La bibliothèque nationale abrite depuis le lundi dernier, un atelier de formation. Avec la participation de plus d'une trentaine d'élèves écrivains venus prendre part à l'atelier d'écriture organisé par le ministère de la Culture et de la Francophonie. Réunis au sein de l'association des jeunes écrivains, ils entendent de combler leurs lacunes. Le président des écrivains, Ernest Foua de Saint sauveur a rassuré les jeunes que sa structure se tient à leur disposition pour lire leurs manuscrits, en vue de les corriger et leur apporter une amélioration. Pour Debony Albert, président de l'association des jeunes écrivains, l'atelier des écrivains qui est à sa deuxième édition est bien venu. En ce sens qu'il ambitionne de former la pépinière. Mme Dréhi, directrice de '' Edilis'', a manifesté son intention d'éditer les manuscrits des jeunes. '' Face aux coûts élevés de l'impression, ils se disent impuissants et sollicitent le concours de la tutelle.'' A-t-elle expliqué. Venu représenter le ministre de la culture et de la francophonie, M. Hien Sié a tenu à tranquiliser les jeunes amateurs quant à leurs préoccupations '' Désormais, annonce-t-il tous les acteurs culturels pourront bénéficier de subventions pour mener à bien, leurs activités grâce au fonds de soutien à la culture, et doter l'association des écrivains d'un siège. Pour cela, il suffit tout simplement de monter un dossier.'' Parlant de l'atelier, il a signifié que les comités de critique ont décelé, à l'issue de la lecture de manuscrits, le besoin en formation. C'est ce qui explique la tenue de ce atelier. Isabelle Fofana des éditions Nei- Ceda a pour sa part, exhorté les participants à écrire d'avantage. Coptés pour assurer la formation des jeunes participants à cet atelier, Zié Coulibaly, enseignant à l'Institut national des arts et de l'action culturelle (Insaac) et Koua Elie, écrivain et responsable de la planification au ministère de la Culture et de la francophonie promettent une formation de qualité et d'expert.
M. G.
M. G.
