Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, qui a constaté l’absence de communication véritable au sein des structures sanitaires a organisé une conférence afin de sensibiliser les responsable sur l’importance de la communication dans leurs structures respectives. C’était le 28 juillet dernier, à l’Institut national de la santé publique (INSP) d’Adjamé.
Sollicitée pour animer cette conférence, le directeur du Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG), Mme Anne-Marie Konan Payne, a à travers le thème : “La place de la communication dans le fonctionnement des structures de santé et d’hygiène publique”, donné les indicatifs essentiels pour que la communication soit harmonisée dans les différentes institutions sanitaires. “L’objet de la communication est de donner le message, l’information qu’il faut à un public. La communication accompagne quelque chose qu’on veut faire et elle contribue aux résultats (faire connaître : donner l’information au public, faire comprendre : de la manière que moi diffuseur, je veux qu’il comprenne, et faire accepter en le persuadant par tous les moyens). Ce, en tenant compte de la cible”, a-t-elle déclaré. Par ailleurs, l’échange avec les directeurs des structures sanitaires a égrené un chapelet de difficultés que sont le profil de recrutement de spécialistes de la communication pour ces structures, l’accès difficile aux media et le choix des canaux de diffusion.
Mme Anne-Marie Konan Payne a terminé sur ces notes : “Si un citoyen dans le département de Bloléquin n’ayant ni téléviseur, ni radio, ne sachant pas lire reçoit l’information selon laquelle le médicament servant à guérir le paludisme coûte 100fcfa et non 1000fcfa et que l’infirmier le traitant doit venir au travail à 8h et non à 10h, sinon il le signalerait au ministère, on aura accompli notre
tâche”.
Lydie Kouamé (Stagiaire)
Sollicitée pour animer cette conférence, le directeur du Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG), Mme Anne-Marie Konan Payne, a à travers le thème : “La place de la communication dans le fonctionnement des structures de santé et d’hygiène publique”, donné les indicatifs essentiels pour que la communication soit harmonisée dans les différentes institutions sanitaires. “L’objet de la communication est de donner le message, l’information qu’il faut à un public. La communication accompagne quelque chose qu’on veut faire et elle contribue aux résultats (faire connaître : donner l’information au public, faire comprendre : de la manière que moi diffuseur, je veux qu’il comprenne, et faire accepter en le persuadant par tous les moyens). Ce, en tenant compte de la cible”, a-t-elle déclaré. Par ailleurs, l’échange avec les directeurs des structures sanitaires a égrené un chapelet de difficultés que sont le profil de recrutement de spécialistes de la communication pour ces structures, l’accès difficile aux media et le choix des canaux de diffusion.
Mme Anne-Marie Konan Payne a terminé sur ces notes : “Si un citoyen dans le département de Bloléquin n’ayant ni téléviseur, ni radio, ne sachant pas lire reçoit l’information selon laquelle le médicament servant à guérir le paludisme coûte 100fcfa et non 1000fcfa et que l’infirmier le traitant doit venir au travail à 8h et non à 10h, sinon il le signalerait au ministère, on aura accompli notre
tâche”.
Lydie Kouamé (Stagiaire)
