Débuté mardi dernier à l’auditorium de la Caistab au Plateau, c’est vendredi à 17 heures que le Salon de la micro finance a fermé ses portes. Selon M. Monney Aristide, commissaire général du salon, ce sont une trentaine d’exposants qui étaient annoncés pour cette deuxième édition. Finalement, à cause de quelques réglages techniques, des opérateurs qui ont pourtant payé leurs stands n’ont pu y prendre part. Il relève cependant une satisfaction du point de vue qualitatif des participants.
Ce salon qui se veut une plateforme pour faire la promotion du secteur de la micro finance en Côte d’Ivoire permettra au différents organismes de se faire connaître et de poser les problèmes qui sont propres à leur secteur en vue d’obtenir plus d’implication des pouvoirs publics à les accompagner dans leur développement. Il a rappelé la dynamique de la micro finance dans des pays de la sous-région tels que le Mali qui compte environ 300 sociétés de micro finances toutes opérationnelles contre 90 en Côte d’Ivoire. Sur lesquelles, une soixantaine fonctionnent à plein régime. Le commissaire général du salon impute ces difficultés fait que des non professionnels de la micro finance s’érigent du jour au lendemain en dirigeant d’organismes ce secteur ou même quand ils sont compétents, ils ont des difficultés de gouvernance. « La micro finance est un métier qui s’exerce par des professionnels rompus aux arcanes du secteur et qui font de la gouvernance d’institution de micro finance », a souligné le commissaire. Qui relève qu’au bout du salon, c’est un plaidoyer auprès des décideurs à œuvrer à ce que la micro finance, moteur du développement des Etats en développement, voit son secteur dynamiser par un accompagnement de l’Etat, par des actions de renforcement des capacités de ses animateurs en gestion des organismes du secteur. Interrogée, Mlle Ettiegne, exposante a noté que la présente édition du salon n’a pas enregistré l’affluence de l’année dernière.
Cissé M
Ce salon qui se veut une plateforme pour faire la promotion du secteur de la micro finance en Côte d’Ivoire permettra au différents organismes de se faire connaître et de poser les problèmes qui sont propres à leur secteur en vue d’obtenir plus d’implication des pouvoirs publics à les accompagner dans leur développement. Il a rappelé la dynamique de la micro finance dans des pays de la sous-région tels que le Mali qui compte environ 300 sociétés de micro finances toutes opérationnelles contre 90 en Côte d’Ivoire. Sur lesquelles, une soixantaine fonctionnent à plein régime. Le commissaire général du salon impute ces difficultés fait que des non professionnels de la micro finance s’érigent du jour au lendemain en dirigeant d’organismes ce secteur ou même quand ils sont compétents, ils ont des difficultés de gouvernance. « La micro finance est un métier qui s’exerce par des professionnels rompus aux arcanes du secteur et qui font de la gouvernance d’institution de micro finance », a souligné le commissaire. Qui relève qu’au bout du salon, c’est un plaidoyer auprès des décideurs à œuvrer à ce que la micro finance, moteur du développement des Etats en développement, voit son secteur dynamiser par un accompagnement de l’Etat, par des actions de renforcement des capacités de ses animateurs en gestion des organismes du secteur. Interrogée, Mlle Ettiegne, exposante a noté que la présente édition du salon n’a pas enregistré l’affluence de l’année dernière.
Cissé M
