Le conseil national de la presse vient de lever la sanction d`interdiction de paraître qui frappait Le Temps Hebdo. A chaud, Le directeur général du groupe Cyclone, Ousmane Sy Savané donne ses impressions.
Le Cnp est revenu sur sa décision de suspension de Le Temps Hebdo, quel est le sentiment qui vous anime ?
Nous tenons d`abord à remercier le Cnp, en la personne de son président Eugène Kacou et son secrétaire général Me Bourgouin et l`ensemble du conseil, pour cette décision qui vient d`être prise. Nous nous en réjouissons. Parce qu`elle traduit bien l`état d`esprit des échanges que nous avons eus avec les responsables de cette structure. Nous avons levé tous les malentendus. Bien entendu, au nom de la direction générale du Groupe Cyclone (maison éditrice de ce journal), nous tenons sincèrement à les remercier.
On peut donc dire qu`il n`y a plus de nuages entre le Cnp et le Groupe Cyclone…
Il n`y a jamais eu de nuages entre le Groupe Cyclone et le Cnp qui est une Institution de la République qui mérite respect et considération. Ce n`étaient que des malentendus que nous avons aplanis par la force du dialogue. Cette rencontre a été aussi l`occasion pour les deux parties de s`appuyer dorénavant, sur une plate-forme d`échanges. Ce qui nous évitera à nous tous, des quiproquos. Nos portes et celles du Cnp restent ouvertes au dialogue.
Quels sont les arguments qui ont amené le Cnp à revenir sur sa décision ?
Cette rencontre a été l`occasion pour les deux parties d`échanger et de maintenir le dialogue. On remercie le Cnp qui a été sensible à notre requête qui est essentiellement d`ordre économique. Parce que si la sanction était maintenue, c`est-à-dire suspendre le journal pour 8 parutions, il est clair que l`employeur allait être obligé de mettre au chômage technique, des employés. Parce que, vous n`êtes pas sans savoir que le milieu de la presse est aujourd`hui sinistré. La presse est confrontée à des problèmes économiques. Vous voyez que 2 mois de non parution allaient avoir des répercussions sur l`entreprise. Nous saisissons l`occasion pour remercier les confrères, l`Unjci, les lecteurs et nos partenaires qui n`ont cessé de nous apporter leur soutien. C`est la preuve que notre combat est compris. Il n`est pas vain.
Propos recueillis par
Guéhi Brence
Le Cnp est revenu sur sa décision de suspension de Le Temps Hebdo, quel est le sentiment qui vous anime ?
Nous tenons d`abord à remercier le Cnp, en la personne de son président Eugène Kacou et son secrétaire général Me Bourgouin et l`ensemble du conseil, pour cette décision qui vient d`être prise. Nous nous en réjouissons. Parce qu`elle traduit bien l`état d`esprit des échanges que nous avons eus avec les responsables de cette structure. Nous avons levé tous les malentendus. Bien entendu, au nom de la direction générale du Groupe Cyclone (maison éditrice de ce journal), nous tenons sincèrement à les remercier.
On peut donc dire qu`il n`y a plus de nuages entre le Cnp et le Groupe Cyclone…
Il n`y a jamais eu de nuages entre le Groupe Cyclone et le Cnp qui est une Institution de la République qui mérite respect et considération. Ce n`étaient que des malentendus que nous avons aplanis par la force du dialogue. Cette rencontre a été aussi l`occasion pour les deux parties de s`appuyer dorénavant, sur une plate-forme d`échanges. Ce qui nous évitera à nous tous, des quiproquos. Nos portes et celles du Cnp restent ouvertes au dialogue.
Quels sont les arguments qui ont amené le Cnp à revenir sur sa décision ?
Cette rencontre a été l`occasion pour les deux parties d`échanger et de maintenir le dialogue. On remercie le Cnp qui a été sensible à notre requête qui est essentiellement d`ordre économique. Parce que si la sanction était maintenue, c`est-à-dire suspendre le journal pour 8 parutions, il est clair que l`employeur allait être obligé de mettre au chômage technique, des employés. Parce que, vous n`êtes pas sans savoir que le milieu de la presse est aujourd`hui sinistré. La presse est confrontée à des problèmes économiques. Vous voyez que 2 mois de non parution allaient avoir des répercussions sur l`entreprise. Nous saisissons l`occasion pour remercier les confrères, l`Unjci, les lecteurs et nos partenaires qui n`ont cessé de nous apporter leur soutien. C`est la preuve que notre combat est compris. Il n`est pas vain.
Propos recueillis par
Guéhi Brence