La filière oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre va bénéficier dans les jours à venir, d'une enveloppe de la part de l'Agence internationale d'aide au développement (Usaid).
Les responsables du projet dénommé ATP (Agri business and Trade Promotion) chargés de la mise en œuvre du financement ont rencontré les acteurs de la filière ivoirienne samedi dernier dans le cadre d'une mission d'évaluation de ceux-ci. Ce projet basé à Accra au Ghana devra superviser les autres pays de l'Afrique concernés qui sont le Mali, le Togo, le Burkina Faso, le Niger, le Bénin et le Ghana. Les producteurs de ces pays se partageront les 15 milliards, et ce sur une période de 4ans (2008 à 2012). Il vise essentiellement à améliorer la production de ces Etats mais également la formation des différents collecteurs de données sur lesquelles la mission ATP va se baser pour apporter l'assistance matérielle, technique et financière. De même pour une harmonisation des circuits de commercialisation de cette denrée. Pour l'heure, l'oignon n'est produit en quantité suffisante que dans les pays sahéliens (Mali, Niger, Burkina).Ce qui
explique aussi un des objectifs de ce projet qui est de vulgariser l'oignon dans les zones tropicales et subéquatoriales de l'Afrique de l'Ouest (Cote d'Ivoire, Ghana, Bénin) dans la mesure où les producteurs tirent leurs moyens de subsistance de la production. A l'issue de la séance de travail qui a mis fin à la rencontre avec les acteurs et les responsables du projet, la présidente nationale de la filière, par ailleurs vice-présidente de l'Observatoire Régional de la filière Oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre(ORO/AOC) section Côte d'Ivoire, Djè bi Néné Marie, a reçu le satisfecit des émissaires du projet qui ont dit être rassurés par les actions déjà menées sur le terrain ainsi que des potentialités ivoiriennes pour une meilleure production de l'oignon en Côte d'Ivoire.
Loic D. KOUKOUGNON
Les responsables du projet dénommé ATP (Agri business and Trade Promotion) chargés de la mise en œuvre du financement ont rencontré les acteurs de la filière ivoirienne samedi dernier dans le cadre d'une mission d'évaluation de ceux-ci. Ce projet basé à Accra au Ghana devra superviser les autres pays de l'Afrique concernés qui sont le Mali, le Togo, le Burkina Faso, le Niger, le Bénin et le Ghana. Les producteurs de ces pays se partageront les 15 milliards, et ce sur une période de 4ans (2008 à 2012). Il vise essentiellement à améliorer la production de ces Etats mais également la formation des différents collecteurs de données sur lesquelles la mission ATP va se baser pour apporter l'assistance matérielle, technique et financière. De même pour une harmonisation des circuits de commercialisation de cette denrée. Pour l'heure, l'oignon n'est produit en quantité suffisante que dans les pays sahéliens (Mali, Niger, Burkina).Ce qui
explique aussi un des objectifs de ce projet qui est de vulgariser l'oignon dans les zones tropicales et subéquatoriales de l'Afrique de l'Ouest (Cote d'Ivoire, Ghana, Bénin) dans la mesure où les producteurs tirent leurs moyens de subsistance de la production. A l'issue de la séance de travail qui a mis fin à la rencontre avec les acteurs et les responsables du projet, la présidente nationale de la filière, par ailleurs vice-présidente de l'Observatoire Régional de la filière Oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre(ORO/AOC) section Côte d'Ivoire, Djè bi Néné Marie, a reçu le satisfecit des émissaires du projet qui ont dit être rassurés par les actions déjà menées sur le terrain ainsi que des potentialités ivoiriennes pour une meilleure production de l'oignon en Côte d'Ivoire.
Loic D. KOUKOUGNON