qui exhibent à volonté des signes ostentatoires de richesse au détriment de cette jeunesse studieuse et diplômée, dont l`avenir semble obstrué.
Pour la première fois en Côte d`Ivoire, des milliers et des milliers de jeunes: maîtrisards en Sciences économiques, en droit, en Sociologie, des Ingénieurs etc... sont désespérés, sans emploi et sont obligés de se contenter de petits métiers: gérant de cabine téléphonique, chauffeurs de taxis, maçons, boutiquiers. Pour réussir aujourd`hui à un concours administratif (ENA, Gendarmerie, commis du Trésor etc...) il faut:
- appartenir au clan BAD (Bété, Dida, Attié)
- être recommandé sur la liste de Madame GBAGBO ou BLE GOUDE
- débourser une certaine somme d`argent allant de 700.000 à 3.000.000 F variable selon le niveau du concours.
Que dit-on alors de l`égalité des chances de tous les citoyens tel que le proclame notre Constitution? Et la notion de mérite? Que deviendront ces milliers et milliers de jeunes diplômés, tous Ivoiriens issus de la petite classe dont les parents ne peuvent pas se permettre de payer les concours?
Moi qui vous parle cher frère et sœur, je suis d`origine paysanne. Je rappelle que lorsque je présentais le concours du Cycle Supérieur de l`ENA, je ne connaissais personne avec mes diplômes fraîchement obtenus. J`ai été déclaré admis et je suis devenu ce que je suis aujourd`hui.
La jeunesse sous la refondation vit dans la hantise d`un avenir incertain, dans la détresse permanente et est sans espoir.
Et tous ces paysans qui croyaient en l`avenir de leurs enfants diplômés pour les sortir de la pauvreté! Quel gâchis pour un pays pauvre comme la Côte d`Ivoire qui a besoin de tous les bras pour sa construction, que dis-je pour sa renaissance après tant d`années de guerre inutile, de gabegie, de népotisme et d`immoralité!
La jeunesse doit-elle autant désespérer?
NON, NON I! Il faut méditer ce vieil adage qui dit : "Si on ne sait plus où on va, on sait au moins d`où on vient"
Non cher jeune, le PDCI avec HENRI KONAN BEDIE t`offre de nouvelles perspectives d`avenir.
D`abord, la Côte d`Ivoire dispose de nombreuses potentialités économiques et humaines qui, si elles sont rationnellement exploitées, constituent une réponse significative à tous ces maux artificiels qui minent notre société.
Elle dispose de structures économiques et sociales, à la tête desquelles, il faut des animateurs compétents et efficaces pour rebâtir l`économie de ce pays et redonner à la jeunesse sa " place "
Il suffit pour ce faire de :
- Revenir à une société de mérite en donnant à chacun sa chance dans tous les domaines par le travail individuel
- procéder à la juste et équitable redistribution des ressources de ce pays afin de permettre à ceux qui osent, qui font preuve d`imagination créatrice d`avoir la juste rétribution de leurs efforts - restaurer l`autorité de l`Etat: avec une justice qui dit le droit et rassure les investisseurs.
- Une Administration de prestation et de développement sans passe droit où les animateurs sont intègres, ont la conscience professionnelle, avec des hommes compétents et non des " hommes de son village".
- Créer une "banque des fonds sociaux" avec des structures de banques Commerciales pour les jeunes, les femmes etc... qui veulent entreprendre et s`installer à leur propre compte.
- F aire la promotion des vertus et de bonnes mœurs qui passe par la culture civique pour donner au jeune une culture nationaliste qui fait du citoyen plus acteur que sujet de la vie de la nation c`est-àdire un citoyen responsable, informé aussi bien de ses droits que de ses devoirs au sein de la communauté nationale.
- Développer en la jeunesse, le goût de la compétition sociale et l`esprit de la saine concurrence, tout en lui ôtant toute recherche du gain facile, de la cupidité et du goût effréné de l`argent.
La jeunesse doit projeter un nouveau rêve qui incarne les ambitions de la Côte d`Ivoire de demain car la victoire de la Côte d`Ivoire sera d`abord celle de la jeunesse sur elle-même parce que dans quelques années, plus de la moitié de la population sera jeune. Il faut donc une jeunesse unie, solidaire dans l`effort prête à embrasser l`avenir et défier le monde. A 1 `heure des grandes menaces qui pèsent sur le monde: insécurité économique, l`instabilité internationale, la fragilité de nos structures sociales, la jeunesse ivoirienne doit se rendre à l`évidence aujourd`hui: le Pays est sur la mauvaise voie car menacé par la proximité ethnique et l`injustice sociale.
La jeunesse ivoirienne doit donc choisir un nouveau départ avec le PDCI-RDA qui seul pourra la conduire vers une nouvelle frontière. Jeunes de Côte d`Ivoire, faire confiance à HENRI KONAN BEDIE, c`est croire en la renaissance de notre pays avec le PDCIRDA, l`espoir est encore possible.
Bado