La Côte d’Ivoire va ratifier dans quelques semaines, l’Accord de Protection des investissements tant réclamé par des partenaires extérieurs pour capter des ressources plus importantes.
En quête d’appuis extérieurs pour assurer sa relance post crise, la Côte d’Ivoire a dorénavant besoin de rassurer les investisseurs. Il lui faut de ce fait, en plus des réformes déjà entreprises ou en cours, d’autres instruments qui soient en mesure de garantir les investissements et susceptibles d’en tirer de nouveaux. A ce titre, la Côte d’Ivoire se doit de ratifier l’accord conclu en 2003, portant protection des investissements. En ce sens que la mise en application dudit accord est utilisée comme argument par certains opérateurs économiques. M. Suleiman Al Herbish, Directeur général du fonds de l’OPEP pour le Développement n’a pas manqué d’en parler lors de sa visite en Côte d’Ivoire. Pour lui, eu égard à certaines difficultés auxquelles seraient confrontés certains opérateurs économiques, il urge que des garanties minimales soient accordées aux investisseurs. Et le Fonds OPEP pour le développement international qui ambitionne investir dans le secteur privé, fer de lance de l’économie et pourvoyeur d’emplois, estime nécessaire que l’Etat de Côte d’Ivoire ratifie l’accord signé en 2003. Aujourd’hui, pour le directeur général du Fonds, son engagement dans le secteur privé reste conditionné par une volonté des autorités ivoiriennes à mettre en vigueur de ledit accord. Le ministre des infrastructures économiques, Patrick Achi rassure à ce niveau que tout est fin prêt. «Dans certainement une semaine ou deux semaines, on va ratifier l’accord et remettre un peu les choses en ordre. Parce que cela entre dans le cadre du processus de sortie de crise. Il y a donc un ensemble de dispositifs qui va être paraphé et remis au goût du jour pour permettre de capter des ressources plus importantes aussi bien au niveau public que privé pour accroître les performances du pays à la faveur de cette sortie de crise», a assuré le ministre, justifiant ainsi l’importance de la ratification de l’accord de Protection des investissements. Car, selon lui, il est favorable au secteur privé.
Honoré Kouassi
En quête d’appuis extérieurs pour assurer sa relance post crise, la Côte d’Ivoire a dorénavant besoin de rassurer les investisseurs. Il lui faut de ce fait, en plus des réformes déjà entreprises ou en cours, d’autres instruments qui soient en mesure de garantir les investissements et susceptibles d’en tirer de nouveaux. A ce titre, la Côte d’Ivoire se doit de ratifier l’accord conclu en 2003, portant protection des investissements. En ce sens que la mise en application dudit accord est utilisée comme argument par certains opérateurs économiques. M. Suleiman Al Herbish, Directeur général du fonds de l’OPEP pour le Développement n’a pas manqué d’en parler lors de sa visite en Côte d’Ivoire. Pour lui, eu égard à certaines difficultés auxquelles seraient confrontés certains opérateurs économiques, il urge que des garanties minimales soient accordées aux investisseurs. Et le Fonds OPEP pour le développement international qui ambitionne investir dans le secteur privé, fer de lance de l’économie et pourvoyeur d’emplois, estime nécessaire que l’Etat de Côte d’Ivoire ratifie l’accord signé en 2003. Aujourd’hui, pour le directeur général du Fonds, son engagement dans le secteur privé reste conditionné par une volonté des autorités ivoiriennes à mettre en vigueur de ledit accord. Le ministre des infrastructures économiques, Patrick Achi rassure à ce niveau que tout est fin prêt. «Dans certainement une semaine ou deux semaines, on va ratifier l’accord et remettre un peu les choses en ordre. Parce que cela entre dans le cadre du processus de sortie de crise. Il y a donc un ensemble de dispositifs qui va être paraphé et remis au goût du jour pour permettre de capter des ressources plus importantes aussi bien au niveau public que privé pour accroître les performances du pays à la faveur de cette sortie de crise», a assuré le ministre, justifiant ainsi l’importance de la ratification de l’accord de Protection des investissements. Car, selon lui, il est favorable au secteur privé.
Honoré Kouassi