Le Programme d’appui au développement du secteur privé pour la Côte d’Ivoire (PADSP-CI) disposera d’une enveloppe globale de 4 milliards FCFA, dont l’essentiel sera consacré à des activités opérationnelles sur trois années. Ce programme pilote initié par le Centre pour le développement de l’entreprise (CDE) a été présenté au secteur privé ivoirien comme étant les raisons qui ont motivé à la signature avec le gouvernement de l’accord-cadre et de la convention d’assistance. Cette rencontre s’est tenue hier à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), au Plateau.
Selon le directeur du CDE, Thiam Mabousso, cette réunion a permis de faire une présentation du programme aux différents acteurs du secteur privé qui se sont imprégnés des objectifs, de la cible, de la structure, des coûts et des outils d’évaluation du programme. Le programme qui prend en compte 70 entreprises réunies en 15 grappes sectorielles et organisations intermédiaires sera matérialisé par des appuis directs aux entreprises, a expliqué le directeur du Centre. “L’objectif général de ce programme, qui est de réduire la pauvreté, permettra de favoriser un développement économique consolidé, durable, équitable. Mais, il devra surtout répondre aux enjeux de développement économique mondial actuel dans le cadre des règles de l’Organisation mondiale du commerce et des accords commerciaux qui en émanent”, a-t-il soutenu.
Djè Abel
Selon le directeur du CDE, Thiam Mabousso, cette réunion a permis de faire une présentation du programme aux différents acteurs du secteur privé qui se sont imprégnés des objectifs, de la cible, de la structure, des coûts et des outils d’évaluation du programme. Le programme qui prend en compte 70 entreprises réunies en 15 grappes sectorielles et organisations intermédiaires sera matérialisé par des appuis directs aux entreprises, a expliqué le directeur du Centre. “L’objectif général de ce programme, qui est de réduire la pauvreté, permettra de favoriser un développement économique consolidé, durable, équitable. Mais, il devra surtout répondre aux enjeux de développement économique mondial actuel dans le cadre des règles de l’Organisation mondiale du commerce et des accords commerciaux qui en émanent”, a-t-il soutenu.
Djè Abel