Le prix du riz ne sera plus augmenté comme annoncé par les importateurs, il y a de cela une semaine. Le maintien du prix de cette denrée alimentaire a été possible grâce à la médiation du ministre du Commerce, Youssouf Soumahoro.
Les ménages ivoiriens peuvent enfin respirer. Eux qui, depuis près d’une semaine, après que les importateurs de riz aient annoncé de revoir à la hausse le prix de cette denrée qui constitue l’aliment de base des Ivoiriens, ne dorment pratiquement plus. Vu l’état de la conjoncture économique de ces ménages, il ne faut pas en rajouter à leur misère. Pour eux, augmenter le prix du riz, est synonyme de suicide. Aussi, pour crier leur ras-le-bol contre cette énième augmentation, les populations ne sont pas passées par quatre chemins pour dire leur vérité à qui de droit. La FACA-CI (Fédération des associations de consommateurs de Côte d’Ivoire), la seule structure qui, jusque-là joue le rôle de l’interface entre elle et les consommateurs et l’Etat d’une part, et entre elle et les opérateurs économiques d’autre part, n’a pas manqué de tirer la sonnette d’alarme pour interpeller les gouvernants du danger qu’ils encourent. Pour parer cette éventualité, le ministre du Commerce Youssouf Soumahoro s’est saisi du dossier, en allant discuter avec les différentes parties impliquées. Résultat, le prix du riz ne sera plus augmenté, pour le grand bonheur des Ivoiriens et la satisfaction de tous les opérateurs économiques. Car, il faut le dire, tous craignaient une descente de la population dans la rue comme cela s’est passé en 2008. Au-delà, il faut saluer le tact avec lequel le ministre du Commerce à engager les négociations. En dépit de la menace des importateurs, c’est lui qui a pris l’initiative de calmer le jeu, en promettant à ceux-ci de régler le problème. En tant que ministre de la République de Côte d’Ivoire et connaissant les difficultés des uns et des autres, il ne voudrait pas voir les ménages ivoiriens souffrir davantage. Aussi, politiquement, lui dont les actions sont interprétées de divers ordres, souventefois pas en sa faveur, démontre une fois de plus qu’il a la capacité et la volonté de travailler si l’on lui facilite la tâche. C’est pourquoi d’ailleurs le Premier ministre Guillaume Soro, chef de gouvernement, continue de lui faire confiance.
Honoré Kouassi
Les ménages ivoiriens peuvent enfin respirer. Eux qui, depuis près d’une semaine, après que les importateurs de riz aient annoncé de revoir à la hausse le prix de cette denrée qui constitue l’aliment de base des Ivoiriens, ne dorment pratiquement plus. Vu l’état de la conjoncture économique de ces ménages, il ne faut pas en rajouter à leur misère. Pour eux, augmenter le prix du riz, est synonyme de suicide. Aussi, pour crier leur ras-le-bol contre cette énième augmentation, les populations ne sont pas passées par quatre chemins pour dire leur vérité à qui de droit. La FACA-CI (Fédération des associations de consommateurs de Côte d’Ivoire), la seule structure qui, jusque-là joue le rôle de l’interface entre elle et les consommateurs et l’Etat d’une part, et entre elle et les opérateurs économiques d’autre part, n’a pas manqué de tirer la sonnette d’alarme pour interpeller les gouvernants du danger qu’ils encourent. Pour parer cette éventualité, le ministre du Commerce Youssouf Soumahoro s’est saisi du dossier, en allant discuter avec les différentes parties impliquées. Résultat, le prix du riz ne sera plus augmenté, pour le grand bonheur des Ivoiriens et la satisfaction de tous les opérateurs économiques. Car, il faut le dire, tous craignaient une descente de la population dans la rue comme cela s’est passé en 2008. Au-delà, il faut saluer le tact avec lequel le ministre du Commerce à engager les négociations. En dépit de la menace des importateurs, c’est lui qui a pris l’initiative de calmer le jeu, en promettant à ceux-ci de régler le problème. En tant que ministre de la République de Côte d’Ivoire et connaissant les difficultés des uns et des autres, il ne voudrait pas voir les ménages ivoiriens souffrir davantage. Aussi, politiquement, lui dont les actions sont interprétées de divers ordres, souventefois pas en sa faveur, démontre une fois de plus qu’il a la capacité et la volonté de travailler si l’on lui facilite la tâche. C’est pourquoi d’ailleurs le Premier ministre Guillaume Soro, chef de gouvernement, continue de lui faire confiance.
Honoré Kouassi