La suite du processus d’installation des organes du Burida, n’est plus du ressort du ministre de la Culture et de la Francophonie.
L’élection du président du conseil d’administration (Pca) du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) marque la fin de la mission du ministre de la Culture et de la Francophonie. Augustin Kouadio Komoé était chargé d’organiser les élections instituant les responsables de cette structure. Le ministre l’a affirmé au cours d’un point de presse, mercredi dernier sur le Burida ». L’élection de Gadji Céli à la tête du Burida constitue aussi un point d’arrêt des tâches de l’administrateur provisoire, Armand Gérard Obou. La maison est désormais à la charge du nouveau Pca. C’est à lui et à son conseil d’administration, de choisir le nouveau du Directeur général. Le patron de la culture est revenu sur les résultats des dernières échéances électorales. Il les a entérinés. Il a salué le bon esprit des créateurs durant tout le processus. Selon lui, si ces élections se sont déroulées sans heurts, c’est parce que « la loi a été respectée ». Il a de ce fait, noté que la remise de la maison verte aux artistes, n’est pas synonyme d’un abandon de ceux-ci par l’Etat. La gestion de la maison se fera sous le regard de l’Etat. D’où la présence de représentants des ministères de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de la Culture et de la Francophonie. L’Etat, en cas de blocage dans la gestion, a le droit de retirer le conseil d’administration. « Le pouvoir de contrôle de l’Etat est sans limite » a-t-il signifié. Dans un délai de 15 jours, aura lieu la passation de charges entre l’administration provisoire et le nouveau conseil d’administration. Celui-ci fera un appel à candidature et retiendra un directeur général.
S.A.
L’élection du président du conseil d’administration (Pca) du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) marque la fin de la mission du ministre de la Culture et de la Francophonie. Augustin Kouadio Komoé était chargé d’organiser les élections instituant les responsables de cette structure. Le ministre l’a affirmé au cours d’un point de presse, mercredi dernier sur le Burida ». L’élection de Gadji Céli à la tête du Burida constitue aussi un point d’arrêt des tâches de l’administrateur provisoire, Armand Gérard Obou. La maison est désormais à la charge du nouveau Pca. C’est à lui et à son conseil d’administration, de choisir le nouveau du Directeur général. Le patron de la culture est revenu sur les résultats des dernières échéances électorales. Il les a entérinés. Il a salué le bon esprit des créateurs durant tout le processus. Selon lui, si ces élections se sont déroulées sans heurts, c’est parce que « la loi a été respectée ». Il a de ce fait, noté que la remise de la maison verte aux artistes, n’est pas synonyme d’un abandon de ceux-ci par l’Etat. La gestion de la maison se fera sous le regard de l’Etat. D’où la présence de représentants des ministères de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de la Culture et de la Francophonie. L’Etat, en cas de blocage dans la gestion, a le droit de retirer le conseil d’administration. « Le pouvoir de contrôle de l’Etat est sans limite » a-t-il signifié. Dans un délai de 15 jours, aura lieu la passation de charges entre l’administration provisoire et le nouveau conseil d’administration. Celui-ci fera un appel à candidature et retiendra un directeur général.
S.A.