«Pour être un bon journaliste, il faut savoir écrire deux langues, maîtriser l'informatique et les nouvelles technologies de l'information ». C'est à travers ces mots que le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, a ouvert le débat, mardi, à son cabinet, sur les défis qui attendent l'Institut des sciences et techniques de la communication (Istc). Cela, dans le cadre de l'installation de la commission consultative sur l’institut. La délégation, venue officiellement se présenter au ministre, était composée des membres de la dite commission et de plusieurs responsables de l'établissement. Le ministre Sy Savané a insisté sur le travail. Selon lui, « il faut faire face à une concurrence vive ». Et l'école possède « des ressources humaines compétentes». Les tâches qui attendent les membres de cette structure doivent être la prospection, le renforcement des participations à la plate forme des nouvelles technologies de communication. La commission est présidée par M. Samba Koné au titre du ministère de la Communication. 5 autres ministères sont représentés en référence au décret n°2007-509 du 13 juin 2007. Ce sont, le ministère de l'Economie et des finances (M. Doué André), celui de l'Enseignement supérieur (M. Seindou Cissé), de l'Emploi et de la Fonction publique (M. Diouro Michel), de la Culture et de la Francophonie (Mme Ohou épse Andie Laure Yvette), des Nouvelles technologies, de l'information et de la communication (Mme Wognin née Kambiré Léontine). La Banque nationale d'investissement (Bni) et la Radio télévision ivoirienne (Rti) ne sont pas respectivement représentées par M. Kassi N'da Eugène et M. Kouadio Jean. L’ISTC est né en 1992, de la fusion du Studio école de la Radio télévision ivoirienne (Serti) et le Centre de production audio-visuel.
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