Partager avec Niablé sa foi en un avenir meilleur, c’est le message que le candidat du RDR a lancé hier, au premier jour de sa visite dans le Moyen Comoé. Devant une foule en liesse, ADO a invité les populations de Niablé à lui faire confiance pour donner un souffle nouveau à la Côte D’Ivoire
Chers chefs de villages
Chers chefs de communauté
Chers chefs religieux
Honorable chef du village de Tanosso au Ghana, Nanan Djabin 3, qui nous fait l’honneur d’être avec nous cet après midi,
Mesdames et messieurs les ministres,
Chers frères et sœurs
Il y’a quelques mois, alors que j’étais à Paris, une mission du RDR était venue ici à Niablé. A Cette occasion, la première présidente des femmes du RDR, Mme Kandia Camara, m’a appelé pour me dire qu’elle était avec un monsieur important, un monsieur bon, et un sage qui voudrait me parler.
Elle m’a alors passé le vieux Yao Aboudou, qui m’a dit : «président, nous avons des problèmes à Niablé. Nous les planteurs avons beaucoup de problèmes. Je voudrais que vous veniez me voir à Niablé». Me voici donc à Niablé pour répondre à l’invitation du vieux Yao Aboudou. Je voudrais saluer tous les planteurs, et toutes les populations de Niablé. Nous connaissons les problèmes que vous vivez dans la filière café cacao. Nous savons que les temps ont été difficiles. On se demande d’ailleurs pourquoi au Ghana voisin, tout se passe bien dans la filière café cacao alors que rien ne marche dans la filière en Côte d’Ivoire. Moi, mes parents m’ont dit que quand vous êtes quelque part, il faut bien regarder, si quelque chose est bon, il faut regarder et faire la même chose que ce qui va bien chez le voisin. Nous allons donc imiter le Ghana dans ce domaine pour que nos planteurs aient la juste rémunération de leur travail. Je voudrais dire à Yao Aboudou que nous avons compris son message. Nous savons que nous pouvons faire mieux. La Côte d’Ivoire doit faire mieux, non seulement pour aménager les plantations car les plants sont vieillissants, mais que nous pouvons également donner à nos planteurs des prix rémunérateurs. Nous devons le faire. Il y a quelques mois, en octobre à Yamoussoukro, quand j’ai eu l’occasion de présenter mon programme de gouvernement pour l’élection présidentielle, j’ai dit que j’allais reformer la structure du café cacao. J’ai dit que j’allais supprimer toutes ces caisses, qui ont eu à utiliser l’argent des paysans. Nous irons vers les paysans, demander leurs idées et faire les réformes qui s’imposent pour que l’argent du cacao aillent d’abord aux paysans et non pas à des intermédiaires. Je voudrais vous dire, chères populations de Niablé que comme toute la Côte d’Ivoire, nous savons qu’il y a des problèmes ici. Les Ivoiriens souffrent depuis plusieurs années. Depuis des années, rien n’a été fait. Je vous ai tout à l’heure entendu dire que les routes pour aller à Zouhounou, à Bounawé, à Aboudou et autres sont impraticables. J’ai entendu votre message. Et c’est pour cela que dans le projet que j’ai présenté à mon parti à l’occasion de la convention d’investiture, j’ai dit que j’allais donner la priorité à l’agriculture et aux routes. Je vous promets que je le ferai. Je le ferai, pour ce grand programme routier, il faut de l’argent. Et moi, avant d’être un politique, je suis d’abord un économiste et un banquier. Je sais comment amener de l’argent dans notre pays, pour le développer. Et si, comme le disait le directeur local de campagne, j’ai décidé d’accepter la candidature de mon parti, c’est parce que j’ai des solutions aux problèmes qui se posent à notre pays. Oui, il y a des problèmes parce que les difficultés sont dans tous les domaines, que ce soit l’eau, l’électricité, les routes, l’éducation, la santé, l’habitat, tout ce que vous avez cité tout à l’heure. Je vous comprends. Dans un pays comme le nôtre, il n’est pas normal qu’on ait des problèmes d’eau et d’électricité. Nous allons résoudre ces problèmes, mais pour les résoudre, il faut de l’argent. Et celui qui peut vous apporter de l’argent pour reconstruire le pays s’appelle Alassane Dramane Ouattara. J’ai noté également que vous voulez que le centre de santé de Niablé soit érigé en hôpital général, je vous promets de le faire quand je serai aux affaires. Mais pour cela, tout dépend de vous. Parce que le 29 novembre, nous aurons l’élection présidentielle. Je voudrais vous poser deux questions : Est-ce que vous vous êtes fait enrôler ici à Niablé ? La foule répond : Oui ! Pour qui allez-vous voter le 29 novembre 2009 ? La foule scande : ADO ! ADO ! Bien, je vous remercie. Puisque vous allez voter pour ADO, ADO apportera les solutions aux problèmes de Niablé et de toute la Côte d’Ivoire. Mais en attendant, il y a des choses que nous devons faire. J’ai noté que vous avez besoin d’un bloc opératoire, et que vous solliciter l’ONG Children of Africa de Mme Ouattara. Je lui ferai le message et je sais qu’elle va vous aider. Et vous avez également dit que vous avez un problème le château d’eau, nous allons examiner dans quelle mesure nous allons vous aider à réparer le château d’eau. Je voudrais que vous sachiez que si j’ai décidé d’être candidat, c’est parce que je sais que mon pays a des problèmes et que j’ai des solutions. J’ai eu à régler les problèmes de mon pays en 90 quand le Président Houphouët Boigny m’a fait appel. En 90, il m a appelé, il m’adit : « mon fils, notre pays a des problèmes, j’ai besoin de toi à mes côtés ». J’ai tout laissé et je suis venu, et de 90 à 93, nous avons réglé les problèmes de notre pays. Malheureusement, depuis 10 ans, la situation a été intolérable, totalement inacceptable pour les Ivoiriens. Mais je voudrais vous dire de ne pas vous décourager. Je voudrais dire à tous mes compatriotes que nous devons faire en sorte que nous puissions resserrer nos rangs, être ensemble, travailler ensemble. Cette guerre a divisé les Ivoiriens. Nous devons laisser tout cela derrière nous. Nous devons le faire, nous devons nous pardonner, nous devons faire en sorte que tous les Ivoiriens se retrouvent et que tous les Ivoiriens se mettent au travail. Il faut que nous nous disions que ce qui est important d’abord c’est la Côte d’Ivoire. Nous, nous voulons mettre les Ivoiriens au travail. C’est pour cela que j’ai décidé d’être candidat à la prochaine élection présidentielle. J’aime mon pays, j’aime tous mes compatriotes. Moi, je ne fais pas de distinction entre les Ivoiriens. Je pense que nous devons nous comporter en frères et sœurs, nous devons faire en sorte que la Côte d’Ivoire, retrouve son unité, que les Ivoiriens apprennent à nouveau à vivre ensemble, à travailler et à faire en sorte que la Côte d’Ivoire sorte de cette situation de crise. Bien sûr, ce n’est pas facile quand il y a des difficultés, parce que quand il y a des difficultés, on cherche toujours des bouc-émissaires, c’est-à-dire des gens à qui on attribue la difficulté. Cela ne doit pas être notre souhait, nous devons nous mettre au travail. Et je vous dis que si vous portez votre choix sur moi, le 29 novembre, nous remettrons la Côte d’Ivoire au travail. J’ai commencé cette tournée ici. Nous avons eu l’occasion d’aller saluer sa majesté ce matin et pendant une semaine, nous allons faire tous les départements et les sous-préfectures du Moyen Comoé pour aller porter le même message, celui de dire à tous nos concitoyens que c’est vrai, la Côte d’Ivoire a des problèmes mais que ADO a des solutions pour les problèmes qui se posent à la Côte d’Ivoire et aux Ivoiriens. Et pour résoudre ces problèmes, nous devons voter le 29 novembre, nous devons faire en sorte que le pays ait à sa tête quelqu’un qui peut résoudre les problèmes du pays. Nous devons faire en sorte que plus jamais, les problèmes qui ont divisé les Ivoiriens ne ressurgissent, nous devons réapprendre à nous aimer, à nous dire que nous avons une seule nation, c’est la nation ivoirienne et que nous lui devons tout et que nous devons tout faire pour elle. Je sais, en voyant tous ces jeunes ici, tous ces jeunes qui sont venus nombreux m’écouter, que je sais quelle est votre angoisse. L’angoisse du lendemain, le fait de ne pas avoir du travail, le fait de ne pas pouvoir, quelques fois, terminer vos études, le fait de ne pas avoir des moyens, car vos parents n’ont plus les moyens à cause de la situation du café cacao. Je voudrais vous dire, jeunes, de ne pas vous décourager. Ayez confiance en l’avenir ! Ces élections sont importantes pour tous les Ivoiriens mais surtout, pour vous les jeunes. Je vous encourage, le jour des élections, à aller voter et aider vos parents qui ne savent pas lire et écrire ou qui ne peuvent marcher à faire autant parce que le 29 novembre sera l’occasion du vrai changement pour la Côte d’Ivoire. Pouvant compter sur vous, je voudrais avant de terminer, vous remercier, remercier les notabilités pour le travail important que vous faites pour que les populations vivent en paix, en harmonie ici à Niablé. Je voudrais vous dire que je vous encourage à continuer ce travail. Je voudrais à nouveau rendre hommage à Yao Aboudou. Yao Aboudou, merci pour le travail important que vous faites. Merci de rassembler les planteurs et de leur dire que leur avenir est avec le RDR et que leur avenir, c’est voter ADO à la prochaine élection présidentielle. Je compte sur vous, merci encore !
Par Thiery Latt
(Envoyé spécial)
Chers chefs de villages
Chers chefs de communauté
Chers chefs religieux
Honorable chef du village de Tanosso au Ghana, Nanan Djabin 3, qui nous fait l’honneur d’être avec nous cet après midi,
Mesdames et messieurs les ministres,
Chers frères et sœurs
Il y’a quelques mois, alors que j’étais à Paris, une mission du RDR était venue ici à Niablé. A Cette occasion, la première présidente des femmes du RDR, Mme Kandia Camara, m’a appelé pour me dire qu’elle était avec un monsieur important, un monsieur bon, et un sage qui voudrait me parler.
Elle m’a alors passé le vieux Yao Aboudou, qui m’a dit : «président, nous avons des problèmes à Niablé. Nous les planteurs avons beaucoup de problèmes. Je voudrais que vous veniez me voir à Niablé». Me voici donc à Niablé pour répondre à l’invitation du vieux Yao Aboudou. Je voudrais saluer tous les planteurs, et toutes les populations de Niablé. Nous connaissons les problèmes que vous vivez dans la filière café cacao. Nous savons que les temps ont été difficiles. On se demande d’ailleurs pourquoi au Ghana voisin, tout se passe bien dans la filière café cacao alors que rien ne marche dans la filière en Côte d’Ivoire. Moi, mes parents m’ont dit que quand vous êtes quelque part, il faut bien regarder, si quelque chose est bon, il faut regarder et faire la même chose que ce qui va bien chez le voisin. Nous allons donc imiter le Ghana dans ce domaine pour que nos planteurs aient la juste rémunération de leur travail. Je voudrais dire à Yao Aboudou que nous avons compris son message. Nous savons que nous pouvons faire mieux. La Côte d’Ivoire doit faire mieux, non seulement pour aménager les plantations car les plants sont vieillissants, mais que nous pouvons également donner à nos planteurs des prix rémunérateurs. Nous devons le faire. Il y a quelques mois, en octobre à Yamoussoukro, quand j’ai eu l’occasion de présenter mon programme de gouvernement pour l’élection présidentielle, j’ai dit que j’allais reformer la structure du café cacao. J’ai dit que j’allais supprimer toutes ces caisses, qui ont eu à utiliser l’argent des paysans. Nous irons vers les paysans, demander leurs idées et faire les réformes qui s’imposent pour que l’argent du cacao aillent d’abord aux paysans et non pas à des intermédiaires. Je voudrais vous dire, chères populations de Niablé que comme toute la Côte d’Ivoire, nous savons qu’il y a des problèmes ici. Les Ivoiriens souffrent depuis plusieurs années. Depuis des années, rien n’a été fait. Je vous ai tout à l’heure entendu dire que les routes pour aller à Zouhounou, à Bounawé, à Aboudou et autres sont impraticables. J’ai entendu votre message. Et c’est pour cela que dans le projet que j’ai présenté à mon parti à l’occasion de la convention d’investiture, j’ai dit que j’allais donner la priorité à l’agriculture et aux routes. Je vous promets que je le ferai. Je le ferai, pour ce grand programme routier, il faut de l’argent. Et moi, avant d’être un politique, je suis d’abord un économiste et un banquier. Je sais comment amener de l’argent dans notre pays, pour le développer. Et si, comme le disait le directeur local de campagne, j’ai décidé d’accepter la candidature de mon parti, c’est parce que j’ai des solutions aux problèmes qui se posent à notre pays. Oui, il y a des problèmes parce que les difficultés sont dans tous les domaines, que ce soit l’eau, l’électricité, les routes, l’éducation, la santé, l’habitat, tout ce que vous avez cité tout à l’heure. Je vous comprends. Dans un pays comme le nôtre, il n’est pas normal qu’on ait des problèmes d’eau et d’électricité. Nous allons résoudre ces problèmes, mais pour les résoudre, il faut de l’argent. Et celui qui peut vous apporter de l’argent pour reconstruire le pays s’appelle Alassane Dramane Ouattara. J’ai noté également que vous voulez que le centre de santé de Niablé soit érigé en hôpital général, je vous promets de le faire quand je serai aux affaires. Mais pour cela, tout dépend de vous. Parce que le 29 novembre, nous aurons l’élection présidentielle. Je voudrais vous poser deux questions : Est-ce que vous vous êtes fait enrôler ici à Niablé ? La foule répond : Oui ! Pour qui allez-vous voter le 29 novembre 2009 ? La foule scande : ADO ! ADO ! Bien, je vous remercie. Puisque vous allez voter pour ADO, ADO apportera les solutions aux problèmes de Niablé et de toute la Côte d’Ivoire. Mais en attendant, il y a des choses que nous devons faire. J’ai noté que vous avez besoin d’un bloc opératoire, et que vous solliciter l’ONG Children of Africa de Mme Ouattara. Je lui ferai le message et je sais qu’elle va vous aider. Et vous avez également dit que vous avez un problème le château d’eau, nous allons examiner dans quelle mesure nous allons vous aider à réparer le château d’eau. Je voudrais que vous sachiez que si j’ai décidé d’être candidat, c’est parce que je sais que mon pays a des problèmes et que j’ai des solutions. J’ai eu à régler les problèmes de mon pays en 90 quand le Président Houphouët Boigny m’a fait appel. En 90, il m a appelé, il m’adit : « mon fils, notre pays a des problèmes, j’ai besoin de toi à mes côtés ». J’ai tout laissé et je suis venu, et de 90 à 93, nous avons réglé les problèmes de notre pays. Malheureusement, depuis 10 ans, la situation a été intolérable, totalement inacceptable pour les Ivoiriens. Mais je voudrais vous dire de ne pas vous décourager. Je voudrais dire à tous mes compatriotes que nous devons faire en sorte que nous puissions resserrer nos rangs, être ensemble, travailler ensemble. Cette guerre a divisé les Ivoiriens. Nous devons laisser tout cela derrière nous. Nous devons le faire, nous devons nous pardonner, nous devons faire en sorte que tous les Ivoiriens se retrouvent et que tous les Ivoiriens se mettent au travail. Il faut que nous nous disions que ce qui est important d’abord c’est la Côte d’Ivoire. Nous, nous voulons mettre les Ivoiriens au travail. C’est pour cela que j’ai décidé d’être candidat à la prochaine élection présidentielle. J’aime mon pays, j’aime tous mes compatriotes. Moi, je ne fais pas de distinction entre les Ivoiriens. Je pense que nous devons nous comporter en frères et sœurs, nous devons faire en sorte que la Côte d’Ivoire, retrouve son unité, que les Ivoiriens apprennent à nouveau à vivre ensemble, à travailler et à faire en sorte que la Côte d’Ivoire sorte de cette situation de crise. Bien sûr, ce n’est pas facile quand il y a des difficultés, parce que quand il y a des difficultés, on cherche toujours des bouc-émissaires, c’est-à-dire des gens à qui on attribue la difficulté. Cela ne doit pas être notre souhait, nous devons nous mettre au travail. Et je vous dis que si vous portez votre choix sur moi, le 29 novembre, nous remettrons la Côte d’Ivoire au travail. J’ai commencé cette tournée ici. Nous avons eu l’occasion d’aller saluer sa majesté ce matin et pendant une semaine, nous allons faire tous les départements et les sous-préfectures du Moyen Comoé pour aller porter le même message, celui de dire à tous nos concitoyens que c’est vrai, la Côte d’Ivoire a des problèmes mais que ADO a des solutions pour les problèmes qui se posent à la Côte d’Ivoire et aux Ivoiriens. Et pour résoudre ces problèmes, nous devons voter le 29 novembre, nous devons faire en sorte que le pays ait à sa tête quelqu’un qui peut résoudre les problèmes du pays. Nous devons faire en sorte que plus jamais, les problèmes qui ont divisé les Ivoiriens ne ressurgissent, nous devons réapprendre à nous aimer, à nous dire que nous avons une seule nation, c’est la nation ivoirienne et que nous lui devons tout et que nous devons tout faire pour elle. Je sais, en voyant tous ces jeunes ici, tous ces jeunes qui sont venus nombreux m’écouter, que je sais quelle est votre angoisse. L’angoisse du lendemain, le fait de ne pas avoir du travail, le fait de ne pas pouvoir, quelques fois, terminer vos études, le fait de ne pas avoir des moyens, car vos parents n’ont plus les moyens à cause de la situation du café cacao. Je voudrais vous dire, jeunes, de ne pas vous décourager. Ayez confiance en l’avenir ! Ces élections sont importantes pour tous les Ivoiriens mais surtout, pour vous les jeunes. Je vous encourage, le jour des élections, à aller voter et aider vos parents qui ne savent pas lire et écrire ou qui ne peuvent marcher à faire autant parce que le 29 novembre sera l’occasion du vrai changement pour la Côte d’Ivoire. Pouvant compter sur vous, je voudrais avant de terminer, vous remercier, remercier les notabilités pour le travail important que vous faites pour que les populations vivent en paix, en harmonie ici à Niablé. Je voudrais vous dire que je vous encourage à continuer ce travail. Je voudrais à nouveau rendre hommage à Yao Aboudou. Yao Aboudou, merci pour le travail important que vous faites. Merci de rassembler les planteurs et de leur dire que leur avenir est avec le RDR et que leur avenir, c’est voter ADO à la prochaine élection présidentielle. Je compte sur vous, merci encore !
Par Thiery Latt
(Envoyé spécial)