Après plus de 8 mois de cours, et quelque temps de révisions, ces élèves des grandes écoles, candidats au brévet de technicien supérieur (Bts) secteur tertiaire sont encore en train d’attendre. Les compositions prévues le 27 juillet ont été reportées. A quand ? Difficile de le dire. Aucune explication n’est donnée aux 28.484 candidats. Pourquoi cette situation ? Qu’ont-ils fait pour mériter ce sort ? Apparemment rien, au dire de leurs responsables syndicaux. «Les candidats n’ont rien à voir avec ce qui arrive. Il faut que nos autorités prennent leurs responsabilités. Mais en même temps, il faut parler aux fondateurs qui attendent des moments aussi importants pour poser leurs préoccupations. Ce n’est pas juste», lâche Mian Augustin, secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci). Un avis partagé par Lucien Zoukouan, secrétaire général du Syndicat national des enseignants
du supérieur (Synesup) même s’il reconnait la noblesse de la lutte des fondateurs. «Mais il faut que les fondateurs sachent qu’en plus des jeunes ivoiriens, il y a des candidats venant de la sous-région qui viennent composer en Côte d’Ivoire. Il faut donc penser aux désagréments que cela leur cause », a-t-il expliqué. Autorités et fondateurs, pensez à nos enfants !
T. Y
du supérieur (Synesup) même s’il reconnait la noblesse de la lutte des fondateurs. «Mais il faut que les fondateurs sachent qu’en plus des jeunes ivoiriens, il y a des candidats venant de la sous-région qui viennent composer en Côte d’Ivoire. Il faut donc penser aux désagréments que cela leur cause », a-t-il expliqué. Autorités et fondateurs, pensez à nos enfants !
T. Y
