Les GMA (Grands Moulins d’Abidjan) sont de plus en plus déterminés à offrir aux consommateurs de la farine de qualité. Pendant deux jours, les responsables de cette entreprise ont échangé avec les journalistes à San-Pédro, au cours d’un seminaire que l’usine a organisé.
Connaître mieux ses produits et les conditions dans lesquelles ils sont fabriqués pour faire mentir ses détracteurs. Voici ce qui a guidé Félix Diouf et ses collaborateurs à choisir la cité du Sewéké, où ils ont permis aux journalistes de Côte d’Ivoire de découvrir les grandes installations des Grands Moulins d’Abidjan basées à San-Pédro. Du vendredi 31 juillet au samedi 1er août 2009, les GMA ont révélé leur savoir-faire dans la transformation du blé en farine. L’usine des GMA de San-Pédro compte 49 employés pour une capacité de 11000 tonnes de stockage. Elle écrase, selon Guillaume Jacquet, directeur d’exploitation de l’usine, 275 tonnes de blé par jour et sort 220 tonnes de farine par jour. 90% du blé écrasé par les GMA sont d’origine française. La transformation, a-t-il expliqué lors de la visite, est soumise à plusieurs étapes avant d’obtenir la farine. Guillaume Jacquet a expliqué que la farine, dès sa mise en sac, doit être consommée dans une période de six (6) mois. « La farine des GMA subit un contrôle rigoureux qu’il n’y a pas de place pour la tricherie », a rassuré le directeur d’exploitation. Après la visite, il est revenu à Marie-Thérèse Diouf, responsable de la communication des GMA, a tenu à préciser que la préoccupation dudit groupe est d’améliorer la santé des populations par le biais de l’alimentation dans une Afrique riche et prospère. Elle a confirmé la position de leader des GMA dans le secteur concurrentiel de la minoterie. Du système de commercialisation à la distribution, tout a été expliqué aux journalistes par les différents responsables de services. Les GMA couvrent aujourd’hui les marchés nigérien, congolais, burkinabè et malien. Heureux d’avoir pu inviter toute la presse nationale, le directeur général des GMA s’est dit satisfait du bon déroulement de ce séminaire. « Nous avons besoin d’une presse forte pour la démocratie et le développement de l’Afrique. Les GMA n’ont rien à cacher avec leur position de leader », a dit Félix Diouf.
Huberson Digbeu
Connaître mieux ses produits et les conditions dans lesquelles ils sont fabriqués pour faire mentir ses détracteurs. Voici ce qui a guidé Félix Diouf et ses collaborateurs à choisir la cité du Sewéké, où ils ont permis aux journalistes de Côte d’Ivoire de découvrir les grandes installations des Grands Moulins d’Abidjan basées à San-Pédro. Du vendredi 31 juillet au samedi 1er août 2009, les GMA ont révélé leur savoir-faire dans la transformation du blé en farine. L’usine des GMA de San-Pédro compte 49 employés pour une capacité de 11000 tonnes de stockage. Elle écrase, selon Guillaume Jacquet, directeur d’exploitation de l’usine, 275 tonnes de blé par jour et sort 220 tonnes de farine par jour. 90% du blé écrasé par les GMA sont d’origine française. La transformation, a-t-il expliqué lors de la visite, est soumise à plusieurs étapes avant d’obtenir la farine. Guillaume Jacquet a expliqué que la farine, dès sa mise en sac, doit être consommée dans une période de six (6) mois. « La farine des GMA subit un contrôle rigoureux qu’il n’y a pas de place pour la tricherie », a rassuré le directeur d’exploitation. Après la visite, il est revenu à Marie-Thérèse Diouf, responsable de la communication des GMA, a tenu à préciser que la préoccupation dudit groupe est d’améliorer la santé des populations par le biais de l’alimentation dans une Afrique riche et prospère. Elle a confirmé la position de leader des GMA dans le secteur concurrentiel de la minoterie. Du système de commercialisation à la distribution, tout a été expliqué aux journalistes par les différents responsables de services. Les GMA couvrent aujourd’hui les marchés nigérien, congolais, burkinabè et malien. Heureux d’avoir pu inviter toute la presse nationale, le directeur général des GMA s’est dit satisfait du bon déroulement de ce séminaire. « Nous avons besoin d’une presse forte pour la démocratie et le développement de l’Afrique. Les GMA n’ont rien à cacher avec leur position de leader », a dit Félix Diouf.
Huberson Digbeu
