Venus de la région de la Marahoué, 96 agents (jeunes filles et garçons) recrutés par la Commission nationale de supervision de l’identification (Cnsi), sont, depuis lundi dernier, devant le siège de cette structure à la Riviera III. Hier, c’est avec beaucoup de tristesse qu’ils ont, par la voix de leur porte-parole, Kouamé Olivier, expliqué leur galère: «Nous avons fait le déplacement de Bouaflé à Abidjan, par deux convois, pour percevoir notre salaire. La Cnsi doit, à chacun des 96 agents que nous sommes, un mois de salaire. Chaque superviseur doit percevoir 105.000 francs Cfa. Nous sommes ici jusqu’à ce que nous ayons satisfaction», lance, à la cantonade, Kouamé Olivier.
Selon lui, cela fait plus de trois mois qu’ils courent après ce paiement. Et ce, malgré toutes les démarches entreprises auprès du commissaire national, Légré Philippe.
Arrivés de la Marahoué, ils ont été reçus par le premier responsable de la Cnsi, Yua Koffi. Ce dernier a indiqué qu’il attendait le point de l’opération par le sous-préfet de Bouaflé, pour procéder au paiement de leur salaire. Lequel point il a reçu, le mardi 28 juillet 2009.
En attendant que les 96 agents touchent leur salaire, Mme Koudou Jeannette qu’ils remercient infiniment, leur a donné, selon eux, à manger pendant ces moments difficiles.
Emmanuel Kouassi
Selon lui, cela fait plus de trois mois qu’ils courent après ce paiement. Et ce, malgré toutes les démarches entreprises auprès du commissaire national, Légré Philippe.
Arrivés de la Marahoué, ils ont été reçus par le premier responsable de la Cnsi, Yua Koffi. Ce dernier a indiqué qu’il attendait le point de l’opération par le sous-préfet de Bouaflé, pour procéder au paiement de leur salaire. Lequel point il a reçu, le mardi 28 juillet 2009.
En attendant que les 96 agents touchent leur salaire, Mme Koudou Jeannette qu’ils remercient infiniment, leur a donné, selon eux, à manger pendant ces moments difficiles.
Emmanuel Kouassi